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Pionnier du Val-de-Marne : Paul Camous, préfet-délégué (1964-1967) : épreuves de tournage.

1AV 184. , 1999 - 1999  

00:19:54:15- 00:30:39:00 : Rendre l'ordre de cette région mois absurde, le logement, la résorption des bidonvilles, les réalités départementales de l'ancienne Seine et de l'ancienne Seine-et-Oise suite à la commune de Paris, rapprocher l'administration des administrés, créer des collectivités de plein exercices, la maîtrise des moyens de transports.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Les représentants de l'Etat > Pionnier du Val-de-Marne : Paul Camous, préfet-délégué (1964-1967) : épreuves de tournage.

Bamadi Sanokho, entretien sur son parcours associatif et professionnel : témoignage filmé (2009).

1AV 373-376, 391-392 , 2009 - 2009  

Né en 1977 à Paris, de parents d'origine sénégalaise. La famille est intallée à Gentilly à la cité 502. En 1996, il créé une association de jeunes le "502" et participe à un voyage dans le village de Kolobo au Mali pour mettre en place un centre de santé communautaire. Il est élu à la ville de Gentilly depuis 2001. Depuis 2005, il est chargé de mission au service Relations internationales du Conseil général.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel du Conseil général

Dominique Gaillot-Lafrance, institutrice de 1996 à 2007.

1AV 279 , 2008 - 2008  

Dominique Gaillot-Lafrance retrace son cursus de formation et son parcours professionnel.

Elle s'exprime ensuite sur les conséquences, en terme d'amélioration, de son arrivée au centre en 1996 : école obligatoire tant que l'enfant n'est pas inscrit dans une école de la ville et même en cas de court accueil, début des projets avec les écoles de la ville, acquisition de matériel scolaire. Son travail est encore facilité en 1999 par l'ouverture d'une salle de classe aux normes et par la décision de désigner un référent par famille.

Elle mentionne les écoles et collèges qui scolarisent les enfants.

Elle analyse les causes de la grève de 2000.

Enfin, elle explique ce que lui ont apporté ses années d'exercice au centre, et son implication pour organiser des animations et sorties depuis sa retraite à partir de 2007.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel de France terre d'asile (CADA de Créteil) > Centre de FTDA Créteil, personnels de 1977 à 2008 : enregistrements filmés, novembre-décembre 2008. > Personnels enseignants, pour la période 1996 à 2008.

Hugo Guerra, deuxième partie.

1AV 310 , 2009 - 2009  

Hugo Guerra raconte la réputation des Argentins en Espagne exilés après le coup d'Etat. Il raconte l'image qu'il se faisait de la France. Il arrive en France le 4 avril 1980 après un passage par l'Espagne. Il est engagé comme percussionniste dans une troupe de musiciens chiliens pendant deux ans. Il explique sa situation administrative et les démarches effectuées pour obtenir une carte de séjour. Il parle de l'accueil méprisant à la préfecture. Il raconte son apprentissage de la langue française et son engagement politique et syndical, nécessaire "pour se sentir chez lui".

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne > Hugo Guerra, témoignage sur son parcours de migrant d'Argentine à son installation à Saint-Maurice puis Champigny-sur-Marne et sur son travail à l'accueil des migrants à Champigny-sur-Marne à l'office municipal des migrants et comme coordinateur social sur le quartier du Bois l'Abbé : enregistrement filmé (2008-2009).

Champigny-sur-Tage : montage (1987).

4AV 230 , 1987 - 1987  

Le réalisateur revient sur les lieux de l'ancien capitale portugaise en France : Champigny-sur-Marne. Il saisit l'occasion d'aller à la rencontre de Portugais résidant encore dans la ville. Ceux-ci évoquent alors le dur passé qu'ils ont connu : l'immigration clandestine payée à des passeurs, les conditions de vie dans le bidonville désormais disparu, les difficultés d'intégration en France dont la population leur a quelques fois été très hostile, ainsi que leurs doutes sur un retour éventuel au pays natal. De jeunes gens d'origine portugaise livrent également leurs interrogations sur leurs indentité culturelle et sur leur place dans la société française.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Alexandre Cardoso : montages et épreuves de tournage.

Lorette et les autres : montage (1971).

4AV 243 , 1971 - 1971  

Le film nous montre les conditions d'insalubrité totale et de précarité auquelles les immigrés portugais étaient confrontés dans le bidonville : dépaysés, entassés, exploités par les besoins en main d'oeuvre du pays d'accueil. Parmi eux Lorette Fonseca et son mari Carlos, deux professeurs ayant quitté le Portugal et son régime totalitaire, tentent d'adoucir les conditions de travail et de vie de leur communauté dans le bidonville.Tous deux contribuent à l'alphabétisation de la population portugaise immigrée leur donnant ainsi le moyen de se défendre contre les differents abus administratifs dont ils sont victimes.Lorette devient alors l' interprète au sens fort, humain, politique de ses compatriotes. Ces actions vaudront à la jeune femme un avis d'expulsion et une invitation à comparaître pour trouble de l'ordre public.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > Dominique Dante

Rodolphe Bianco, entretien avec un Fresnois âgé de 82 ans, sur ses souvenirs d'école à Fresnes entre 1925 et 1940 : enregistrement sonore (2002).

