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Femmes d'ici et d'ailleurs, pièce de théâtre de la compagnie de théâtre Kokoya jouée au théâtre Romain Rolland à Villejuif le 24 octobre 2008 : filage de la répétition.

1AV 320 , 2008 - 2008  

Pièce réalisée à partir du témoignage librement adapté de 6 femmes issues de l'immigration, des primo-arrivantes du Portugal, Algérie, Mali, Vietnam, Roumanie depuis l'après-guerre à nos jours.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Les artistes travaillant sur l'immigration

Alice Rodrigues, première partie.

1AV 261 , 2008 - 2008  

Alice Rodrigues raconte les origines modestes de ses parents, issus de familles paysannes au Portugal. Elle est née en 1960 à Champigny-sur-Marne chez une sage-femme. Ses parents habitaient en bordure du bidonville au 52 bis sentier des Pendants. Son frère et sa soeur aînés sont nés au Portugal. Ils ont vécu au bidonville jusqu'en 1967 puis sont partis à Ormesson. Elle décrit le terrain partagé entre son père et son oncle, la maison en bordure du bidonville, avec toutes ses commodités (eau courante, électricité). Elle parle de sa scolarité, de sa tentative de préparer l'école vétérinaire et des difficultés dûes aux écarts de classe sociale. Elle est professeure d'histoire-géographie à Champigny.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Habitants du bidonville > Alice Rodrigues, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Née en 1960 en France, elle a vécu avec sa famille, sentier des Pendants jusqu'en 1967 : épreuves de tournage (2008).

Michèle Vibert, entretien sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Enseignante à l'école du plateau à Champigny-sur-Marne de 1961 à 1968 : enregistrement filmé (2008).

1AV 254-255 , 2008 - 2008  

Enseignante à l'école du plateau à Champigny-sur-Marne de 1961 à 1968 près du bidonville de Champigny-sur-Marne.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Enseignants à l'école du Plateau

René Bouchahib, la villa Mélanie : enregistrement sonore (2009).

14AV 1731 , 2009 - 2009  

Avant la construction des logements sociaux du quartier du Chaperon vert, une centaine de baraques étaient installées derrière la villa Mélanie au 79 rue Jean Jaurès. Il raconte les conditions de vie (l'unique point d'eau). René Bouchabib est né en 1940 et a quitté la villa Mélanie en 1957. Son père est d'origine marocaine, sa mère d'origine italienne. La plupart des habitants de la villa était issue de l'immigration : Italie, Portugal, Espagne, Russie, Arménie, Maroc). Il parle d'Emile Bougard, l¿un des cofondateurs de l¿opération HLM Arcueil-Gentilly, et un des précurseurs du logement social à Arcueil. En 1957, ils sont relogés dans la cité Paul Vaillant-Couturier. Il parle des usines aux alentours, des constructions, des autres bidonvilles, de la pauvreté des habitants de la villa Mélanie, l'entraide et la bonne entente, des humiliations à l 'école, les pétitions contre leur installation à Paul Vaillant-Couturier, les loyers perçus sur le bidonville par la propriétaire du terrain, les jardins et les potagers cultivés.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par les villes et les associations > Fresnes et Val-de-Bièvre
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Le patrimoine au défi des migrations : l'exemple du plateau Bourbon à Luxembourg-Ville

FRGNQ_V_001_003_019 , 2012  

« Le Plateau Bourbon, aménagé au début du XXe siècle constitue un des fleurons touristiques de la Ville de Luxembourg. L'office national du tourisme y propose un circuit qui met en valeur son patrimoine architectural particulier. Cette patrimonialisation se fait toutefois sans référence à une dimension migratoire significative sans laquelle les immeubles de prestige et les maisons de maître qui caractérisent ce quartier n'auraient pas pu voir le jour en une petite décennie. »

Extrait de l'intervention d'Antoinette Reuter

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Echanges avec la salle

FRGNQ_V_001_003_009 , 2012  

Quel lien existe-t-il entre le partage du patrimoine d'un coté et la circulation des mémoires d'un autre côté, notamment par rapport aux contraintes de la crise en Europe ?

