Toutes les ressources Europe 127 résultats (3ms)

Zone interdite

1995-2003  

Magazine de reportages et d'investigations, diffusé un dimanche sur deux en début de soirée, en alternance avec l'émission Capital. L'immigration y est présentée au travers d'enquêtes sur l'immigration globale à travers l'Europe et plus particulièrement en France avec des portraits d'immigrés qui souhaitent devenir français. On les suit durant leurs démarches administratives. On trouve également un focus sur la Fondation Kastler qui Suvre pour la venue en France de chercheurs étrangers. Une autre émission est consacrée à l'exploitation, par des réseaux mafieux en France, des enfants venus de l'Europe de l'Est et de la Chine, les enfants-esclaves. La délinquance dans la banlieue parisienne et dans la région nîmoise est également abordée.

Week-end en Tosmanie : montage, (s.d.).

4AV 261  

Jorge, un jeune homme portugais erre dans les rues, rencontre des amis, va au café et s'interroge sur la communauté portugaise immigrée, à laquelle il appartient, mais dont il rejette le repli sur elle-même et sa culture désuette, figée sur les 3 F : Football, Folklore et Fatima. Il parle de la Tosmanie : le pays des Tos (portos, les Portugais en argo). Ce pays d'après lui existe partout, car les Portugais sont répartis un peu partout dans le monde, et à la fois n'existe nulle part car ils vivent repliés sur eux-mêmes et passent donc pour invisibles. Leur intégration reste souvent illusoire. Ce film évoque donc l'enfermement de la communauté dans une nostalgie, une histoire, une culture vieille de cent ans. Rencontre d'un jeune groupe de rock créé par des jeunes portugais qui affirment des aspirations artistiques différentes de celles du folklore traditionnel.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Vieira : montages, épreuves de tournage.

Une entreprise portugaise, le consul du Portugal à Paris, les étudiants d'origine portugaise à la Sorbonne : épreuves de tournage.

4AV 227 , 1985 - 1985  

10:00:09:24- 10:30:48:04 : Chantier de la JAF à l'Arche de la Défense, entretien avec un ouvrier portugais, des ouvriers au travail. Repas à la cantine du chantier, entretien avec un ouvrier de la famille de José Azevedo, patron de la JAF. Au siège de la JAF, entretien avec le PDG et un sous-directeur français.

10:30:48:04- 11:14:55:09 : Le Consul général du Portugal à Paris. Entretien avec des étudiants français issus de la deuxième génération à la Sorbonne.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Alexandre Cardoso : montages et épreuves de tournage. > Immigration portugaise : épreuves de tournage (1985).
/medias/customer_28/affiches/FRGNQ_A_4856_jpg_/0_0.jpg
1 média

Tchétchénie criblée d'images / Association marcho doryla. 2004

4856 , 2004  

23 février 1944, Staline faisait déporter le peuple tchétchène. 23 février 2004, l'Association marcho doryla """" Que la liberté entre avec vous"""" propose : Tchétchénie criblée d'images, du déporté au terroriste, images déformées d'un peuple en résistance. Festival de films-débats avec invités spéciaux. Caucase, Russie, Europe, 3 regards croisés. 23 février au 24 mars 2004 : Clermont-Ferrand, Toulouse, Strasbourg, Bordeaux. Paris : 23 février, Théâtre du Soleil

Contexte :
Libérations politiques > Asie > Tchetchénie

Témoignage d'un travailleur algérien à la fabrication de bagues : enregistrement sonore.

14AV 689 , 1987 - 1987  

Face A :

Travailleur algérien, travaillait à la fabrication de bagues sur les tours automatiques, relations avec les cadres

00.04.44 annonce des licenciements

00.06.13 pourquoi il a envisagé l'occupation

00.10.15 l'occupation, manifestations, il est allé en Lorraine, à Göteborg

00.17.04 ce qu'il fait maintenant

00.19.28 les souvenirs de l'occupation : Suède, aciérie en Lorraine, la Bastille

00.21.30 les accidents du travail

00.22.40 le 5 juin, après le départ des CRS tout a été saccagé

00.27.20 les stages, l'insertion professionnelle, le chômage des jeunes et problèmes sociaux qui en découlent

00.36.25 fin. Résumé

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par les villes et les associations > Ivry-sur-Seine > Recueil de témoignages auprès de 37 salariés de l'usine SKF à Ivry-sur-Seine après l'occupation contre la fermeture (1983-1985) et le conflit : enregistrements sonores.

Sur les traces du bidonville en 1985 : épreuves de tournage.

4AV 218 , 1985 - 1985  

13:00:04:19- 13:22:28:20: Sur l'emplacement de l'ancien bidonville, d'anciens habitants évoquent les conditions de vie difficiles. Un homme explique comment la vie quotidienne s'organisait. Il parle des différents réseaux contrôlant le travail clandestin, la location des baraques, les réseaux dont l'organisation est imputée à des portugais. L'histoire du bidonville entre 1961 et 1972 est abordée, jusqu'à la construction des H.L.M. du Bois l'abbé.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Alexandre Cardoso : montages et épreuves de tournage. > Immigration portugaise : épreuves de tournage (1985).

Saliou Dia, neuvième partie. Les préjuges sur les quartiers de banlieue, l'avenir incertain des jeunes. L'association La Caravane du casier judiciaire.

