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Echanges avec la salle

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Quel lien existe-t-il entre le partage du patrimoine d'un coté et la circulation des mémoires d'un autre côté, notamment par rapport aux contraintes de la crise en Europe ?

Quels sont les usages des lieux de mémoire aujourd'hui ? Comment est-ce qu'au delà de ces actes symboliques les gens se réapproprient ces lieux ? (

Péroline Barbet, Centre des musiques traditionnelles Rhône-Alpes).

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La fin de la carrière de Tahar Hanache

2010  

En conclusion, Ouami Ould-Braham évoque la fin de la carrière de Tahar Hanache à la télévision comme programmateur de la 4e chaîne de la RTF, développant en Algérie les programmes en arabe et en kayle et le sort qui lui est réservé après l'indépendance de son pays.

Contexte :
Interventions des historiens > 2ème session Parcours singuliers et genre > Ouahmi Ould-Braham, « Un itinéraire singulier d'un cinéaste algérien en France à l'époque coloniale ».
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Le rapport à l'Algérie

10 novembre 2007  

Dans ces deux extraits, Cherif Oudjani parle de son rapport à l'Algérie. Il raconte ses vacances dans ce pays et ses relations avec la communauté franco-algérienne de France.

Contexte :
Interviews de professionnels du football (footballeurs, entraîneurs, journalistes) > Interview de Cherif Oudjani par Laurent Bocquillon
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Introduction

2010  

Carrie Tarr présente sa problématique et dresse la liste exhaustive des réalisatrices d'origine maghrébine ayant tourné des moyen ou long métrages pour le cinéma ou la télévision des années 1990 à nos jours. Au final ce nombre se révèle peu élevé moins d'une dizaine au titre des quelles figurent Rachida Krim, Yamina Benguigui, Zakia Tahiri.

Contexte :
Interventions des historiens > 2ème session Parcours singuliers et genre > Carrie Tarr, « Le rôle des femmes dans le cinéma des réalisatrices d'origine maghrébine en France 1980-2010 ».
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La vie de professionnel du football et le rapport à l'immigration

2007  

Stéphane Mourlane interroge Kader Ferhaoui sur sa découverte du football professionnel à Montpellier. Il l'interroge aussi sur son statut d'immigré, et aborde la question de l'intégration et du racisme dans le sport et dans la société française.

Contexte :
Interviews de professionnels du football (footballeurs, entraîneurs, journalistes) > Interview de Kader Ferhaoui par Stéphane Mourlane

Interview de Rachid Mekhloufi par Naïma Yahi

 

L'interview a été divisée en plusieurs extraits en fonction des thèmes abordés par Naïma Yahi. Rachid Mekhloufi est interrogé sur son enfance, ce qui l'a conduit à devenir footballeur professionnel, et sur les moments clés de sa vie et de sa carrière de joueur puis d'entraîneur. Il témoigne ainsi longuement de son expérience au sein de l'équipe du FLN. Il nous livre enfin son sentiment par rapport à la question de son intégration en France, son rapport à son pays d'origine et son regard sur le football des années 2000.

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Processus de patrimonialisation des lieux de mémoire harkis. Entre histoire, mémoires et cotoyenneté partagée.

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« Les acteurs de la guerre d'Algérie s'insèrent aujourd'hui pleinement dans la mémoire collective et s'inscrivent dans une démarche patrimoniale. Ainsi appelés, pieds-noirs, anciens membres de l'OAS, descendants issus de l'immigration algérienne s'évertuent à formaliser leurs lieux de mémoire. Néanmoins, ces «  accélérations des mémoires algériennes » aboutissent parfois à des situations passionnelles voire conflictuelles entre Etat, associations, forces politiques et universitaires. Très logiquement, le groupe social « harkis » - formé en France par la minorité d'anciens supplétifs et de membres de leurs familles qui s'y sont réfugiés - participe aussi à ce processus de patrimonialisation. »

Extrait du texte d'Abderahmen Moumen

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Les années 1970

2010  

Mouloud Mimoun retrace l'histoire du cinéma immigré en France de ses débuts à la fin des années 1960. Il cite les différents réalisateurs et les principaux films maghrébins qui ont fait cette décennie durant laquelle de grandes figures de ce cinéma émergent. Les thématiques des films sont le chantier, l'usine et le racisme et les représentation de l'immigration sont souvent misérabilistes. Dans la seconde moitié des années 1970, émergent les thèmes de la "seconde génération" et de l'immigration clandestine.

Contexte :
Interventions des historiens > Introduction > Mouloud Mimoun : l'image des Maghrébins au cinéma, un rappel historique

Images et représentations du Maghrébin dans le cinéma en France (colloque) (collection audiovisuelle)

2010  

Dans le cadre du 3e festival du Maghreb des Films, des journées d'étude internationales étaient organisées par Génériques et l'association le Maghreb des films. Elles se sont tenues à la Mairie du 2e arrondissement de Paris les 15 et 16 novembre 2010 et étaient consacrées à l'image du Maghrébin dans les fictions projetées en France sur grand écran et à la télévision des années 1930 à nos jours.

