Lucienne Scaglia, septième partie.
Elle raconte l'histoire de la cafetière offerte par sa mère à sa grand-mère vers 1923 et celle de la valise qui a servi à transporter de l'argent pendant la guerre pour la famille italienne.
Elle raconte l'histoire de la cafetière offerte par sa mère à sa grand-mère vers 1923 et celle de la valise qui a servi à transporter de l'argent pendant la guerre pour la famille italienne.
Son père, Ercole Scaglia, couvreur-plombier reprend l'entreprise de son patron vers 1934-1935 à Fontenay-sous-Bois. Son frère reprend la suite de l'entreprise familiale en 1965 à la retraite de son père. Elle raconte sa scolarité, devient comptable dans une société d'engrais à Fontenay-sous-Bois. A son mariage, en 1956, elle aide à la comptabilité de l'entreprise de construction de son beau-père Bruno Chiaffi puis de son mari Arthur Chiaffi en 1965. Elle raconte l'histoire de la famille de son mari, également d'origine italienne. Elle décrit son travail dans l'entreprise. Elle décrit la composition de l'entreprise, deux compagnons, les manoeuvres d'origine portugaise. Elle raconte le recrutement à l'entrée du bidonville de Champigny-sur-Marne. Elle commente le registre de déclarations des travailleurs étrangers de l'entreprise.
Née en 1931 de parents italiens de la région de Plaisance, installés à Fontenay-sous-Bois en 1923. Son père travaille dans une entreprise de couverture puis se met à son compte. Sa mère est femme de ménage dans les familles bourgeoises de Fontenay.
Elle raconte notamment le recrutement de travailleurs portugais au bidonville de Champigny-sur-Marne, des relations avec les ouvriers de l'entreprise de son mari, les liens créés et leur voyage au Portugal où ils ont rendu visite à un de leurs employés.