Toutes les ressources Document audiovisuel 250 résultats (3ms)
Lucienne Scaglia-Chiaffi, deuxième partie.
Jean-François Terral, directeur de l'OFPRA, en exercice de 1996 à 2000 : enregistrement sonore.
Né en 1948 à Bordeaux, il est chef de service des Français à l'étranger et des étrangers en France de 1992 à 1996. Après l'Ofpra, il poursuit sa carrière de diplomate en Macédoine et en Serbie.
Anne-Lise Marzane, adjointe de la chef de mission d'accueil de l'OFPRA : épreuves de tournage (2011).
Michel Raimbaud, directeur de l'OFPRA en exercice de 2000 à 2003 : épreuves de tournage (2011).
Michèle Vibert, seconde partie.
Michèle Vibert répond aux différentes questions sur les initiatives des associations, de la ville qu'elle ne connaissait pas. Elle parle de la fête annuelle, de l'école Eugénie Cotton, de la pédagogie adoptée pour les enfants et du rôle de l'assistante sociale. Elle raconte que les enfants ne restaient pas à la cantine ni à l'étude. Elle parle du quartier des Mordacs où elle est mutée en 1968 qui recevait les enfants des logements de la ville de Paris.
Alice Rodrigues, deuxième partie.
Ses parents arrivent au Portugal en 1958. Elle évoque le sentier des pendants en bordure de bidonville, partie qui abrite plutôt des familles. Elle décrit la maison en dur, sans fondations, construite par son père : parpaing, ciment, fenêtre, fosse septique, lessiveuse, eau courante, électricité, télévision. A leur départ en 1967, son père loue la maison qui est détruite en 1971. Son père a servi d'intermédiaire pour faire venir ses oncles en France. Les parents évitaient de fréquenter le bidonville et souhaitaient s'en éloigner. Elle se souvient de l'incident du drapeau portugais dans le bidonville, de la boue en général et des passages fréquents des voitures de police. Elle parle de l'apprentissage de la langue française par ses parents. Elle parlait français avec son père et portugais avec sa mère. Elle parle des difficultés que son frère a connues pour poursuivre sa scolarité.
Lucienne Scaglia, septième partie.
Elle raconte l'histoire de la cafetière offerte par sa mère à sa grand-mère vers 1923 et celle de la valise qui a servi à transporter de l'argent pendant la guerre pour la famille italienne.
Amapola Pinera, secrétaire à l'OFPRA : épreuves de tournage (2011).
Née en 1945 dans le Calvados, fille de réfugiés espagnols catalans.Travaille à OFPRA de 1964 à 1968, puis de 1985 à 2007. Assure le secrétariat de la division Amérique latine puis est secrétaire de M. Rosset.
Personnels administratifs et techniques, pour la période 1987 à 2008.
Jean Brouste, directeur de l'OFPRA, en exercice de 1986 à 1988 : épreuves de tournage (2009).
Né en 1935, diplomate. Il intègre en 1959 l'école nationale de la France d'Outre-mer. Il est sous-directeur de la DFAE (direction des Français à l'étranger) de 1979 à 1981. Il succède à la direction de l'OFPRA à Francis Roux après six mois d'interim assuré par Gilles Rosset, le secrétaire général. Il démissionne après avoir contesté le rapport Andersen et le manque de moyens financiers et en personnel.
Témoignage d'un travailleur algérien à la fabrication de bagues : enregistrement sonore.
Face A :
Travailleur algérien, travaillait à la fabrication de bagues sur les tours automatiques, relations avec les cadres
00.04.44 annonce des licenciements
00.06.13 pourquoi il a envisagé l'occupation
00.10.15 l'occupation, manifestations, il est allé en Lorraine, à Göteborg
00.17.04 ce qu'il fait maintenant
00.19.28 les souvenirs de l'occupation : Suède, aciérie en Lorraine, la Bastille
00.21.30 les accidents du travail
00.22.40 le 5 juin, après le départ des CRS tout a été saccagé
00.27.20 les stages, l'insertion professionnelle, le chômage des jeunes et problèmes sociaux qui en découlent
00.36.25 fin. Résumé
Saliou Dia, deuxième partie, l'enfance au Sénégal.
Il raconte l'enseignement à l'école française, les compétitions entre école coranique et école française. Il parle de l'organisation administrative à la sous-préfecture, Kanel. A 8 ans, quand l'indépendance est déclarée, il se souvient des messages à la radio et le premier gouvernement progressiste qui a mis en place des coopératives agricoles. Il reste au village jusqu'au certificat d'études en 1967. Il passe 4 ans au collège de Matam, à 27 km de son village. En 1972, il rejoint son père à Dakar et travaille comme commis d'administration de la faculté de médecine jusqu'en 1979. Installé à la médina. Il y raconte le système de la caisse de solidarité prenant en charge les problèmes des villageois, la cotisation versée par les travailleurs. En 1975, il créé sa propre association des jeunes de Sinthiane à Dakar et fait également le lien entre son village et l'union générale des travailleurs sénégalais en France, créée en 1961 par un oncle Sali Nongo. En 1979, il accompagne une délégation du service universitaire canadien d'outre-mer, pour des projets de développement villageois. Au retour de cette mission, il écrit à la diaspora pour décrire la paupérisation de la région et proposer un travail commun entre villages. Il créé une association pour le développement des villages (ADV) pour sensibiliser les villages. Il raconte les grandes sécheresses à la fin des années 1960, l'absence de réponse de l'Etat, les villages constituant des caisses pour subvenir aux besoins de la région. Il parle de la perversion du système, les villages entretenus par les migrants endettés qui ne montraient pas la face cachée de l'émigration. Il parle du mythe du migrant qui ne parle jamais de la vie en France. Il raconte des anecdotes sur les migrants arrivant au village depuis Dakar. Les pouvoirs de décision ont glissé avec le pouvoir économique des migrants, du village, à Dakar puis en France. Il rencontreà Dakar, Roland Colin qui enseigne au collège coopératif de Paris, et lui propose de venir étudier en France. En 1979, il arrive en France. Il parle de son oncle Sali Nongo.
"Chantez-vous à Orly ?" : montage (2007).
Chansons d'habitants de la ville d'Orly réalisé par Azzedine Zoghbi, médiateur social et la ville d'Orly : Document audiovisuel. Le DVD présente un montage photo et sonore des habitants de la ville et huit pistes de chansons. Parmi les personnes entregistrées figurent les enfants des ludothèques et de l'IME, les femmes de l'alphabétisation, les personnes âgées de la résidence Méliès.
Lucienne Scaglia, cinquième partie.
Elle raconte les fêtes de l'école, la période de la guerre, les souvenirs de l'exode, sa tante repartie en Italie, les tensions avec les Français. Elle raconte les réunions et les fêtes familiales. Elle commente une photographie du mariage de ses parents au restaurant Gondolfi, la présence des patrons. La photos de mariage de son oncle Jean. Elle parle des restaurants italiens, Gondolfi, Cavanna et la mission italienne.