Emission littéraire quotidienne de fin de soirée, aux alentours de minuit. Le présentateur reçoit différents auteurs, venus présenter leurs ouvrages pour des entretiens d'une durée pouvant aller d'une demi-heure à cinquante minutes. Chaque émission est ponctuée de lectures d'extraits des ouvrages présentés. Pour la problématique de l'immigration, l'émission reçoit plusieurs invités tels l'écrivain guinéen Tierno Monénembo, qui a fui le régime guinéen d'Ahmed Sékou Touré et effectué ses études en France (1986) ; Catherine Quiminal, anthropologue, sociologue, auteur de Gens d'ici, gens d'ailleurs sur l'histoire de l'immigration africaine en France (1991) ; Simon Nizard, éducateur, présent pour Les mains de Fatma (2003), Santiago Amigorena, cinéaste et écrivain argentin, auteur de 1978 (2009) ou encore Shumona Sinha, née en Inde et auteur de Assommons les pauvres (2011). Les écrivains étrangers invités ont tous pris la décision de rédiger en langue française.
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) > Entretiens réalisés auprès du personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) à Fontenay-sous-Bois : enregistrements filmés et sonores. > Officiers de protection et chefs de section
L'organisation du Grand repas à Champigny. Les actions pour les séniors du quartier Papy-mammys. L'installation d'une cyber-base pour les jeunes du Bois l'Abbé. Un projet destiné aux jeunes de monter des projets de séjour pour les rapprocher les jeunes des autres résidents. Il raconte le conflit à l'origine du projet, le montage du projet financier par les jeunes. Il raconte les échos négatifs des médias sur les émeutes de décembre de 2005.
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne > Saliou Dia, habitant de Champigny-sur-marne, d'origine sénégalaise, entretien sur son parcours de migrant et de militant associatif : entretien filmé (2012).
Organisation : calendrier des actions, comptes rendus de réunion, emploi du temps, candidature et fiche de poste, correspondance,Enseignants/animateurs : candidatures.Réunions.Fiches d'inscription, liste d'élèves et travaux : Courbevoie, Ivry, Malakoff, Antenne 9e, Paris 15e, Paris Dunkerque, J. Prévert.Location de salle.Cahiers de prof en français et cahiers d'élèves en arabe.Documentation administrative et juridique.
Cinéma, ciné-club : programme, affichette, devis, prêt, fiches techniques, projection et film-débat, avant-projet de synopsis, documentation et publications (1976-1990).Autres : affiches, photo, radio, théâtre, projet d'action culturelle et artistique sur les images de quartier, fête de l'Humanité, semaine culturelle des créateurs tunisiens à l'étranger, 20 ans de l'UTIT (1983-1994).
Monique Retore est interviewée devant un square de la cité Hoche. Elle raconte que l'APEIS a été créée à Ivry-sur-Seine pour aider les chômeurs et les précaires à obtenir leurs droits, à les informer, les accompagner aux Assedic, la CAF, elle met à disposition de journaux. C'est un lieu où on peut parler et exister. L'association les aide à exister. Beaucoup sont découragés de retrouver un emploi ou faire face aux questions de leurs enfants. Beaucoup sont des femmes, ne veulent pas quémander, aller aux restos du coeur, le sentiment de honte. La situation des femmes est plus dure car l'emploi est précaire. On lui propose tout et n'importe quoi, alors qu'on ne le ferait pas pour un homme. Beaucoup dépriment et se négligent. On ne demande pas aux femmes d'avoir un métier, des idées, de se battre et d'avoir un but dans la vie ? Beaucoup de femmes d'origine étrangère sont soumises et n'ont pas le pouvoir de décision. A l'association, viennent de plus en plus de femmes avec des qualifications, un métier que l'ANPE redirige vers des professions peu qualifiés "de proximité". Elle rêve où chacun a sa place, un travail pour exister, des loisirs, des vacances avec ses enfants. Prise de vue de la cité Hoche.
