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Alice Rodrigues, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Née en 1960 en France, elle a vécu avec sa famille, sentier des Pendants jusqu'en 1967 : épreuves de tournage (2008).
Cadette d'une famille de trois enfants, elle est la seule enfant née en 1960 à Champigny-sur-Marne. Ses parents habitent le bidonville, sentier des Pendants jusqu'en 1967 puis s'installent à Ormesson. Elle est professeure d'histoire-géoagraphie, travaille et vit à Champigny.
Inauguration du monument dédié à l'immigration portugaise à Champigny-sur-Marne le 22 juin 2008, discours de M. Adenot, Christian Favier et M. Monteiro : enregistrement sonore.
Saliou Dia, dernière partie. Les actions de la Caravane du casier judiciaire. Le collectif des parents d'élèves du collège Elsa Triolet. L'avenir du Bois l'Abbé.
Les actions de la Caravane du casier judiciaire, suite. Les actions d'un collectif des parents d'élèves puis l'association des parents d'élèves pour le collège Elsa Triolet de Champigny-sur-Marne. Il parle du point de vue de son épouse qui préfère rester en France. Il parle de la condition féminine en Afrique. Il parle de l'évolution de l'accueil des migrants en France depuis 30 ans, les difficultés plus nombreuses, la disparition du tissu associatif. Il parle de l'avenir bouché au Bois l'Abbé, le trafic de drogue grandissant, le chômage, la précarité des parents. Il parle de son avenir et conseille aux jeunes de s'investir aussi dans leur pays d'origine "Vous êtes Français, oui mais". Il ne se fait plus d'illusions sur la place des gens de couleur en France, les capacités des jeunes pour devenir français, les diplômes, la nationalité ne suffit pas, "les Noirs restent noirs".
Concert avec Djida / Les verts.Paris, 1989 (Paris1989
Avec Djida ! et les verts. Spontch ! Pour une Europe sans exclus. Le 16 juin à 19h à la mutualité. Intervention de Djida Tazdait et d'Antoine Weachter et du comité national. Concert avec Chab Djallah, Muluk Elhwa, Gom Jabbar, Matouloulou et Beurk's Band, Les gnaouas de Marrakech, Puppa Lesli, Harem. Imprimerie Edit 71 [...]
Lenka Middelbos, responsable adjointe chargée du Transit et du Centre d'Accueil des Demandeurs d'Asile à partir de 2000.
Lenka Midelbos précise son origine tchécoslovaque et son parcours de formation.
Elle évoque son arrivée en 1977 à Paris où elle obtient le statut de réfugiée.
Elle raconte son embauche de 1978 à 1999 à l'Association FTDA et détaille les différents postes qu'elle y a occupés : secrétaire (1978), chargée de l'acheminement des réfugiés et participation à la mission de prospection (années 1980), conseillère technique pour le service de la coordination du DNA (dispositif national d'accueil) en 1991 dont elle prend la direction en 1997.
Elle donne son sentiment sur l'accueil des réfugiés du sud est asiatique dans les années 1980, sur la baisse en 5 ans (1985-1990) des demandes de statuts satisfaites (passent de 80% à 20 %), sur le projet de centre de premier accueil (1986), sur la place à part du CADA de Créteil (années 1990), et sur les conséquences de l'apparition en 1991 du statut de demandeur d'asile.
Saliou Dia, cinquième partie. La vie en France, les petits boulots, le mariage en 1989, la vie associativie en France, le projet Asre (lieu intermédiaire entre le village traditionnel et la ville africaine) et le retour projeté au Sénégal en 1993.
