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Correspondances non datées, Lettres de Н. Тэффи, М. Осоргин, Б. Зайцев, В. Горянский, Ю. Сазонова, М. Гольштейн, L. Murat…
Rapatriement des réfugiés espagnols : correspondance sur les convois de rapatriés et leur arrivée à Hendaye, essentiellement des télégrammes.
Travaux, fonctionnement...
[Convention avec le FAS ; états des résidents par nationalités ; contrats de location, loyers ; équipement, permis de construire, suivi des chantiers, plans…. ].
Statut et participation politique.
Enquête sociologique nationale à propos des Français musulmans rapatriés, ancien supplétifs de l'armée française en Algérie et leurs descendants (1999-2000)
Voir également la comptabilité et les dossiers de gestion du personnel.
[…] association ASOUEVAM (Association de soutien aux étrangers du Val-de-Marne (10 octobre 2002).
Etrangers : immatriculation, cartes d'identité, visas (1914-1954) ; travailleurs étrangers (1947-1954). Réfugiés : polonais (1834-1835), espagnols (1937-1939), belges.
Dossiers 144059 à 144109 (51).
Union générale des étudiants tunisiens (UGET).
Recrutement. - Conseil de révision, étrangers au département.
Saliou Dia, troisième partie, les associations au Sénégal, l'arrivée en France en septembre 1979.
Il explique les raisons de la création de son association mixte des jeunes de Sinthiane à Dakar. Il explique l'organisation de la société sénégalaise par classe d'âge. La caisse est organisée par les hommes adultes et les jeunes ne sont pas décisionnaires. Une caisse ne représente qu'un village et ne pourvoit qu'aux problèmes ponctuels (construction de la mosquée). Il parle de Sali Ndongo, responsable de l'Union générale des travailleurs sénégalais en France qui servait d'intermédiaire avec la SUCO qui finançait des projets de développement dans la région. Il raconte son arrivée au collège coopératif de Paris, sa déception, car l'école dispensait un enseignement plus sociologique que pratique. Il reste 3 ans dans cette école, et étudie un cas concret : "Associations des jeunes et développement villageois". Son projet se heurté à l'UGTSF qui voulait restée maître du projet. Il parle du conflit qui l'oppose à Sali Nongo, personnage influent à l'époque. Il parle de son arrivée en France, les conditions de vie avec son frère dans le foyer Sonacotra à Clichy où il reste 5 ans. Il avait d'abord un statut d'étudiant puis une carte de séjour.