Toutes les ressources 64 246 résultats (18ms)
Instructions ; correspondances.
Guerre 1939-1945, étrangers, juifs : vie publique, association. [...] brigades internationales ; ligue des Droits de l'Homme : enquête et surveillance.
Quinzaine impériale de 1942 et journées nord-africaines (1942) ; quêtes en faveur de l'Espagne gouvernementale ; réfugiés espagnols (1937-1939).
Comité français : cahier d'enregistrement des procès-verbaux de réunion du comité exécutif.
Séance du 4 août à 15h30Sous-Titre : Conférences de la paix
Individus (surtout Espagnols) et mouvements suspects.
2007-2009
Saliou Dia, cinquième partie. La vie en France, les petits boulots, le mariage en 1989, la vie associativie en France, le projet Asre (lieu intermédiaire entre le village traditionnel et la ville africaine) et le retour projeté au Sénégal en 1993.
De 1979 à 1989 environ, il vit au foyer Sonacotra à Clichy. Il raconte les petits boulots : gardien de chiens, son premier jour et ses tâches. Il fait le ménage également, notamment pour une comtesse à Paris dans le 16e arrondissement sans être jamais déclaré. Il travaille dans une blanchisserie à Orly, dans la restauration (Sodexo) où il était déclaré. Il raconte les conditions de travail à la blanchisserie à Orly et a changé son regard sur la femme, la femme européenne en travaillant avec des femmes portugaises. Il connaît des périodes de chômage. Son mariage arrangé en 1989 avec une cousine du village. Le mariage mixte est mal vu en Afrique.Il adhère à l'UGTSF puis part en claquant la porte. En 1984 il crée une association en reprenant le même nom : Union générale des travailleurs sénégalais en France. L'association devenue UTSF-AR (action revendicative). Il détaille les revendications et les actions, son organisation collégiale. Il parle de son projet Asre et son souhait de rentrer au village avec un projet de développement. Il participe à un jamboree des Scouts de France à Jambville. Ce cadre de réflexion l'a beaucoup impressionné. Il souhaite créér un lieu similaire dans sa région. A la même époque, il créé une autre association Fouta Toro en 1987 pour encourager les jeunes issus de l'immigration à entretenir des liens avec le pays des parents.