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Pionnier du Val-de-Marne : Paul Camous, préfet-délégué (1964-1967) : épreuves de tournage.
00:19:54:15- 00:30:39:00 : Rendre l'ordre de cette région mois absurde, le logement, la résorption des bidonvilles, les réalités départementales de l'ancienne Seine et de l'ancienne Seine-et-Oise suite à la commune de Paris, rapprocher l'administration des administrés, créer des collectivités de plein exercices, la maîtrise des moyens de transports.
Activités culturelles.
Printemps berbère, une année noire / Fédération des Associations Culturelles Amazighes de France. [2002]
Fédération des Associations Culturelles Amazighes de France présente Printemps Berbère, une année noire. Wattrelos 59, Val d'Oise, Paris, Nancy, Mulhouse.
Pierre Mahé, le bidonville, les jardins familiaux : épreuves de tournage.
04:00:10:04- 04:20:57:18: Suite de l'entretien avec Pierre Mahé.
04:20:57:19- 05:14:49:13: Les jardins familiaux, à l'emplacement des baraques de l'ancien bidonville, une famille jardine dans son potager. Dialogue entre un grand-père et son petit-fils, il lui raconte son histoire en marchant sur les traces du bidonville, où il a vécu. Repas avec Mario, un Portugais qui habite dans une baraque du bidonville et José Alexandre Cardoso Marques. Mario vit dans la marginalité. Il prépare le poulet qu'il élève dans l'enclos de sa baraque. Images d'un débit de boisson clandestin, lieu de rencontre des nostalgiques du bidonville. Retour au repas, Mario évoque les chantiers qu'il a entrepris dans son enclos. Scènes d'un dimanche en famille dans un jardin potager, Mario et son ami réparent un puits.
Interview de Monique Retore, membre de l'APEIS (Association pour l'emploi, l'information et la solidarité) : épreuves de tournage.
Monique Retore est interviewée devant un square de la cité Hoche. Elle raconte que l'APEIS a été créée à Ivry-sur-Seine pour aider les chômeurs et les précaires à obtenir leurs droits, à les informer, les accompagner aux Assedic, la CAF, elle met à disposition de journaux. C'est un lieu où on peut parler et exister. L'association les aide à exister. Beaucoup sont découragés de retrouver un emploi ou faire face aux questions de leurs enfants. Beaucoup sont des femmes, ne veulent pas quémander, aller aux restos du coeur, le sentiment de honte. La situation des femmes est plus dure car l'emploi est précaire. On lui propose tout et n'importe quoi, alors qu'on ne le ferait pas pour un homme. Beaucoup dépriment et se négligent. On ne demande pas aux femmes d'avoir un métier, des idées, de se battre et d'avoir un but dans la vie ? Beaucoup de femmes d'origine étrangère sont soumises et n'ont pas le pouvoir de décision. A l'association, viennent de plus en plus de femmes avec des qualifications, un métier que l'ANPE redirige vers des professions peu qualifiés "de proximité". Elle rêve où chacun a sa place, un travail pour exister, des loisirs, des vacances avec ses enfants. Prise de vue de la cité Hoche.
Du jour au lendemain
Emission littéraire quotidienne de fin de soirée, aux alentours de minuit. Le présentateur reçoit différents auteurs, venus présenter leurs ouvrages pour des entretiens d'une durée pouvant aller d'une demi-heure à cinquante minutes. Chaque émission est ponctuée de lectures d'extraits des ouvrages présentés. Pour la problématique de l'immigration, l'émission reçoit plusieurs invités tels l'écrivain guinéen Tierno Monénembo, qui a fui le régime guinéen d'Ahmed Sékou Touré et effectué ses études en France (1986) ; Catherine Quiminal, anthropologue, sociologue, auteur de Gens d'ici, gens d'ailleurs sur l'histoire de l'immigration africaine en France (1991) ; Simon Nizard, éducateur, présent pour Les mains de Fatma (2003), Santiago Amigorena, cinéaste et écrivain argentin, auteur de 1978 (2009) ou encore Shumona Sinha, née en Inde et auteur de Assommons les pauvres (2011). Les écrivains étrangers invités ont tous pris la décision de rédiger en langue française.
Thuy Lenoir, agent d'accueil puis comptable, 1987-2008 : enregistrement filmé, 19 novembre 2008
Thuy Lenoir raconte comment, réfugiée originaire du Vietnam du sud, elle est accueillie en 1977 au centre FTDA d'Herblay puis de Haute-Saône.
Elle précise ensuite comment elle rejoint le centre pour des remplacements en 1987, après y avoir effectué des vacations en tant qu'interprète, puis comment elle y est recrutée comme agent d'accueil en 1991, se spécialisant ensuite dans la comptabilité.
Elle analyse les conditions de la création du CADA et les questionnements qu'elle induit, évoque l' ouverture de places de CPH en 1993 et l'accueil de l'orphelinat rwandais en 1995.
Elle s'exprime sur la grève de 2000.
Elle regrette l'insuffisance des moyens financiers et l'importance du turn-over.
A six kilomètres de Paris : montage (1969).