Ce colloque était coordonné par Naïma Yahi, docteur en histoire et chargée de recherche à Génériques, entourée du comité scientifique suivant : Driss El Yazami, délégué général de Génériques, Yvan Gastaut, maître de conférences à Nice Sophia Antipolis, Bernard Gentil, chargé de programmation du Maghreb des films, Julien Gaertner, post doctorant à l'Université de Montréal, Mouloud Mimoun, journaliste et réalisateur, président du Maghreb des films, Gérard Vaugeois, producteur et exploitant du cinéma Les trois Luxembourg. Il s'organisait autour de trois sessions ayant chacune une thématique spécifique et s'achevait sur une table ronde en présence d'acteurs et de réalisateurs pionniers du cinéma maghrébin portant sur leur expérience et leur filmographie. Dans le cadre de ce colloque, ont également été réalisés des entretiens individuels d'historiens ou d'acteurs maghrébins du cinéma menés par Naïma Yahi. Sont ici mises en ligne les vidéos des interventions du colloque, des tables rondes et des entretiens.

Pour résumer les intentions de ce colloque, il est possible de citer la profession de foi rédigée par Naïma Yahi : Génériques et le Maghreb des films consacrent un temps d'analyse et de réflexion à cette question en mettant en présence pour la première fois des chercheurs, mais aussi des professionnels du cinéma.

Plusieurs études d'envergure ont voulu mesurer l'impact de l'image des minorités au cinéma, miroir moderne de nos représentations. En la matière, les travaux d'Alec G. Hargreaves, de Carrie Tarr, de Julien Gaertner ou d'Yvan Gastaut ont posé les bases d'une analyse en profondeur de la place réservée à la figure du Maghrébin dans le cinéma français. Tantôt délinquant, tantôt héros des cités, et, plus proche de nous, représentant des forces de l'ordre, le personnage du Maghrébin est encore l'enjeu aujourd'hui de nombreuses interprétations.

Si la recherche a mis en exergue l'apparition du personnage maghrébin dans la fiction au XXe siècle, elle doit aussi mesurer l'influence des réalisateurs et des professionnels du cinéma d'origine maghrébine dans le cinéma militant et la création cinématographique française d'aujourd'hui. De nouveaux axes d'analyses ouvrent un champ des possibles pour appréhender la force des représentations véhiculées à la fois « sur » et « par » les Maghrébins, à l'heure où leur présence à l'écran se normalise pour laisser place à la question du message des fictions.

Lors de ces deux journées d'études, nous pourrons appréhender la genèse de l'apparition de la figure du Maghrébin sur le grand écran dans un contexte colonial (années 30), puis de sédentarisation de l'immigration maghrébine en France jusqu'aux années 70. Les intervenants reviendront sur les circonstances qui président à l'arrivée d'une génération de réalisateurs et d'acteurs d'origine maghrébine au tournant des années 1980 communément dénommé cinéma Beur pour laisser place dès les années 1990 à une territorialisation du genre à travers ce qu'on nomme le cinéma des banlieues.

Comité de coordination des foyers Sonacotra en lutte (CCFSL) (collection numérisée de périodiques)

1976-1978  

La Sonacotral, SOciété NAtionale de COnstruction de logements pour les TRavailleurs ALgériens, a été créée en 1956, pour répondre à deux problèmes. Le premier était celui de la construction et de la gestion de foyers pour les travailleurs migrants. Le second était celui de la résorption des bidonvilles. Après l'indépendance de l'Algérie en 1962, l'organisme deviendra la Sonacotra, SOciété NAtionale de COnstruction de logements pour les TRAvailleurs.

A partir de 1975, une « grève des loyers » débuta au foyer Romain-Rolland de Saint-Denis. Elle se propagera en 1976 à l'ensemble de la région parisienne puis aux autres régions françaises. Protestant contre la hausse généralisée des loyers qu'ils jugent alors indécentes en comparaison avec la qualité de vie qu'offrent ces foyers, les résidents grévistes dénoncent également l'état de délabrement précoce des structures ainsi que les méthodes de répression utilisées contre leur mouvement, comme les recours auprès des ambassades de leurs pays d'origine et les expulsions du territoire français.

Pour les rédacteurs du Bulletin d'information des foyers Sonacotra en lutte, l'objectif était double. D'une part, il fallait pouvoir informer les grévistes ainsi que les personnes soutenant leur action des différents évènements mis en place dans le cadre de ce conflit social. D'autre part, il fallait pouvoir faire face aux « informations mensongères et calomnieuses »[1] de la Sonacotra et de ses alliés.

Témoignage sur les conditions de vie dans les foyers de travailleurs immigrés en France, ce périodique offre un point de vue sur un conflit qui a opposé pendant cinq années les occupants et les gérants de ces structures. On note sur chaque publication, en haut à gauche, l'inscription du nombre de mois de grève écoulé. Le conflit s'est achevé en 1980. Durant les années 1990, les foyers de la Sonacotra feront l'objet d'un plan de réhabilitation et le champ de ses compétences s'élargit : il s'agit alors plus de réinsertion par le logement. En 2007, la société change de nom et devient Adoma.

[1] Bulletin d'information des foyers Sonocotra en lutte n°1, p.1, [1977], Paris.