14AV 1015 , 2002 - 2002  

Rodolphe Bianco est né en 1920 à Antony de parents italiens immigrés. Il va à l'école maternelle à l'âge de 5 ans, située face à l'aile droite de la mairie de Fresnes.

Dès l'âge de 6 ans, il est à l'école primaire de Fresnes, constituée de 2 classes, une pour les garçons et une pour les filles. Rodolphe évoque l'organisation de la classe.

Puis il décrit des photos prises dans les années 1930 et il essaie de se souvenir du nom et le caractère de ses professeurs et des ses camarades.

Rodolphe explique comment se passaient les récréations et la discipline au moment de rentrer en classe après le coup de sifflet.

Rodolphe évoque les particularités de la classe à cette époque, comme le chauffage constitué d'un poêle à charbon. Il parle aussi des objets, des meubles, les bancs d'école, les cahiers, les porte-plume, les manuels scolaires. Il évoque aussi le port de la blouse noire et des galoches. Rodolphe parle des récompenses et les prix attribués en fin d'année et distribués dans la salle des fêtes. Il se souvient de certains prix comme les beaux livres. Il donne des précisions aussi sur les horaires de la classe, les dates de congés scolaires de cette période. Il aborde le sujet des distractions pendant les récréations : les billes, le ballon. Il parle de ce que sont devenus ses camarades d'école. L'entretien se termine sur l'évocation des associations, comme l'association sportive à Fresnes à laquelle il a participé comme "amicaliste".

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par les villes et les associations > Fresnes et Val-de-Bièvre

Hélène Yacovlev, secrétaire générale adjointe de l'OFPRA, en exercice de 1991 à 1998 : épreuves de tournage (2009).

1AV 426-428 , 2009 - 2009  

Née en 1942 à Fort-de-France, d'une famille de réfugiés russes. Elle est recrutée à l'OFPRA en 1991 comme responsable des affaires administratives et financières. Recrutée par M. Dopffer, elle travaille à l'organisation du service : mettre en place un budget, recencer les agents, supprimer les emplois intérimaires et procéder à la titularisation des agents après la loi de1991. En 1993, son poste change de nom, elle est secrétaire générale adjointe.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) > Entretiens réalisés auprès du personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) à Fontenay-sous-Bois : enregistrements filmés et sonores. > Secrétaires généraux

Alice Rodrigues, première partie.

1AV 261 , 2008 - 2008  

Alice Rodrigues raconte les origines modestes de ses parents, issus de familles paysannes au Portugal. Elle est née en 1960 à Champigny-sur-Marne chez une sage-femme. Ses parents habitaient en bordure du bidonville au 52 bis sentier des Pendants. Son frère et sa soeur aînés sont nés au Portugal. Ils ont vécu au bidonville jusqu'en 1967 puis sont partis à Ormesson. Elle décrit le terrain partagé entre son père et son oncle, la maison en bordure du bidonville, avec toutes ses commodités (eau courante, électricité). Elle parle de sa scolarité, de sa tentative de préparer l'école vétérinaire et des difficultés dûes aux écarts de classe sociale. Elle est professeure d'histoire-géographie à Champigny.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Habitants du bidonville > Alice Rodrigues, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Née en 1960 en France, elle a vécu avec sa famille, sentier des Pendants jusqu'en 1967 : épreuves de tournage (2008).

Les années de boue : montage (1989).

4AV 242 , 1989 - 1989  

Reportage de José Vieira diffusé lors d'une émission télévisée en 1989 et portant sur la communauté portugaise immigrée en France : la communauté invisible. Plusieurs reportages évoquent l'immigration portugaise des années soixante qualifiée d'hémoragie humaine, la culture souvent figée ainsi que la vie quotidienne de cette communauté, implantée en France depuis trois générations. Il est composé d'images d'archives extraits de Etranges étrangers de Marcel Trilliat et de Lorette et les autres de Dominique Dante et d'interviews sur l'histoire de l'immigration portugaise. Plusieurs personnes témoignent de leur arrivée en France, la traversée de l'Espagne, les conditions de vie dans le bidonville de Champigny. L'émission évoque ensuite le concept de Saudade, le problème de l'échec scolaire chez les enfants de parents portugais et de la vie associative à Champigny-sur-Marne.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Vieira : montages, épreuves de tournage.

Asma Ashraf, directrice de l'association des femmes-relais médiatrices interculturelles de Champigny-sur-Marne depuis 1999 : entretien filmé (2012).