1AV 522 , 2012 - 2012  

Saliou Dia poursuit sur les images négatives véhiculées sur les quartiers de banlieue, les impasses professionnelles pour les jeunes scolarisés et diplômés venant de ces quartiers. Il s'interroge sur sa décision d'avoir fait venir ses enfants en France et quel avenir possible pour eux. Il s'interroge sur le fait de demander la nationalité française. Il parle du peu d'avenir des jeunes de ce quartier enclavé rebaptisé Boismako comme manque d'intégration pour les populations et l'abandon de ses populations. Il parle de la création d'une autre association : la caravane du casier judiciaire pour prévenir les jeunes des risques d'avoir une inscription au casier judiciaire.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne > Saliou Dia, habitant de Champigny-sur-marne, d'origine sénégalaise, entretien sur son parcours de migrant et de militant associatif : entretien filmé (2012).

Saliou Dia, dernière partie. Les actions de la Caravane du casier judiciaire. Le collectif des parents d'élèves du collège Elsa Triolet. L'avenir du Bois l'Abbé.

1AV 523 , 2012 - 2012  

Les actions de la Caravane du casier judiciaire, suite. Les actions d'un collectif des parents d'élèves puis l'association des parents d'élèves pour le collège Elsa Triolet de Champigny-sur-Marne. Il parle du point de vue de son épouse qui préfère rester en France. Il parle de la condition féminine en Afrique. Il parle de l'évolution de l'accueil des migrants en France depuis 30 ans, les difficultés plus nombreuses, la disparition du tissu associatif. Il parle de l'avenir bouché au Bois l'Abbé, le trafic de drogue grandissant, le chômage, la précarité des parents. Il parle de son avenir et conseille aux jeunes de s'investir aussi dans leur pays d'origine "Vous êtes Français, oui mais". Il ne se fait plus d'illusions sur la place des gens de couleur en France, les capacités des jeunes pour devenir français, les diplômes, la nationalité ne suffit pas, "les Noirs restent noirs".

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne > Saliou Dia, habitant de Champigny-sur-marne, d'origine sénégalaise, entretien sur son parcours de migrant et de militant associatif : entretien filmé (2012).

Saliou Dia, cinquième partie. La vie en France, les petits boulots, le mariage en 1989, la vie associativie en France, le projet Asre (lieu intermédiaire entre le village traditionnel et la ville africaine) et le retour projeté au Sénégal en 1993.

1AV 515 , 2012 - 2012  

De 1979 à 1989 environ, il vit au foyer Sonacotra à Clichy. Il raconte les petits boulots : gardien de chiens, son premier jour et ses tâches. Il fait le ménage également, notamment pour une comtesse à Paris dans le 16e arrondissement sans être jamais déclaré. Il travaille dans une blanchisserie à Orly, dans la restauration (Sodexo) où il était déclaré. Il raconte les conditions de travail à la blanchisserie à Orly et a changé son regard sur la femme, la femme européenne en travaillant avec des femmes portugaises. Il connaît des périodes de chômage. Son mariage arrangé en 1989 avec une cousine du village. Le mariage mixte est mal vu en Afrique.Il adhère à l'UGTSF puis part en claquant la porte. En 1984 il crée une association en reprenant le même nom : Union générale des travailleurs sénégalais en France. L'association devenue UTSF-AR (action revendicative). Il détaille les revendications et les actions, son organisation collégiale. Il parle de son projet Asre et son souhait de rentrer au village avec un projet de développement. Il participe à un jamboree des Scouts de France à Jambville. Ce cadre de réflexion l'a beaucoup impressionné. Il souhaite créér un lieu similaire dans sa région. A la même époque, il créé une autre association Fouta Toro en 1987 pour encourager les jeunes issus de l'immigration à entretenir des liens avec le pays des parents.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne > Saliou Dia, habitant de Champigny-sur-marne, d'origine sénégalaise, entretien sur son parcours de migrant et de militant associatif : entretien filmé (2012).

René Bouchahib, la villa Mélanie : enregistrement sonore (2009).

14AV 1731 , 2009 - 2009  

Avant la construction des logements sociaux du quartier du Chaperon vert, une centaine de baraques étaient installées derrière la villa Mélanie au 79 rue Jean Jaurès. Il raconte les conditions de vie (l'unique point d'eau). René Bouchabib est né en 1940 et a quitté la villa Mélanie en 1957. Son père est d'origine marocaine, sa mère d'origine italienne. La plupart des habitants de la villa était issue de l'immigration : Italie, Portugal, Espagne, Russie, Arménie, Maroc). Il parle d'Emile Bougard, l¿un des cofondateurs de l¿opération HLM Arcueil-Gentilly, et un des précurseurs du logement social à Arcueil. En 1957, ils sont relogés dans la cité Paul Vaillant-Couturier. Il parle des usines aux alentours, des constructions, des autres bidonvilles, de la pauvreté des habitants de la villa Mélanie, l'entraide et la bonne entente, des humiliations à l 'école, les pétitions contre leur installation à Paul Vaillant-Couturier, les loyers perçus sur le bidonville par la propriétaire du terrain, les jardins et les potagers cultivés.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par les villes et les associations > Fresnes et Val-de-Bièvre