Toutes les ressources Lyon (Rhône, France) 85 résultats (5ms)

Equipements ; mobilier…

Sans date  

[Nicolas-Garnier à Villeurbanne ; Meyzieu à Saint-Priest ; Andrézieux-Bouthéon ; Général-Frère (Lyon 8e) ; Portes-du-Sud à Vénissieux (Corbas) ; J. -Masset, rue Saint-Pierre-de-Vaise (Lyon 9e).]

Contexte :
Sous-fonds du siège social (Espace des Brotteaux) > Service patrimoine (35 ml) > Établissements : dossiers collectifs > Aménagements et travaux : dossiers techniques et fournisseurs
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Echanges avec la salle

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Question à Péroline Barbet : Même si la génération d'aujourd'hui ne se sent plus concernée par ces musiques, des personnes gardent-elles les cassettes ? Sont-elles numérisées ? Quelle mémoire ces productions ont-elles laissées aujourd'hui ?

Une personne du public fait une remarque en rapport avec l'intervention de Sabah Chaïb, sur certaines pratiques introduites en Algérie par la colonisation.

Une autre personne du public évoque le chanteur Saïd Maghribi en rapport avec l'intervention de Péroline Barbet.

Contexte :
Le patrimoine de l'immigration : quelles pratiques de transmission ? (I)
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Les cultures musicales migrantes, un patrimoine en perpétuelle recomposition.

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« Le Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes œuvre depuis près de 20 ans à la valorisation des patrimoines de l'oralité et en particulier des musiques de tradition orale sur le territoire régional. Il mène notamment des projets de recherche-action fondés sur le recueil de témoignages musicaux auprès des habitants des territoires multiculturels et la réédition d'archives sonores. (&) Cette année, le CMTRA poursuit ses travaux de recherche et de valorisation des cultures musicales franco-maghrébines à travers le projet «  Place du pont production ». Tour d'horizon de la grande mosaïque des musiques populaires maghrébines produites à Lyon, il sera dédié aux cassettes et aux 45T, ces objets démocratiques de diffusion tombés en désuétude. Ce projet à la fois patrimonial et tourné vers la création contemporaine sera l'occasion de faire redécouvrir un aspect méconnu de l'héritage musical lyonnais et d'analyser les conditions d'émergence d'une musique nouvelle, fruit de métissage et constitutive d'identités nouvelles. »

Extrait du texte de Péroline Barbet

Contexte :
Le patrimoine de l'immigration : quelles pratiques de transmission ? (I)

Boletín de información del Comite regional de acción antifascista de lengua española de Lyon y región : De lengua española de Lyon y región / Comite regional de acción antifascista de lengua española de Lyon y región ; Federación de comites de acción antifascista y de comites femeninos pro infancia de lengua española de Lyon y región. Lyon1937-1938

1937-1938  

BnF, site François-Mitterrand : Rez-de-jardin - magasin GR FOL- JO- 2942 { 15 mai 1937-15 oct. 1938 (n° 4-10) }

Contexte :
1931-1940 > 1937
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Justice pour Ladj Younes / Al Charara, Comités anti-racistes, Comité de soutien des travailleurs immigrés (CSTI), FCR, Mouvement des travailleurs arabes (MTA), Révo-Afrique, Révolution !. 1973

1691 , 1973  

Août 73. Des racistes tuent, des policiers tuent. François Canto, sous-brigadier, inculpé après enquête du frère de la victime, Ladj Younes. Justice pour les familles des victimes. Justice pour Ladj Younes. Meeting : samedi 23 novembre 14h30 au cinéma Le Réjean, rue de Lyon. Comités anti-racistes. Mouvement des travailleurs arabes. Comités de soutien aux travailleurs immigrés. Révo-Afrique. Révolution ! Al Charara. FCR.

