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CLICHY SOUS BOIS
Santé publique : Atelier santé, ville de Clichy-sous-bois (2002), réflexion sur la santé mentale des enfants et des jeunes.
Première journée nationale de la diversité. 4 novembre 2006
Première journée nationale de la diversité, le samedi 4 novembre 2006. Programme sur : www.journee-diversite.com
Ville de Pantin, 1995-1996 : . Comptes rendus d'intervention et de réunion du CCFEL à Pantin (1996), . Formation action sociale collective sur les problèmes de santé publique (1995), Plaquettes Préserv'bus de Bondy, Pantin, Clichy-sous-bois, Montfermeil, Chelles, documentation, 1995-1996.
Bilans d'activité (1995), fiches hebdomadaires du Préserv'bus (en 2000, à Clichy-sous-Bois, Bondy, Montfermeil, Pantin), 1995, 2000.
Villes de Clichy / Montfermeil : publications, correspondance et convention entre la ville et le CCFEL, comptes rendus d'intervention et de réunion du CCFEL à Clichy.
"Projet espace, bus itinérant, soins toxicomanes, Sida et prévention dans les quartiers de Seine-Saint-Denis" [1990-1995]. "Lieu de contacts et d'accompagnement des toxicomanes marginalisés", 1993. Projet de formation Sida pour les aides ménagères. Boutique prévention-santé à Clichy-sous-Bois et Montfermeil, 1993. Session de formation, information, prévention petite enfance. Formation : "L'insertion : cheminement des femmes et des jeunes dans la cité" . "Itinéraires de femmes dans la ville, la prévention au quotidien dans les cheminements des femmes" s.d. "Projet de prévention Préserv'bus dans les quartiers défavorisés, 1993. "La prise en charge des toxicomanes entre la ville et l'hôpital", 1995. Projet de soirée de sensibilisation et d'information sur le Sida à Pantin, aux Courtillères, 1995. -"Vers un meilleur accès aux soins pour les personnes en difficulté", projet de film vidéo, 1996. Notes diverses. 1990-1996.
Relations avec les mairies : correspondance, projet et comptes rendus sur la vie des quartiers, la politique de la Ville et la santé à Bondy, Montfermeil, Clichy-sous-Bois et Pantin.
Correspondance avec les partenaires institutionnels et locaux : . préfecture de Seine-Saint-Denis, . mairies de Bondy, Chelles, Clichy, Pantin, Pré-Saint-Gervais, Villepinte.
Saliou Dia, cinquième partie. La vie en France, les petits boulots, le mariage en 1989, la vie associativie en France, le projet Asre (lieu intermédiaire entre le village traditionnel et la ville africaine) et le retour projeté au Sénégal en 1993.
De 1979 à 1989 environ, il vit au foyer Sonacotra à Clichy. Il raconte les petits boulots : gardien de chiens, son premier jour et ses tâches. Il fait le ménage également, notamment pour une comtesse à Paris dans le 16e arrondissement sans être jamais déclaré. Il travaille dans une blanchisserie à Orly, dans la restauration (Sodexo) où il était déclaré. Il raconte les conditions de travail à la blanchisserie à Orly et a changé son regard sur la femme, la femme européenne en travaillant avec des femmes portugaises. Il connaît des périodes de chômage. Son mariage arrangé en 1989 avec une cousine du village. Le mariage mixte est mal vu en Afrique.Il adhère à l'UGTSF puis part en claquant la porte. En 1984 il crée une association en reprenant le même nom : Union générale des travailleurs sénégalais en France. L'association devenue UTSF-AR (action revendicative). Il détaille les revendications et les actions, son organisation collégiale. Il parle de son projet Asre et son souhait de rentrer au village avec un projet de développement. Il participe à un jamboree des Scouts de France à Jambville. Ce cadre de réflexion l'a beaucoup impressionné. Il souhaite créér un lieu similaire dans sa région. A la même époque, il créé une autre association Fouta Toro en 1987 pour encourager les jeunes issus de l'immigration à entretenir des liens avec le pays des parents.