Toutes les ressources Val-de-Marne (département, France) 145 résultats (3ms)

Hugo Guerra, dernière partie.

1AV 328 , 2009 - 2009  

Hugo Guerra détaille les actions entreprises comme coordinateur social : l'écoute sur le terrain, le constat des problèmes, les liens avec l'OPAC de Paris, propriétaires des terrains et des logements. Il parle des relations difficiles avec les jeunes, les squats d'halls d'immeubles, l'investissement des adultes. Il parle de la génèse de la maison pour tous inaugurée en 2009 après 20 ans de projet. Parmi les autres missions, il aide à la création d'une association de femmes relais. En 2006, il devient le responsable de la mairie annexe de Champigny au Bois l'Abbé. Il décrit la difficulté du travail, l'instruction des dossiers administratifs pour des personnes en situation irrégulière ou en grande difficulté. Il compare l'accueil fait aux migrants en France avec d'autres pays européens.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le Bois l'Abbé à Champigny-sur-Marne > Hugo Guerra, témoignage sur son parcours de migrant d'Argentine à son installation à Saint-Maurice puis Champigny-sur-Marne et sur son travail à l'accueil des migrants à Champigny-sur-Marne à l'office municipal des migrants et comme coordinateur social sur le quartier du Bois l'Abbé : enregistrement filmé (2008-2009).

Marguerite Stombellini, quatrième partie.

11AV 298 , 2007 - 2007  

Elle raconte sa formation et son parcours professionnel, employée comme comptable dans trois société dont les fonderies Waelès à Montreuil. Elle parle de sa famille, ses frères et soeurs, de l'intérêt de ses neveux pour leurs origines italiennes. Elle évoque la différence entre les Italiens de Nogent-sur-Marne et ceux de Fontenay-sous-Bois. Elle raconte les bals et les sorties à Fontenay et Nogent. Elle parle des autres populations immigrées et de l'intégration, la solidarité des familles d'origine italienne en France.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Marguerite Stombellini, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Moïse Ferreira, quatrième partie.

1AV 271 , 2008 - 2008  

Moïse Ferreira parle des grèves en 1968 et 1984. Il s'est syndiqué mais n'a jamais fait grève. Il parle des relations avec les ouvriers qu'il a formés. Il fait le coiffeur au bidonville après le travail et le dimanche. En 1963, il déménage sur le Plessis-Trévise et occupe un terrain de son entreprise Cayette où il construit une baraque. Il y vit avec son père jusqu'en 1966.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Habitants du bidonville > Moïse Ferreira, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Né au Portugal en 1933, il vient en France en 1959 et vit au bidonville jusqu'en 1963 : épreuves de tournage (2008).

Alice Rodrigues, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Née en 1960 en France, elle a vécu avec sa famille, sentier des Pendants jusqu'en 1967 : épreuves de tournage (2008).

1AV 261-263, 273-274, 11AV 327 , 2008 - 2008  

Cadette d'une famille de trois enfants, elle est la seule enfant née en 1960 à Champigny-sur-Marne. Ses parents habitent le bidonville, sentier des Pendants jusqu'en 1967 puis s'installent à Ormesson. Elle est professeure d'histoire-géoagraphie, travaille et vit à Champigny.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Habitants du bidonville

Démolition des Fournières, entretien avec Amar Yenbou : enregistrement sonore (2002).

14AV 1002 , 2002 - 2002  

Né en Algérie, Amar Yenbou raconte son arrivée en France en 1960. Sa famille le rejoint en 1961. Ils vivent à Paris dans le 19e arrondissement, puis emmenagent aux Fournières à Fresnes en juin 1974. Il travaille à la fabrication de bijoux à Henin-Beaumont puis à Paris. Il décrit les conditions de vie aux Fournières, la chaudière à charbon, les relations de voisinage, les associations de locataires, les bailleurs sociaux. Il reste dans la cité de transit jusqu'à sa destruction en 1988.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par les villes et les associations > Fresnes et Val-de-Bièvre

Marguerite Stombellini, troisième partie.

11AV 297 , 2007 - 2007  

Elle raconte la période de la guerre, l'exode dans le Loiret et les remarques faites sur les Italiens. Elle parle des fêtes et habitudes alimentaires italiennes à la maison et des loisirs le dimanche, l'arrivée de la télévision et de la machine à laver vers 1954. Elle raconte son unique voyage en Italie dans les années 1980, la visite à la famille.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Marguerite Stombellini, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Fête du Têt à Arcueil : montage (1994).

4AV 546 , 1994 - 1994  

Fête du nouvel an vietnamien à Arcueil en février 1994. Interview de M. Gaston Doiselet, coprésident de l'association (ASAH) Solidarité Arcueil Ho-chi-Minh ville (Saïgon). Il parle de l'importance donnée à cette fête et des relations avec les Vietnamiens d'Arcueil retournés au Vietnâm. Vues du repas de fête. La chanteuse vietnamienne Hoang Lan chante et est interviewée sur sa vie et le chant traditionel de la fête du Têt. Vue du spectacle, interview de mademoiselle Hai Phuong, cythariste sur la fête du Têt. M. Dang Lan joue du dan bau, une cythare monocorde. Pendant un chant, vue de la danse du Dragon dans la rue et de personnes dansant avec des drapeaux.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par les villes et les associations > Arcueil

La robe africaine "n'donguete", entretien avec Founi Kane : enregistrement sonore (2002).