De 1979 à 1989 environ, il vit au foyer Sonacotra à Clichy. Il raconte les petits boulots : gardien de chiens, son premier jour et ses tâches. Il fait le ménage également, notamment pour une comtesse à Paris dans le 16e arrondissement sans être jamais déclaré. Il travaille dans une blanchisserie à Orly, dans la restauration (Sodexo) où il était déclaré. Il raconte les conditions de travail à la blanchisserie à Orly et a changé son regard sur la femme, la femme européenne en travaillant avec des femmes portugaises. Il connaît des périodes de chômage. Son mariage arrangé en 1989 avec une cousine du village. Le mariage mixte est mal vu en Afrique.Il adhère à l'UGTSF puis part en claquant la porte. En 1984 il crée une association en reprenant le même nom : Union générale des travailleurs sénégalais en France. L'association devenue UTSF-AR (action revendicative). Il détaille les revendications et les actions, son organisation collégiale. Il parle de son projet Asre et son souhait de rentrer au village avec un projet de développement. Il participe à un jamboree des Scouts de France à Jambville. Ce cadre de réflexion l'a beaucoup impressionné. Il souhaite créér un lieu similaire dans sa région. A la même époque, il créé une autre association Fouta Toro en 1987 pour encourager les jeunes issus de l'immigration à entretenir des liens avec le pays des parents.
Femmes d'ici et d'ailleurs, pièce de théâtre de la compagnie de théâtre Kokoya jouée au théâtre Romain Rolland à Villejuif le 24 octobre 2008 : filage de la répétition.
Pièce réalisée à partir du témoignage librement adapté de 6 femmes issues de l'immigration, des primo-arrivantes du Portugal, Algérie, Mali, Vietnam, Roumanie depuis l'après-guerre à nos jours.
Françoise Landemard, officier de protection dans la division Europe de l'OFPRA de 1984 à 2008 : épreuves de tournage (2009).
Née en 1943, elle apprend le russe et le serbo-croate à l'Inalco. Après avoir suivi son mari en Afrique, elle rentre en France en 1983 et est recrutée à l'Ofpra dans la section yougoslave de la division Europe. Recrutée à l'origine pour les délégations régionales qui ne verront pas le jour, elle traite ensuite les demandes algériennes, turques, serbes, albanaises.
L'association culturelle portugaise de Gif-sur-Yvette, les Lusitanos de Saint-Maur-des-Fossés, Pierre Mahé : épreuves de tournage.
03:00:10:05- 03:28:54:07: Un cours de langue portugaise est organisé par l'Association culturelle portugaise de Gif-sur-Yvette. De jeunes élèves témoignent sur l'apprentissage de la langue. Entretien avec un patron d'entreprise, à l'origine d'un soutien important de la communauté sur le statut d'immigré, la double identité.
03:28:54:07- 03:59:11:10: Match de football au stade de Créteil avec le club des Lusitanos en présence du maire de Saint-Maur, du maire d'Alcobaça (Portugal), et d'Armando Lopes, président de l'association des Lusitanos. Entretien avec le maire de Saint Maur, puis avec Armando Lopes, ils parlent tous deux d'un échange entre les deux cultures.
03:59:11:10- 04:14:08:15: Pierre Mahé dans son rôle de prêtre et des premiers communiants, fils d'immigrés portugais. Le Père Mahé raconte son parcours aux côtés de la communauté portugaise, il donne son opinion sur la concentration des Portugais dans le Val -de-Marne, le bidonville, l'intégration, la foi chez les Portugais.
José Vieira : montages, épreuves de tournage.
Sur les traces du bidonville en 1985 : épreuves de tournage.
13:00:04:19- 13:22:28:20: Sur l'emplacement de l'ancien bidonville, d'anciens habitants évoquent les conditions de vie difficiles. Un homme explique comment la vie quotidienne s'organisait. Il parle des différents réseaux contrôlant le travail clandestin, la location des baraques, les réseaux dont l'organisation est imputée à des portugais. L'histoire du bidonville entre 1961 et 1972 est abordée, jusqu'à la construction des H.L.M. du Bois l'abbé.
Une entreprise portugaise, le consul du Portugal à Paris, les étudiants d'origine portugaise à la Sorbonne : épreuves de tournage.
10:00:09:24- 10:30:48:04 : Chantier de la JAF à l'Arche de la Défense, entretien avec un ouvrier portugais, des ouvriers au travail. Repas à la cantine du chantier, entretien avec un ouvrier de la famille de José Azevedo, patron de la JAF. Au siège de la JAF, entretien avec le PDG et un sous-directeur français.
10:30:48:04- 11:14:55:09 : Le Consul général du Portugal à Paris. Entretien avec des étudiants français issus de la deuxième génération à la Sorbonne.