Toutes les ressources Document audiovisuel 250 résultats (3ms)
Laurence Duclos, officier de protection à la division Afrique-Asie à l'OFPRA : épreuves de tournage (2011).
Jean-François Terral, directeur de l'OFPRA, en exercice de 1996 à 2000 : enregistrement sonore.
Né en 1948 à Bordeaux, il est chef de service des Français à l'étranger et des étrangers en France de 1992 à 1996. Après l'Ofpra, il poursuit sa carrière de diplomate en Macédoine et en Serbie.
Personnels de direction, pour la période 1977 à 2008.
Anne-Lise Marzane, adjointe de la chef de mission d'accueil de l'OFPRA : épreuves de tournage (2011).
Alice Rodrigues, deuxième partie.
Ses parents arrivent au Portugal en 1958. Elle évoque le sentier des pendants en bordure de bidonville, partie qui abrite plutôt des familles. Elle décrit la maison en dur, sans fondations, construite par son père : parpaing, ciment, fenêtre, fosse septique, lessiveuse, eau courante, électricité, télévision. A leur départ en 1967, son père loue la maison qui est détruite en 1971. Son père a servi d'intermédiaire pour faire venir ses oncles en France. Les parents évitaient de fréquenter le bidonville et souhaitaient s'en éloigner. Elle se souvient de l'incident du drapeau portugais dans le bidonville, de la boue en général et des passages fréquents des voitures de police. Elle parle de l'apprentissage de la langue française par ses parents. Elle parlait français avec son père et portugais avec sa mère. Elle parle des difficultés que son frère a connues pour poursuivre sa scolarité.
Personnels administratifs et techniques, pour la période 1987 à 2008.
Amapola Pinera, secrétaire à l'OFPRA : épreuves de tournage (2011).
Née en 1945 dans le Calvados, fille de réfugiés espagnols catalans.Travaille à OFPRA de 1964 à 1968, puis de 1985 à 2007. Assure le secrétariat de la division Amérique latine puis est secrétaire de M. Rosset.
Michèle Vibert, seconde partie.
Michèle Vibert répond aux différentes questions sur les initiatives des associations, de la ville qu'elle ne connaissait pas. Elle parle de la fête annuelle, de l'école Eugénie Cotton, de la pédagogie adoptée pour les enfants et du rôle de l'assistante sociale. Elle raconte que les enfants ne restaient pas à la cantine ni à l'étude. Elle parle du quartier des Mordacs où elle est mutée en 1968 qui recevait les enfants des logements de la ville de Paris.
Lucienne Scaglia, septième partie.
Elle raconte l'histoire de la cafetière offerte par sa mère à sa grand-mère vers 1923 et celle de la valise qui a servi à transporter de l'argent pendant la guerre pour la famille italienne.
Festival de la jeunesse 2000 ; Ras l'Front : montage.
Il s'agit d'une association contre les mouvements d'extrême droite et surtout le Front national de Jean-Marie Le Pen.
Interviews de Florence de Robien de l'association Tremplin 94-SOS femmes et d'Evelyne Zwilling d' A.C ! (Agir contre le chômage et la précarité) : épreuves de tournage.
Interview de Florence de Robien, présidente de l'association Tremplin 94 - SOS femmes. Elle est interrogée sur la condition des femmes aujourd'hui, les formes de violence conjugale (verbale, économique, physique, sexuelle). L'association écoute et essaie d'apporter des repères aux femmes qui viennent demander de l'aide. Indiquer leurs droits, les démarches qu'elle peuvent faire, avoir un autre regard sur les violences qu'elles subissent. Les violences ne peuvent cesser si elles ne font rien. Le droit de travailler d'avoir un salaire égal n'est pas encore dans les moeurs. Dans les pays occidentaux, les droits semblent acquis or 1 femme sur 10 est victime de violences. Dans d'autres pays, la femme n'est pas majeure. Plans sur différentes brochures de défence des droits des femmes disponibles à l'association.
Interview d'Evelyne Zwilling, présidente de l'association A.C ! Elle est interrogée sur la condition des femmes en France aujourd'hui qu'il faut changer. Elle parle du chômage des femmes ou des emplois précaires qui leur sont réservés comme les emplois dits de proximité et des emplois mal payés. Les femmes sont victimes de discrimination dans les salaires, dans l'âge. Elle voit à l'association des femmes avec une situation précaire, isolée. L'association essaie de responsabiliser les femmes dans des actions militantes.
Témoignage d'un travailleur algérien à la fabrication de bagues : enregistrement sonore.
Face A :
Travailleur algérien, travaillait à la fabrication de bagues sur les tours automatiques, relations avec les cadres
00.04.44 annonce des licenciements
00.06.13 pourquoi il a envisagé l'occupation
00.10.15 l'occupation, manifestations, il est allé en Lorraine, à Göteborg
00.17.04 ce qu'il fait maintenant
00.19.28 les souvenirs de l'occupation : Suède, aciérie en Lorraine, la Bastille
00.21.30 les accidents du travail
00.22.40 le 5 juin, après le départ des CRS tout a été saccagé
00.27.20 les stages, l'insertion professionnelle, le chômage des jeunes et problèmes sociaux qui en découlent
00.36.25 fin. Résumé