Proleter : Organ centralnog komiteta komunisticke partije jugoslavije. ZagrebViennePragueBruxellesParis1929-1942
BnF, site François-Mitterrand : Rez-de-jardin - magasin FOL- J- 573 { Mars 1929 [I, n° 1]- déc. 1942 (XVII), réimpr. ; (XVI), inc. }
BnF, site François-Mitterrand : Rez-de-jardin - magasin FOL- J- 573 { Mars 1929 [I, n° 1]- déc. 1942 (XVII), réimpr. ; (XVI), inc. }
BnF, site François-Mitterrand : Rez-de-jardin - magasin FOL- LC14- 194 { janv.-oct. 1876 }
Hugo Guerra détaille les actions entreprises comme coordinateur social : l'écoute sur le terrain, le constat des problèmes, les liens avec l'OPAC de Paris, propriétaires des terrains et des logements. Il parle des relations difficiles avec les jeunes, les squats d'halls d'immeubles, l'investissement des adultes. Il parle de la génèse de la maison pour tous inaugurée en 2009 après 20 ans de projet. Parmi les autres missions, il aide à la création d'une association de femmes relais. En 2006, il devient le responsable de la mairie annexe de Champigny au Bois l'Abbé. Il décrit la difficulté du travail, l'instruction des dossiers administratifs pour des personnes en situation irrégulière ou en grande difficulté. Il compare l'accueil fait aux migrants en France avec d'autres pays européens.
Cadette d'une famille de trois enfants, elle est la seule enfant née en 1960 à Champigny-sur-Marne. Ses parents habitent le bidonville, sentier des Pendants jusqu'en 1967 puis s'installent à Ormesson. Elle est professeure d'histoire-géoagraphie, travaille et vit à Champigny.
La présente collection du journal Droit et liberté ne commence pas exactement au premier numéro. En effet, bien que le premier numéro de la série consultable sur le catalogue Odysséo soit non daté, puis suivi d'un numéro un, il s'agit en fait d'une nouvelle série. Les numéros exacts sont ceux indiqués entre parenthèses. A partir du numéro 34 de septembre 1949, Droit et liberté devient un organe du MRAP.
L'instrument de recherche est structuré de la manière suivante :
Le premier niveau de l'arborescence contient les numéros publiés avec le sous-titre le grand hebdomadaire de la vie juive. Les numéros paraissent alors les premiers et quinze de chaque mois. Ceux contenus dans le deuxième niveau ont été publiés avec la même fréquence et avec le sous-titre fondé dans la clandestinité.
A partir du numéro du 29 octobre 1949, la parution devient hebdomadaire. Le sous-titre du journal devient contre le racisme et l'antisémitisme, pour la paix. Les documents sont séparés dans l'arborescence par année.
Moïse Ferreira parle des grèves en 1968 et 1984. Il s'est syndiqué mais n'a jamais fait grève. Il parle des relations avec les ouvriers qu'il a formés. Il fait le coiffeur au bidonville après le travail et le dimanche. En 1963, il déménage sur le Plessis-Trévise et occupe un terrain de son entreprise Cayette où il construit une baraque. Il y vit avec son père jusqu'en 1966.
Il explique les raisons de la création de son association mixte des jeunes de Sinthiane à Dakar. Il explique l'organisation de la société sénégalaise par classe d'âge. La caisse est organisée par les hommes adultes et les jeunes ne sont pas décisionnaires. Une caisse ne représente qu'un village et ne pourvoit qu'aux problèmes ponctuels (construction de la mosquée). Il parle de Sali Ndongo, responsable de l'Union générale des travailleurs sénégalais en France qui servait d'intermédiaire avec la SUCO qui finançait des projets de développement dans la région. Il raconte son arrivée au collège coopératif de Paris, sa déception, car l'école dispensait un enseignement plus sociologique que pratique. Il reste 3 ans dans cette école, et étudie un cas concret : "Associations des jeunes et développement villageois". Son projet se heurté à l'UGTSF qui voulait restée maître du projet. Il parle du conflit qui l'oppose à Sali Nongo, personnage influent à l'époque. Il parle de son arrivée en France, les conditions de vie avec son frère dans le foyer Sonacotra à Clichy où il reste 5 ans. Il avait d'abord un statut d'étudiant puis une carte de séjour.