14AV 1030 , 2002 - 2002  

Fouki Kane, originaire du Sénégal est arrivée en France en 1972, il y a 30 ans. A travers l'habillement, les modèles de robes et les tissus, elle parle des traditions sénégalaises et sa vie en France. Elle élève ses 11 enfants puis travaille à partir de 1999. Elle explique les raisons de son arrivée en France, pour rejoindre son mari installé en France depuis 1958. D'abord à Paris dans le 18e arrondissement, la ville de Paris pour laquelle travaille son mari leur accorde un logement à Fresnes en 1973. Elle parle des différences d'éducation des enfants.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par les villes et les associations > Fresnes et Val-de-Bièvre

Portugais en France, une communauté invisible ? : émission télévisée "Ensemble aujourd'hui" (1987).

4AV 440-441 , 1987 - 1987  

ll s'agit d'une émission télévisée diffusée le 22 novembre 1987 et portant sur la communauté portugaise immigrée en France. Plusieurs reportages sont présentés par le jounaliste Jean-Pierre Mabille qui recoit comme invités : Manuel Dias, Luis Rego et Graça Dos Santos. Ces reportages évoquent l'immigration portugaise des années soixante qualifiée d'hémoragie humaine, la culture ainsi que la vie quotidienne de cette communauté, implantée en France depuis trois générations. L'émission présente des interviews, des documents d'archives.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Vieira : montages, épreuves de tournage.

Claudette Mahé, médecin pneumologue, intervenant au centre de 1979 à 2008.

1AV 284 , 2008 - 2008  

Après avoir précisé son parcours professionnel, Claudette Mahé raconte son arrivée au centre en 1979 et la prise en charge de ses vacations mensuelles.

Elle explique que la création du CADA en 1991 a nécessité plus de besoins en médecine généraliste qu'en spécialité pneumologie. Elle différencie les pathologies et les besoins sanitaires des réfugiés du Sud Est asiatique de celles des populations suivantes.

Elle détaille les conséquences négatives de la création de la CMU en 1999 (couverture médicale universelle) sur la prise en charge des réfugiés et demandeurs d'asile.

Elle rend compte de la faiblesse actuelle des effectifs du personnel médical (2 médecins, pas de pédiatre, pas d'infirmier, 1 seule vacation mensuelle en pneumologie) et se pose la question du bien-fondé de la poursuite de son activité au centre.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel de France terre d'asile (CADA de Créteil) > Centre de FTDA Créteil, personnels de 1977 à 2008 : enregistrements filmés, novembre-décembre 2008. > Personnels médico-sociaux, pour la période 1979 à 2005.

Michèle Vibert, première partie.

1AV 254 , 2008 - 2008  

Michèle Vibert raconte son arrivée à l'école du Plateau à la rentrée 1960-1961 après 4 années de formation à l'école normale. Elle y reste 8 ans jusqu'à la fermeture de l'école. Habitant le bas de Champigny, elle découvre le bidonville à la rentrée scolaire 1960. Elle décrit l'école, l'équipe, les enfants venant du bidonville et des quartiers alentour les difficultés d'enseigner à 42 enfants de différents niveaux, ne parlant pas français. Elle parle de la présence des travailleurs portugais dans l'autobus. Elle raconte qu'elle n'avait aucun contact avec les parents et qu'elle n'est jamais entrée au bidonville par peur de gêner ses élèves. Elle évoque les visites aux bains douche et des séances de coupes de cheveux avec ses élèves.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Enseignants à l'école du Plateau > Michèle Vibert, entretien sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Enseignante à l'école du plateau à Champigny-sur-Marne de 1961 à 1968 : enregistrement filmé (2008).

Lucienne Scaglia, quatrième partie.

11AV 289 , 2007 - 2007  

Elle raconte son enfance en 1931 à Nogent-sur-Marne dans le quartier du Fort. Elle décrit sa famille, son frère, ses cousins. Elle raconte le choix des prénoms français et les conditions de vie de ses parents. Elle parle de la rivalité avec les Italiens pendant la guerre, les Fontenaysiens traités de "rouges". Elle décrit le quartier dans la zone du Fort, zone non viabilisée, l'installation des familles modestes. Elle raconte l'école Victor Duruy, les souvenirs de classe et la langue française parlée à la maison, de la nationalité prise par ses parents en 1939. Elle raconte les types de métiers pour les femmes à l'époque. Elle évoque sa formation, le cours complémentaire et le diplôme en commerce obtenu. Elle commence à travailler à 18 ans comme comptable. Elle raconte ses loisirs, les loisirs, les bords de Marne, les cours d'enseignement ménager.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).