Les reporters partent de la tour Eiffel et après une vue panoramique de Paris, ils vont vers la banlieue en prenant les voies sur berges et arrivent à Ivry. La visite d'Ivry commence par une vue générale de la ville (usines, habitat). Après une vue de la mairie et un rappel de l'appartenance politique de la commune depuis 1925, ils présentent l'entreprise SKF avec la sortie des ouvriers et présentation de la coopérative. Le commentateur parle de la précarité de l'emploi et des salaires. A l'office municipal de la jeunesse, présentation de voyages proposés dans les pays de l'est (commentaire sur la Hongrie). Vues sur la ville et la circulation automobile, visite du magasin Prisunic, des chantiers de constructions d'immeuble (Jeanne Hachette), des HLM et surtout les bidonvilles où logent les travailleurs immigrés notamment une famille italienne. Explications sur leurs conditions de vie. Une famille française est présentée. Après une visite de l'appartement, le chef de famille parle de sa vie quotidienne : le coût de la vie, la retraite, les études de ses enfants, la précarité de l'emploi dans le système capitaliste. Les reporters se rendent au local du PCF d'Ivry. Le secrétaire local parle du deuxième tour des élections présidentielles de 1969 entre M. Poher et M. Pompidou. Organisation de la fête de l'Humanité. André Gérard présente la MJC : ses aspirations, les activités proposées aux jeunes. Les "Amis de l'enfance" propose un spectacle avec la chanteuse Mireille Rivat. Les Vaillants et les Vaillantes organisent au palais de la Mutualité à Paris une rencontre de la jeunesse de différents pays, spectacle de danses folkloriques enfantines. Fête de l'Amitié à Malakoff. Défilé d'enfants notamment sur un char consacré au peuple vietnamien en guerre, dans la foule des délégués Nords-vietnamiens. Un bref commentaire retrace la lutte du peuple vietnamiem.
Alfieri, Charles Emmanuel
Merabti, Saïd (fonds d'archives)
Pagode de Bussy-Saint-Georges (Bussy-Saint-Georges, Seine-et-Marne)
L'association portugaise et le jardin familial (suite), une famille portugaise dans le13e arrondissement, la Maison du Portugal à Plaisir, Manuel Fernandes, entrepreneur portugais : épreuves de tournage.
08:00:16:15- 08:28:59:10 : L'association portugaise de Trappes. Une photo montre un groupe de l'association. Devant l'église moderne de Notre-Dame de Trappes, le Père Duboys et la Soeur Deolinda parlent de la ferveur des Portugais et de leurs dons qui ont contribué à sa construction. Soeur Deolinda parle du trésor que constitue la langue portugaise. A Vitry-sur-Seine, Ligue du coin de terre, une famille portugaise jardine son potager, ils parlent entre voisins de parcelle de leurs cultures. Une famille portugaise de la région du Minho jardine, le père de famille raconte son émigration devant la baraque de son jardin familial.
08:28:59:10- 08:51:59:03 : La même famille dans le 13ème arraondissement de Paris, pendant un repas de famille. A Plaisir, dans les Yvelines, pose de la première pierre de la Maison du Portugal, en présence du maire de Plaisir, et de l'ambassadeur du Portugal. Entretien avec le maire de Plaisir, le délégué auprès de Claude Evin aux Affaires Sociales, le délégué aux communautés portugaises auprès du Consulat de Versailles. Image de l'église du Sacré-Coeur à Gentilly.
08:51:59:03- 09:12:22:02 : Dans le bar de son entreprise d'aviation, Manuel Fernandes, un entrepreneur portugais, parle de ses activités, vol au dessus des régions du Val-de-Marne et de la Seine-et-Marne (Disneyland en construction). Il parle de la disparition de la solidarité entre Portugais, de radio Alpha. Il raconte son arrivée en France.
Fédération des associations de solidarité avec les travailleurs immigrés (FASTI) (fonds d'archives)
Le fonds se compose d'archives papier, d'affiches, de cassettes audios et vidéos, de banderoles et de badges.
Interview d'Aïssata Camara, membre des Femmes-relais de Champigny-sur-Marne et d'Aïcha Hachemi, membre de l'association Elles aussi : épreuves de tournage.
Prise de vues dans le local des femmes relais à Champigny-sur-Marne. Fin de l'interview d'Aïssata Camara des Femmes-relais dans la cité du Bois l'Abbé. Elle parle des femmes de différentes origines travaillant à l'association.
Interview d'Aïcha Hachemi, présidente de l'association Elles aussi, créée il y a 3 ans à Créteil, au Mont Mesly qui regroupe les habitantes du quartier. Plusieurs réunions hebdomadaires sont organisées sur le thème de la parentalité par exemple. Parfois, elles font appel à un professionnel pour répondre aux situations difficiles. L'association répond aux questions des femmes. L'association accueille au centre social permettant aux femmes de sortir avec leurs enfants à la ludothèque et de profiter de ce moment pour parler. Elle organise des ateliers de cuisine, prétexte à se réunir. Parmi les problèmes évoqués par les femmes venant à l'association : les violences, les demandes de divorce, la scolarité des enfants. Les femmes peuvent difficilement discuter avec leurs maris. Elle cotoie les femmes maghrébines et voit beaucoup d'évolution et reste optimiste pour l'avenir. Elle parle de la marche des femmes à New York qui l'a beaucoup marquée.