1AV 524-526 , 2012 - 2012  

Née au Pakistan en 1974, arrivée en France en 1977. Elle créé avec 14 autres femmes en 1997 l'association des femmes-relais médiatrices interculturelles de champigny-sur-Marne dans le quartier du Bois l'Abbé. Emploi jeune en 1999, elle dirige l'association depuis cette date.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne

Claude Guerrier, conseiller municipal de Champigny depuis 1983, entretien sur l'histoire du quartier du Bois l'Abbé : enregistrement filmé (2012).

1AV 531 , 2012 - 2012  

Habitant du Bois l'Abbé depuis 1972, Claude Guerrier est militant à la section campinoise du parti communiste et devient conseiller municipal en 1983. Il est successivement délégué à l'immigration, en 1989 au logement et en 2008 au renouvellement urbain. Il raconte l'achat de terrains à Champigny par l'Etat à la fin des années 1960, la construction du parc de logement de l'OPAC 75, la dégradation progressive des 2500 logements par manque d'entretien et les demandes renouvelées de la mairie d'obtenir la gestion du parc locatif ainsi que la maîtrise de l'attribution des logements. Il raconte le référundum organisé en mai 1990 puis l'amorce d'un dialogue avec les bailleurs sociaux, la rénovation extérieure des bâtiments, l'obtention de 30% de logements attribués, les politiques de la ville et en 2006 le projet soutenu par l'ANRU (Agence nationale pour le renouvellement urbain). Il décrit également les différentes vagues d'immigration (portugaise, africaine).

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne

Saliou Dia, neuvième partie. Les préjuges sur les quartiers de banlieue, l'avenir incertain des jeunes. L'association La Caravane du casier judiciaire.

1AV 522 , 2012 - 2012  

Saliou Dia poursuit sur les images négatives véhiculées sur les quartiers de banlieue, les impasses professionnelles pour les jeunes scolarisés et diplômés venant de ces quartiers. Il s'interroge sur sa décision d'avoir fait venir ses enfants en France et quel avenir possible pour eux. Il s'interroge sur le fait de demander la nationalité française. Il parle du peu d'avenir des jeunes de ce quartier enclavé rebaptisé Boismako comme manque d'intégration pour les populations et l'abandon de ses populations. Il parle de la création d'une autre association : la caravane du casier judiciaire pour prévenir les jeunes des risques d'avoir une inscription au casier judiciaire.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne > Saliou Dia, habitant de Champigny-sur-marne, d'origine sénégalaise, entretien sur son parcours de migrant et de militant associatif : entretien filmé (2012).

Le marché et la messe à Villiers-sur-Marne, Pierre Mahé, Carlos Barreto et des jeunes, la vie à l'école et les jeunes nés en France, les restaurants et les cafés portugais dans le Val-de-Marne, le bidonville de Champigny-sur-Marne : épreuves de tournage.

4AV 217 , 1985 - 1985  

01:00:09:01-01:25:25:12 Sur le marché de Villiers-sur-Marne, on découvre les marchands de produits portugais (journaux, produits alimentaires). Images de la messe du dimanche, en langue portugaise : deux grands points de rencontre pour la commmunauté immmigrée portugaise de la région. Entretien avec différents acteurs de la communauté portugaise.

01:36:52:14-01:49:45:16 : questions-réponses de Pierre Mahé, Carlos Barreto et les jeunes français d'origine portugaise. Un adulte raconte son passage O salto (clandestinement) entre le Portugal et la France.

01:58:58:13-02:02:50:06 Dans la cour de l'école primaire Jacques Solomon à Champigny-sur-Marne. Des enfants jouent. Questions aux enfants sur leurs origines. Dans une classe du collège Elsa Triolet à Champigny, discussion entre des élèves et leur professeur de portugais. L'apprentissage du portugais, dans quelles circonstances sont utilisées les deux langeus au quotidien et dans le cercle familial.

01:49:45:17-01:58:58:12 Un tour d'horizon de l'implantation de la communauté portugaise dans le Val-de-Marne, à travers les cafés, les restaurants portugais. Entretien avec un garçon de café et avec le patron du restantant les Relfets. Scène de mariage dans le restaurant, un chanteur sur la scène.

01:25:25:13-01:36:52:13 Sur les vestiges du bidonville des jeunes de la 2e génération et des anciens habitants du bidonville. On aperçoit les jardins familiaux. Des enfants jouent, des hommes jouent à un jeu de quilles. Un dialogue entre Pierre Mahé et un ancien habitant du bidonville originaire d'un village près d'Espite, puis échange d'opinions entre les jeunes et le père Mahé sur ce que représente le bidonville à leur échelle, au regard de leur histoire individuelle et familiale.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Alexandre Cardoso : montages et épreuves de tournage. > Immigration portugaise : épreuves de tournage (1985).