Quels sont les usages des lieux de mémoire aujourd'hui ? Comment est-ce qu'au delà de ces actes symboliques les gens se réapproprient ces lieux ? (

Péroline Barbet, Centre des musiques traditionnelles Rhône-Alpes).

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Entretien d'Albano Cordeiro

Génériques : FRGNQ_V_001_004_019, Archives nationales : 20160153/19 , 2014  

Principaux sujets évoqués

Environnement familialLa question coloniale et le Mozambique en particulierSa venue en France en tant qu'étudiant en 1961Ses études à RomeSon mariageSes déplacements à Alger (1962-1965)Son engagement anti-colonialSon installation à GrenobleSes premières recherches sur l'immigration algérienneMilitantisme au côté des déserteurs portugaisAssociation franco-portugaise de GrenobleLa Révolution des oeilletsLe Collectif pour l'étude et la dynamisation de l'émigration portugaise (CEDEP)Sa participation à la Marche pour l'égalité et contre le racismeComparaison entre «l'invisibilité» des Portugais et racisme anti-maghrébinsSa participation à Convergences 84Création de l'Université alternative antiraciste pour l'EgalitéInstallation à Paris en 1985Association Interactions France PortugalAssociation Portugais de France actifs et solidaires (PFAS)La question des sans-papiersSes retours au Mozambique dans les années 1990 et 2000Ses préoccupations: les questions de citoyenneté et du droit de voteMemoria viva (Mémoire vive)

Week-end en Tosmanie : montage, (s.d.).

4AV 261  

Jorge, un jeune homme portugais erre dans les rues, rencontre des amis, va au café et s'interroge sur la communauté portugaise immigrée, à laquelle il appartient, mais dont il rejette le repli sur elle-même et sa culture désuette, figée sur les 3 F : Football, Folklore et Fatima. Il parle de la Tosmanie : le pays des Tos (portos, les Portugais en argo). Ce pays d'après lui existe partout, car les Portugais sont répartis un peu partout dans le monde, et à la fois n'existe nulle part car ils vivent repliés sur eux-mêmes et passent donc pour invisibles. Leur intégration reste souvent illusoire. Ce film évoque donc l'enfermement de la communauté dans une nostalgie, une histoire, une culture vieille de cent ans. Rencontre d'un jeune groupe de rock créé par des jeunes portugais qui affirment des aspirations artistiques différentes de celles du folklore traditionnel.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Vieira : montages, épreuves de tournage.

Fonds ""25 de Abril""

 

Ces affiches sur la Révolution des Œillets, plus précisemment la journée du 25 avril, ont été collectées par la Coordination des collectivités portugaises en France (CCPF). Une grande partie a été éditée au Portugal par l'Associação 25 de Abril, créée en 1982 à Lisbonne (www.25abril.org). Il s'agit, d'une part, d'éditions originales d'affiches réalisées entre 1982 et 1998 pour commémorer l'anniversaire de la la chute de la dictature le 25 avril 1974 et, d'autre part, de rééditions d'affiches produites en 1974-1975 dans le cadre de la Campagne de dynamisation culturelle et d'action civique impulsée par le MFA (Commission dynamisatrice centrale) et le gouvernement portugais après la Révolution des Œillets. Lancée en octobre 1974, la campagne de dynamisation avait pour objectif de rapprocher le peuple portugais des forces armées dans un grand mouvement de mobilisation populaire, de diffuser les buts et idéaux de la Révolution dans les campagnes, d'éduquer les travailleurs et paysans portugais dont près de 30% étaient analphabètes.

Quelques affiches isolées célébrant le 25 avril 1974 ou ayant trait à cette période de l'histoire contemporaine du Portugal, mais non produites par l'Associação 25 de Abril, ont été agrégées à cet ensemble.

Plusieurs visuels illustrant ces affiches ont été créées par des artistes portugais ayant participé aux années de lutte contre la dictacture. Certains de ces visuels ayant fleuri sur les murs de Porto ou de Lisbonne avant ou pendant les journées d'avril 1974 furent réutilisés comme symboles par les mouvements qui avaient mené la Révolution.