Contexte :
Rassemblements et manifestations > 1970-1979
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Lyon, ça va saigner !. 1981

4839 , 1981  

ça va saigner ! Eté 81, les gens de l'est lyonnais ont montré comment gagner : ils ont fait exemple. La dimension collective du jeu avec les voitures volées donne l'ampleur du scandale. Hors-course les flics ! Combien de fois l'excitation publique a tenu la rue quand les rodéos se terminaient en incendies à la barbe des flics ! Désormais, la police ne peut plus y intervenir sans que le public se lève contre elle. En ce début d'été 82, l'Etat est décidé à étouffer ce scandale. Il a lancé une opération d'extermination massive contre les jeunes prolétaires de l'est lyonnais. Tous les moyens, CRS et Trigano, sont conjugués pour que plus rien n'apparaisse. Toute une population est mise au secret afin d'être anéantie. Dans la masse anonyme des prolétaires sans banderoles ni chefs, les flics arrêtent ce qu'ils peuvent : des otages, pris au hasard des occasions et des prétextes (crées sur mesure, torture à l'appui). La justice fait le reste : mettre le maximum de gens hors circualtion pour cet été. Pendant ce temps, les menteurs spécialisés nous annoncent que tout est calme sur place. Ils l'ont en effet mis au calme, le mec qui faisait un rodéo voici un mois, et qui s'est écrasé contre un poteau après que les porcs-bâtards lui aient logé une balle dans la nuque - et qui est toujours à l'hosto. Comme ils ont mis au calme plusieurs jeunes de la Zup des Minguettes (Vénissieux) emprisonnés plusieurs mois pour des affaires d'auto-défense anti-flic. L'intensité de la répression et du quadriallage nous contraint à mettre toujours plus de méthode dans notre furie. De toutes façons, le goût du rodéo est entré dans les moeurs d'une époque, comme celui des incendies. Chaque nuit, dans l'est lyonnais, voit des flammes. Dans la Zup de Vénissieux, les flics sont toujours aussi bien recus.Tous les espoirs sont permis. Parmi les beaux excès qui agitent les nuits de l'est lyonnais, il nous plaît de signaler celui-ci : dans la nuit du 25 au 26 juin, 10 voitures ont été incendiées sur le parking d'une résidence pour cadres de Villeurbanne, à proximité du domicile de Charles Hernul. Sur les murs de la surface commerciale en face, des phrases pleines d'esprit : """" aux rodéos-boys emprisonnés"""", """" les flics nous extreminent en banlieue, soyons cruels"""", """"ça va saigner"""", """"un bon flic est un flic mort"""", """"feu ! contre rouille"""" et sur les murs d'une ANPE voisine : """"nous ne travaillerons jamais"""". Pendant ce temps, Mauroy veut mettre au travail obligatoire tous les jeunes de 16 à 18 ans. Cette belle jeunesse n'attend plus l'usine pour foutre le feux aux voitures de contremaître. Defferre demande à Trigano de nous préparer des petits divertissements pour l'été ! Et ces limaces d'éducateurs qui veulent nous """"animer"""" ! Saviez-vous, à propos, que des moniteurs de la police veulent donner des cours de conduite aux jeunes des Zup cet été. Tout ce qui rampe sur la terre est gouverné par les coups. A nous de les donner.

Contexte :
Immigration > Campagnes militantes et citoyennes > Violences policières et répression > 1980-1989

Francs-tireurs et partisans de la Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI) (1942-1943)

Entre le 1er janvier 1942 et le 31 décembre 1943  

Le groupe des Francs-tireurs et partisans de la Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI) est créé en 1942 en région parisienne. Il regroupe une partie des résistants étrangers menant la lutte armée durant la Seconde Guerre mondiale. A sa création, le groupe est dirigé par Boris Holban, Karel Stefka et Olaso Piera, puis en 1943 par Missak Manouchian dit Georges. Il se développe ensuite et se répartit en différents groupes dont le bataillon Liberté (Grenoble), la 35e brigade (Toulouse), le bataillon Carmagnole (Lyon-Villeurbanne) et le groupe Manouchian (Paris).

Chaque groupe suit une répartition par détachements. Sont représentés les Hungaro-Roumains (1er détachement), les Juifs (2e détachement), les Italiens (3e détachement), les dérailleurs (4e détachement) complétés par deux équipes de Bulgares et d'Espagnols. Les FTP-MOI disposent également d'un service de renseignement préparant les actions armées en amont par la recherche d'objectifs et le repérage des lieux. Le groupe déploie sur le territoire des offensives armées suivant la stratégie dite « boule de Mercure ». Cette technique vise à organiser une offensive selon l'action simultanée de différents petits groupes extrêmement mobiles afin de faire croire à une organisation de grande importance. L'une de leur action la plus connue est l'assassinat, le 28 novembre 1943, du général SS Julius Ritter qui supervisait les réquisitions d'ouvriers français pour l'industrie allemande par le biais du Service du travail obligatoire (STO).