""Une langue appartient à celui qui la viole, pas à celui qui la caresse."" [texte en kabyle]
Logo : Djazaïr une année de l'Algérie en France, Mairie de Paris, Conseil national du Livre, Ministère de la Culture et de la Communication, Ministère des Affaires étrangères, Ville de Grenoble, Conseil général de l'Isère.
Pièce réalisée à partir du témoignage librement adapté de 6 femmes issues de l'immigration, des primo-arrivantes du Portugal, Algérie, Mali, Vietnam, Roumanie depuis l'après-guerre à nos jours.
Ces téléfilms racontent l'histoire d'Aïcha, interprétée par Sofia Essaïdi, une jeune femme de 25 ans, fille d'immigrés algériens et qui habite en banlieue parisienne. Elle rêve d'aller travailler dans la capitale pour ne plus endurer la lourde pression familiale.
Emission quotidienne d'entretiens diffusée en fin d'après-midi. Chaque jour, la présentatrice reçoit un invité de double culture, installé en France, issu de l'immigration ou ayant vécu lui-même l'immigration. Il peut venir de tout horizon (politique, culture, sport, art, sciences, etc). L'émission est ponctuée d'extraits musicaux choisis par l'invité. On rencontre ainsi le chorégraphe Angelin Preljocaj, d'origine albanaise ; Marguerite Abouet, née à Abidjan (Côte d'Ivoire) et auteur de la série de bandes dessinées Aya de Youpogon ; Naïma Yahi, historienne d'origine algérienne et chargée de recherches à l'association Génériques qui valorise l'histoire et la mémoire de l'immigration ; Anzoumane Sissoko, porte-parole de la Coordination parisienne des sans-papiers en 2010 ; la femme politique Najat Vallaud-Belkacem, née au Maroc ; le chanteur Féfé, d'origine nigériane ; Sébastien Follin né à Madagascar et qui a été présentateur de la météo sur TF1 ; Alassane Chérif, psychologue-clinicien qui s'occupe des familles migrantes et plusieurs autres invités.
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) > Entretiens réalisés auprès du personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) à Fontenay-sous-Bois : enregistrements filmés et sonores. > Officiers de protection et chefs de section
Née en 1943, elle apprend le russe et le serbo-croate à l'Inalco. Après avoir suivi son mari en Afrique, elle rentre en France en 1983 et est recrutée à l'Ofpra dans la section yougoslave de la division Europe. Recrutée à l'origine pour les délégations régionales qui ne verront pas le jour, elle traite ensuite les demandes algériennes, turques, serbes, albanaises.
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) > Entretiens réalisés auprès du personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) à Fontenay-sous-Bois : enregistrements filmés et sonores. > Officiers de protection et chefs de section
Téléfilm du réalisateur de Hexagone (1993). L'histoire commence dans les années 1960. Kader et Myriam, un couple d'Algériens, décident de s'installer en France. Ils y ont leur premier enfant, Yasmina et ils obtiennent un HLM. Leur situation se dégrade par la suite. Kader se retrouve en prison, laissant Myriam, analphabète, complètement démunie.
Emission historique quotidienne du début d'après-midi. Entretien entre Jean Lebrun et un historien sur le thème du jour. Autour de l'immigration : "L'immigration algérienne en France de 1945 à 1974" (2011), "Il y a 40 ans la France ouvrière" (2012), "Les latino-américains en France" (2013), "Le droit d'asile" (2013).
Exposition du 20 avril au 31 mai 2011 à l'ACB. 20 avril / 20 tableaux. Printemps berbère, fleurs universeilles : Liberté.
En Algérie, lors des évènements sanglants de Kabylie, la Gendarmerie assassine un jeune manifestant à Azazga. Avant qu'il ne rende l'âme, cette victime écrit sur un mur par son propre sang qui coule : LIBERTE.
« A travers les phases historiques socio-économiques et politiques à l'origine du développement de l'immigration, l'image des maghrébins a subi diverses formes et représentations dues aux prismes socioculturels véhiculant diverses idées anthropologiques régnantes, au moyen de mass-médias... Du postulat d' « intégration et/ou assimilation » au constat de « la différence » à la reconnaissance d'un patrimoine véritable, s'est peu à peu développé un « syncrétisme » mêlant apport de valeurs culturelles sociales, voire religieuses, dans lequel est enfin reconnu l'apport patrimonial de l'autre. »
« Le Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes œuvre depuis près de 20 ans à la valorisation des patrimoines de l'oralité et en particulier des musiques de tradition orale sur le territoire régional. Il mène notamment des projets de recherche-action fondés sur le recueil de témoignages musicaux auprès des habitants des territoires multiculturels et la réédition d'archives sonores. (&) Cette année, le CMTRA poursuit ses travaux de recherche et de valorisation des cultures musicales franco-maghrébines à travers le projet « Place du pont production ». Tour d'horizon de la grande mosaïque des musiques populaires maghrébines produites à Lyon, il sera dédié aux cassettes et aux 45T, ces objets démocratiques de diffusion tombés en désuétude. Ce projet à la fois patrimonial et tourné vers la création contemporaine sera l'occasion de faire redécouvrir un aspect méconnu de l'héritage musical lyonnais et d'analyser les conditions d'émergence d'une musique nouvelle, fruit de métissage et constitutive d'identités nouvelles. »
Femmes d'ici et d'ailleurs, pièce de théâtre de la compagnie de théâtre Kokoya jouée au théâtre Romain Rolland à Villejuif le 24 octobre 2008 : filage de la répétition.
Femmes d'ici et d'ailleurs, pièce de théâtre de la compagnie de théâtre Kokoya jouée au théâtre Romain Rolland à Villejuif le 24 octobre 2008 : filage de la répétition.