Toutes les ressources Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne, France) 24 résultats (3ms)

Portugaises d'origine : montage (1984).

4AV 1074 , 1984 - 1984  

Des jeunes filles d'origine portugaise vivant en France témoignent de leur vie en France, le mythe du retour au pays entretenu par les parents, l'intégration en France, l'autorité parentale, le rôle des associations (cours de danse, de portugais aux enfants tous les samedis), la place des femmes dans la société portugaise. Le documentaire est entrecoupé de scènes de théâtre jouées par des adolescents concernant les relations enfants-parents, l'intégration. Lors d'une émission de Radio clube portuguèse (de Villejuif ?), des jeunes femmes d'origine portugaise témoignent des difficultés à obtenir des titres de travail et de séjour.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Vieira : montages, épreuves de tournage.

Marguerite Stombellini, troisième partie.

11AV 297 , 2007 - 2007  

Elle raconte la période de la guerre, l'exode dans le Loiret et les remarques faites sur les Italiens. Elle parle des fêtes et habitudes alimentaires italiennes à la maison et des loisirs le dimanche, l'arrivée de la télévision et de la machine à laver vers 1954. Elle raconte son unique voyage en Italie dans les années 1980, la visite à la famille.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Marguerite Stombellini, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Marguerite Stombellini, quatrième partie.

11AV 298 , 2007 - 2007  

Elle raconte sa formation et son parcours professionnel, employée comme comptable dans trois société dont les fonderies Waelès à Montreuil. Elle parle de sa famille, ses frères et soeurs, de l'intérêt de ses neveux pour leurs origines italiennes. Elle évoque la différence entre les Italiens de Nogent-sur-Marne et ceux de Fontenay-sous-Bois. Elle raconte les bals et les sorties à Fontenay et Nogent. Elle parle des autres populations immigrées et de l'intégration, la solidarité des familles d'origine italienne en France.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Marguerite Stombellini, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Marguerite Stombellini, première partie.

11AV 295 , 2007 - 2007  

Elle raconte la venue de son père en France originaire d'une famille modeste de la région de Plaisance en Italie vers 1923. Une partie de sa famille émigre en Argentine et en France. Elle raconte l'accueil des travailleurs italiens à Fontenay-sous-Bois dans les hôtels Combi et Bonnelli et les conditions de travail de son père employé dans l'entreprise de bâtiment Manfredi. Elle raconte l'histoire de sa mère née en 1902 à Milly-la-Forêt.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Marguerite Stombellini, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Marguerite Stombellini, deuxième partie.

11AV 296 , 2007 - 2007  

Elle raconte l'histoire de sa mère placée comme bonne dans une famille d'entrepreneurs de Fontenay-sou-Bois et la rencontre de ses parents. Elle explique pourquoi son père n'a pas pris la nationalité française. Elle décrit sa famille, ses 6 frères et soeurs et l'ambiance dans la rue du Fort.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Marguerite Stombellini, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur le recrutement de main d'oeuvre étrangère dans l'entreprise de construction de son mari à Fontenay-sous-Bois pendant les années 1960 : épreuves de tournage (2008).

1AV 264-265 , 2008 - 2008  

Elle raconte notamment le recrutement de travailleurs portugais au bidonville de Champigny-sur-Marne, des relations avec les ouvriers de l'entreprise de son mari, les liens créés et leur voyage au Portugal où ils ont rendu visite à un de leurs employés.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Entreprise employant des ouvriers portugais

Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

11AV 286-292 , 2007 - 2007  

Née en 1931 de parents italiens de la région de Plaisance, installés à Fontenay-sous-Bois en 1923. Son père travaille dans une entreprise de couverture puis se met à son compte. Sa mère est femme de ménage dans les familles bourgeoises de Fontenay.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne

Lucienne Scaglia-Chiaffi, première partie.

1AV 264 , 2008 - 2008  

Son père, Ercole Scaglia, couvreur-plombier reprend l'entreprise de son patron vers 1934-1935 à Fontenay-sous-Bois. Son frère reprend la suite de l'entreprise familiale en 1965 à la retraite de son père. Elle raconte sa scolarité, devient comptable dans une société d'engrais à Fontenay-sous-Bois. A son mariage, en 1956, elle aide à la comptabilité de l'entreprise de construction de son beau-père Bruno Chiaffi puis de son mari Arthur Chiaffi en 1965. Elle raconte l'histoire de la famille de son mari, également d'origine italienne. Elle décrit son travail dans l'entreprise. Elle décrit la composition de l'entreprise, deux compagnons, les manoeuvres d'origine portugaise. Elle raconte le recrutement à l'entrée du bidonville de Champigny-sur-Marne. Elle commente le registre de déclarations des travailleurs étrangers de l'entreprise.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Entreprise employant des ouvriers portugais > Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur le recrutement de main d'oeuvre étrangère dans l'entreprise de construction de son mari à Fontenay-sous-Bois pendant les années 1960 : épreuves de tournage (2008).

Lucienne Scaglia, troisième partie.

