Toutes les ressources Gentilly (Val-de-Marne, France) 9 résultats (1ms)

Bamadi Sanokho, entretien sur son parcours associatif et professionnel : témoignage filmé (2009).

1AV 373-376, 391-392 , 2009 - 2009  

Né en 1977 à Paris, de parents d'origine sénégalaise. La famille est intallée à Gentilly à la cité 502. En 1996, il créé une association de jeunes le "502" et participe à un voyage dans le village de Kolobo au Mali pour mettre en place un centre de santé communautaire. Il est élu à la ville de Gentilly depuis 2001. Depuis 2005, il est chargé de mission au service Relations internationales du Conseil général.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel du Conseil général

Interviews de Chantal Blandeau de l'association Femmes solidaires à Arcueil et de Catherine Dubaye du CIFF, CIDF à Créteil : épreuves de tournage.

2AV 1493 , 2000 - 2001  

Interview de Chantal Blandeau de l'associaition Femmes solidaires. Elle est interrogée sur la condition des femmes en France aujourd'hui. Pour elle, la condition des femmes est inégalitaire et injuste. Les problèmes les plus fréquents évoqués par les femmes reues par l'association sont la violence et la pauvreté. Les femmes ont peu de revenus. Elles sont victimes de violences au travail, dans la famille et dans la rue. Le rôle de l'association : les faire parler et les mettre en relation avec d'autres associations, des antennes juridiques. L'association les accompagne dans leurs demarches. Les faire prendre conscience qu'elles ne sont pas seules, victimes ni responsables. Elle évoque la marche mondiale, comme un signe positif de l'évolution de la condition féminine. Parmi les inégalités au quotidien, elle voit celles du monde du travail, l'inégalité de salaire, le partage des tâches ménagères, le manque d'écoute dans l'administration. 70% des pauvres sont des femmes. Le travail de nuit des femmes est légalisé alors que c'est source d'inégalité et de précarité. Elle parle des actions de l'association, le rôle de la mère dans la famille, les mères isolées qui engendrent des problèmes d'argent, de temps, de responsabilité, de difficultés pour élever les enfants. Elle revient sur la vie au quotidien des femmes, les lois faites par les hommes.

Prises de vues d'une cité HLM à Arcueil (au Chaperon vert).

Interview de Catherine Dubaye du CIFF-CIDF (Centre d'information féminin et familial- Centre d'information sur les droits des femmes) sur un sentier près de la Marne. L'association qui existe depuis 25 ans et qui propose une aide d'accès aux droits. Elle met à disposition l'information juridique, service d'aide aux victimes et une aide pour retrouver un emploi ou créer une entreprise. Elle donne son sentiment sur la condition des femmes aujourd'hui. Elle explique qu'il faut sensibiliser les femmes aux droits et les faire valoir. Le bureau d'aide aux victimes aide les femmes victimes de violences conjugales, physiques et morales. L'association a mis en place un bureau d'accompagnement à l'emploi pour les femmes pour les aider à trouver un emploi. Beaucoup de choses restent à faire, sensibiliser les hommes et les femmes l'égalité des chances, connaître et faire valoir ses droits. D'autres évolutions doivent être faites pour les temps de vie (conjuguer la vie familiale, le travail, le temps pour la formation).

Prises de vue de l'île Sainte-Catherine et des bords de Marne à Créteil.

Contexte :
Films de l'unité audiovisuelle du Conseil général du Val-de-Marne > Interviews de femmes militant dans des associations civiques val-de-marnaises ayant participé à la marche des femmes à New York en 2000 : épreuves de tournage (2000-2001).

L'association portugaise et le jardin familial (suite), une famille portugaise dans le13e arrondissement, la Maison du Portugal à Plaisir, Manuel Fernandes, entrepreneur portugais : épreuves de tournage.

4AV 225 , 1985 - 1985  

08:00:16:15- 08:28:59:10 : L'association portugaise de Trappes. Une photo montre un groupe de l'association. Devant l'église moderne de Notre-Dame de Trappes, le Père Duboys et la Soeur Deolinda parlent de la ferveur des Portugais et de leurs dons qui ont contribué à sa construction. Soeur Deolinda parle du trésor que constitue la langue portugaise. A Vitry-sur-Seine, Ligue du coin de terre, une famille portugaise jardine son potager, ils parlent entre voisins de parcelle de leurs cultures. Une famille portugaise de la région du Minho jardine, le père de famille raconte son émigration devant la baraque de son jardin familial.

08:28:59:10- 08:51:59:03 : La même famille dans le 13ème arraondissement de Paris, pendant un repas de famille. A Plaisir, dans les Yvelines, pose de la première pierre de la Maison du Portugal, en présence du maire de Plaisir, et de l'ambassadeur du Portugal. Entretien avec le maire de Plaisir, le délégué auprès de Claude Evin aux Affaires Sociales, le délégué aux communautés portugaises auprès du Consulat de Versailles. Image de l'église du Sacré-Coeur à Gentilly.

08:51:59:03- 09:12:22:02 : Dans le bar de son entreprise d'aviation, Manuel Fernandes, un entrepreneur portugais, parle de ses activités, vol au dessus des régions du Val-de-Marne et de la Seine-et-Marne (Disneyland en construction). Il parle de la disparition de la solidarité entre Portugais, de radio Alpha. Il raconte son arrivée en France.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Alexandre Cardoso : montages et épreuves de tournage. > Immigration portugaise : épreuves de tournage (1985).

René Bouchahib, la villa Mélanie : enregistrement sonore (2009).

14AV 1731 , 2009 - 2009  

Avant la construction des logements sociaux du quartier du Chaperon vert, une centaine de baraques étaient installées derrière la villa Mélanie au 79 rue Jean Jaurès. Il raconte les conditions de vie (l'unique point d'eau). René Bouchabib est né en 1940 et a quitté la villa Mélanie en 1957. Son père est d'origine marocaine, sa mère d'origine italienne. La plupart des habitants de la villa était issue de l'immigration : Italie, Portugal, Espagne, Russie, Arménie, Maroc). Il parle d'Emile Bougard, l¿un des cofondateurs de l¿opération HLM Arcueil-Gentilly, et un des précurseurs du logement social à Arcueil. En 1957, ils sont relogés dans la cité Paul Vaillant-Couturier. Il parle des usines aux alentours, des constructions, des autres bidonvilles, de la pauvreté des habitants de la villa Mélanie, l'entraide et la bonne entente, des humiliations à l 'école, les pétitions contre leur installation à Paul Vaillant-Couturier, les loyers perçus sur le bidonville par la propriétaire du terrain, les jardins et les potagers cultivés.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par les villes et les associations > Fresnes et Val-de-Bièvre

Immigration portugaise : épreuves de tournage (1985).

4AV 217-229 , 1985 - 1985  

Les épreuves de tournage de de documentaire balaie, sur un peu plus de 15 heures, l'histoire de l'immigration portugaise, le bidonville de Champigny-sur-Marne. Il fait un état de la communauté immigrée en Ile-de-France, son implantation aux niveaux associatif, industriel, intellectuel.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Alexandre Cardoso : montages et épreuves de tournage.
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