Films de l'unité audiovisuelle du Conseil général du Val-de-Marne > Interviews de femmes militant dans des associations civiques val-de-marnaises ayant participé à la marche des femmes à New York en 2000 : épreuves de tournage (2000-2001).
Madame Ngo naît en 1924 à Dalat dans l'Annam, protectorat français. Elle reçoit un enseignement dans un établissement vietnamien à Hué, capitale royale, puis dans un lycée français à Dalat. Ses parents décèdent en 1947 et 1948 au moment de l'exode. Elle quitte le Vietnam en 1948 pour la France.
Troisième section, produits chimiques, produits réfractaires, verreries. Matières colorantes. 1. Réquisition des usines allemandes (1916-1919). 5. Correspondance avec la Badische Anilin und Soda Fabrik (1916-1917).
Caravane des anciens travailleurs de Renault Billancourt Île Segin dans la région du Souss. Mémoire vives. Exposition - film - débat - animation. Tiznit du 5 au 6 - Ait Melloul du 13 au 16 - Ouled Teïma du 18 au 19 - Agadir du 22 au 27.
Elle raconte son apprentissage de la langue portugaise au le consulat et au centre culturel portugais. Elle parle de son frère et sa soeur qui sont restés Portugais. Elle a fait la demande de nationalité française pour pouvoir être surveillante et financer ses études. Elle parle de l'accueil méprisant à la sous-préfecture de Nogent lorsque sa soeur est venue chercher sa carte de séjour à 16 ans. Sa soeur et son frère se sont mariés avec des personnes d'origine portugaise. Elle compare les photographies courantes sur le bidonville avec sa propre expérience, en marge du bidonville dans une maison en dur avec la télé, le garage et le potager. Elle pense qu'il ne faut pas limiter le bidonville à un aspect misérabiliste et resitue le bidonville dans le contexte de l'époque, inscrit dans les problèmes de logement après-guerre en France.
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Habitants du bidonville > Alice Rodrigues, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Née en 1960 en France, elle a vécu avec sa famille, sentier des Pendants jusqu'en 1967 : épreuves de tournage (2008).
Il travaille puis s'installe à Champigny-sur-Marne. Il raconte l'obtention d'un appartement auprès du bailleur Paris-habitat avant de faire venir sa famille dans le cadre du regroupement familial. Il décrit la répartition entre bailleurs entre Champigny et Villliers-sur-Marne. Il détaille les premières actions comme médiateur au Bois l'Abbé : le repas partagé. Au départ, le repas est initié par la section à Champigny de l'UTSF créée en 1984 puis est reprise par le collectif Communautés africaines du Val-de-Marne. En juin 2002, il créé une autre association Solidarité africaine pour pérenniser le travail de médiation.
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne > Saliou Dia, habitant de Champigny-sur-marne, d'origine sénégalaise, entretien sur son parcours de migrant et de militant associatif : entretien filmé (2012).
Après le Zaïre, la Mauritanie ! Hors d'Afrique, l'armée française ! Soutien à la lutte du peuple sahraoui. Association les amis de la République arabe sahraouie démocratique.
Caravane des anciens travailleurs de Renault Billancourt Île Segin dans la région du Souss / Association des anciens travailleurs de Renault-Billancourt de l'Ile Seguin (ATRIS).
Gennevilliers2009
Caravane des anciens travailleurs de Renault Billancourt Île Segin dans la région du Souss / Association des anciens travailleurs de Renault-Billancourt de l'Ile Seguin (ATRIS).
Gennevilliers2009
Moïse Ferreira, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Né au Portugal en 1933, il vient en France en 1959 et vit au bidonville jusqu'en 1963 : épreuves de tournage (2008).
Moïse Ferreira, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Né au Portugal en 1933, il vient en France en 1959 et vit au bidonville jusqu'en 1963 : épreuves de tournage (2008).