11AV 288 , 2006 - 2006  

Elle raconte l'arrivée de son père en 1924, accueilli chez sa soeur ou dans un des hôtels Bonnelli ou Cavanna. Il est embauché dans l'entreprise de couverture plomberie Dorange. Elle commente les photos de son père avec la voiture à bras et les photos sur les toits. Elle raconte le travail de son père, les grèves de 1936, l'apprentissage de la langue française. Elle parle des différences entre Italiens de Nogent et de Fontenay. Elle raconte le peu de loisirs, l'argent envoyé en Italie et la solidarité entre Italiens. Elle raconte les voyages en Italie dont celui de 1942, l'histoire de la valise. Elle raconte comment la maison a été construite.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Lucienne Scaglia, quatrième partie.

11AV 289 , 2007 - 2007  

Elle raconte son enfance en 1931 à Nogent-sur-Marne dans le quartier du Fort. Elle décrit sa famille, son frère, ses cousins. Elle raconte le choix des prénoms français et les conditions de vie de ses parents. Elle parle de la rivalité avec les Italiens pendant la guerre, les Fontenaysiens traités de "rouges". Elle décrit le quartier dans la zone du Fort, zone non viabilisée, l'installation des familles modestes. Elle raconte l'école Victor Duruy, les souvenirs de classe et la langue française parlée à la maison, de la nationalité prise par ses parents en 1939. Elle raconte les types de métiers pour les femmes à l'époque. Elle évoque sa formation, le cours complémentaire et le diplôme en commerce obtenu. Elle commence à travailler à 18 ans comme comptable. Elle raconte ses loisirs, les loisirs, les bords de Marne, les cours d'enseignement ménager.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Lucienne Scaglia, première partie.

11AV 286 , 2006 - 2006  

Elle raconte l'histoire de ses parents originaires de la région de Ferrière, dans la province de Plaisance. Sa mère née en 1903 à Curlette et son père en 1903 à Tornaresse de familles de cultivateurs. Elle raconte l'enfance de ses parents, son père journalier, bûcheron. Elle évoque l'arrivée d'une soeur de son père en France en 1922, l'arrivée des Italiens sur Nogent et Fontenay, installés dans les maisons de rapports Bonnelli. Elle raconte l'histoire des oncles et tantes, et décrit le village de Ferrière et les hameaux.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).
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La tradition turque du théâtre des ombres / Elele. [Paris]1995

1270 , 1995  

Au recto : La tradition turque du théâtre des ombres. Karagöz au pays des Français. 7-16 novembre 1995. Mercredi 8 novembre à 20h30 : centre Mandapa, 6 rue Wurtz, 75013 Paris. Dimanche 12 novembre à 15h et 17h30 : 5e biennale ""Voyages en marionnettes du Val-de-Marne"", salle Roublot, 94120 Fontenay-sous-Bois. Mercredi 15 novembre : deux matinées scolaires, Relais Ménilmontant, 85 rue de Ménilmontant, 75020 Paris. Sont également programmées cinq représentations en milieu scolaire les 9, 13 et 16 novembre. Le maître Tacettin Diker, assisté de Selahattin Erener, présente trois pièces pour les publics jeunes : Salincak (La Balançoire), Kayik (La Barque), Cazular (Les Sorcières). Une pièce pour tous publics : Ters Evlenme (Le Faux mariage). Avec le concours du FAS (Fonds d'action sociale), Banque du Bosphore, Marmara-Mondial Tours. En partenariat avec : Compagnie Jean-Pierre Lescot, Centre de promotion des Arts traditionnels du spectacle ""Mandapa"", Relais Ménilmontant, Centre ""Solidarité-Roquette"". Organisé et animé par Elele.

Au verso : ""Karagöz, un patrimoine en voie de disparition"" : le Karagôz représente dans le patrimoine culturel turc une des formes d'arts traditionnels parmi les plus populaires. Le théâtre tire son nom de l'un des deux principaux personnages : Karagöz, le paysan inculte qui s'oppose à Hacivat, le lettré ottoman. Progressivement supplanté par le cinéma et le théâtre vivant, le théâtre d'ombres a malheureusement presque disparu en Turquie dans sa forme populaire. Privilégiant depuis toujours l'authenticité et la qualité, Elele cherche à transmettre au public français comme au public turc les meilleurs aspects de la culture turque. Elele pense également indispensable que les enfants des immigrés puissent se réapproprier leur culture d'origine. La société ottomane disposait avec Karagöz d'un regard sur elle-même, caustique et ironique, à travers une fabuleuse galerie de portraits. Aujourd'hui on ne trouve plus en Turquie que trois montreurs traditionnels (en effet, les artistes qui se produisent lors des fêtes de circoncision un peu partout en Turquie sont de simples amateurs). Tacettin Diker, âgé de 72 ans, est l'un d'entre-eux. Il est probable que sa venue en France soit l'une des dernières occasions de connaître ou de revoir vivre Karagöz dans sa vérité originelle. [...]. ""La tradition du théâtre d'ombres turc"", par Gaye Petek-Salom [...]. Résumé des pièces (tirées du répertoire classique) [...].