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Moïse Ferreira, quatrième partie.

1AV 271 , 2008 - 2008  

Moïse Ferreira parle des grèves en 1968 et 1984. Il s'est syndiqué mais n'a jamais fait grève. Il parle des relations avec les ouvriers qu'il a formés. Il fait le coiffeur au bidonville après le travail et le dimanche. En 1963, il déménage sur le Plessis-Trévise et occupe un terrain de son entreprise Cayette où il construit une baraque. Il y vit avec son père jusqu'en 1966.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Habitants du bidonville > Moïse Ferreira, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Né au Portugal en 1933, il vient en France en 1959 et vit au bidonville jusqu'en 1963 : épreuves de tournage (2008).

Périodiques de T à V.

116AS/121 , 1990-1994  
Tamazighte, revue de l'association culturelle Argane, 1993. Tribune du Maroc (La), revue mensuelle de la presse marocaine, 7 ex. (mai 1990-mai 1993) [publié à Rabat en collaboration avec la fondation Hassan II pour les Marocains à l'étranger]. Rivages, le magazine des marocains dans le monde, n° 1-11 (1993-1994) [revue de la fondation Hassan II]. Réalité de Turquie, 1 ex. (mai 1990) [édité par l'Association démocratique des travailleurs de Turquie (ADTT), 45 rue d'Enghien 75010 Paris. Dir. publication et rédact. chef : M. Saygili Riza]. Vision magazine, le mensuel culturel marocain, 7 ex. (mai 1990-mai 1993) [publié à Casablanca]. Voix du peuple (La), n° 186, supplément « Immigration » au SEC (22 avr. 1990) [ Saout Ech-chaab, organe central du Parti de l'avant-garde socialiste d'Algérie (PAGS)]. Voix révolutionnaire.

Francs-tireurs et partisans de la Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI) (1942-1943)

Entre le 1er janvier 1942 et le 31 décembre 1943  

Le groupe des Francs-tireurs et partisans de la Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI) est créé en 1942 en région parisienne. Il regroupe une partie des résistants étrangers menant la lutte armée durant la Seconde Guerre mondiale. A sa création, le groupe est dirigé par Boris Holban, Karel Stefka et Olaso Piera, puis en 1943 par Missak Manouchian dit Georges. Il se développe ensuite et se répartit en différents groupes dont le bataillon Liberté (Grenoble), la 35e brigade (Toulouse), le bataillon Carmagnole (Lyon-Villeurbanne) et le groupe Manouchian (Paris).

Chaque groupe suit une répartition par détachements. Sont représentés les Hungaro-Roumains (1er détachement), les Juifs (2e détachement), les Italiens (3e détachement), les dérailleurs (4e détachement) complétés par deux équipes de Bulgares et d'Espagnols. Les FTP-MOI disposent également d'un service de renseignement préparant les actions armées en amont par la recherche d'objectifs et le repérage des lieux. Le groupe déploie sur le territoire des offensives armées suivant la stratégie dite « boule de Mercure ». Cette technique vise à organiser une offensive selon l'action simultanée de différents petits groupes extrêmement mobiles afin de faire croire à une organisation de grande importance. L'une de leur action la plus connue est l'assassinat, le 28 novembre 1943, du général SS Julius Ritter qui supervisait les réquisitions d'ouvriers français pour l'industrie allemande par le biais du Service du travail obligatoire (STO).

Alice Rodrigues, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Née en 1960 en France, elle a vécu avec sa famille, sentier des Pendants jusqu'en 1967 : épreuves de tournage (2008).

1AV 261-263, 273-274, 11AV 327 , 2008 - 2008  

Cadette d'une famille de trois enfants, elle est la seule enfant née en 1960 à Champigny-sur-Marne. Ses parents habitent le bidonville, sentier des Pendants jusqu'en 1967 puis s'installent à Ormesson. Elle est professeure d'histoire-géoagraphie, travaille et vit à Champigny.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Habitants du bidonville

Relations avec les institutions européennes : colloques et publications.

116AS/97 , 1993-1997  

Documentation imprimée et publications.

Guide européen pour les voyageurs marocains (1993-1994).Forum alternatives européennes : colloque « Europe défi de civilisation » (Paris, février 1996), les Cahiers du Forum, n°2 et 3 (1996), le Courrier du Forum (1997). Conférence euro-méditerranéenne de Barcelone : déclaration commune (1995).« Protecting (im)migrants and ethnics minorities from discrimination in employment ; Finish and Swedish experiences », publication de l'International Labour Office Geneva (1996).« Vers de nouvelles perspectives interculturelles » (1997).Forum des migrants, réunion des jeunes : programme (1997).Forum des citoyens de la Méditerranée : programme (1996).« Europa ABC, un guide pour le travail international de la jeunesse » (s.d.).Commission française de la culture de l'agglomération de Bruxelles, guide « Construire son projet » (s.d.).
Contexte :
Activités. > Relations extérieures. > Relations avec l'Europe.

Interview de Monique Retore, membre de l'APEIS (Association pour l'emploi, l'information et la solidarité) : épreuves de tournage.

2AV 1494 , 2000 - 2001  

Monique Retore est interviewée devant un square de la cité Hoche. Elle raconte que l'APEIS a été créée à Ivry-sur-Seine pour aider les chômeurs et les précaires à obtenir leurs droits, à les informer, les accompagner aux Assedic, la CAF, elle met à disposition de journaux. C'est un lieu où on peut parler et exister. L'association les aide à exister. Beaucoup sont découragés de retrouver un emploi ou faire face aux questions de leurs enfants. Beaucoup sont des femmes, ne veulent pas quémander, aller aux restos du coeur, le sentiment de honte. La situation des femmes est plus dure car l'emploi est précaire. On lui propose tout et n'importe quoi, alors qu'on ne le ferait pas pour un homme. Beaucoup dépriment et se négligent. On ne demande pas aux femmes d'avoir un métier, des idées, de se battre et d'avoir un but dans la vie ? Beaucoup de femmes d'origine étrangère sont soumises et n'ont pas le pouvoir de décision. A l'association, viennent de plus en plus de femmes avec des qualifications, un métier que l'ANPE redirige vers des professions peu qualifiés "de proximité". Elle rêve où chacun a sa place, un travail pour exister, des loisirs, des vacances avec ses enfants. Prise de vue de la cité Hoche.

Contexte :
Films de l'unité audiovisuelle du Conseil général du Val-de-Marne > Interviews de femmes militant dans des associations civiques val-de-marnaises ayant participé à la marche des femmes à New York en 2000 : épreuves de tournage (2000-2001).

Pionnier du Val-de-Marne : Paul Camous, préfet-délégué (1964-1967) : épreuves de tournage.

1AV 184. , 1999 - 1999  

00:19:54:15- 00:30:39:00 : Rendre l'ordre de cette région mois absurde, le logement, la résorption des bidonvilles, les réalités départementales de l'ancienne Seine et de l'ancienne Seine-et-Oise suite à la commune de Paris, rapprocher l'administration des administrés, créer des collectivités de plein exercices, la maîtrise des moyens de transports.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Les représentants de l'Etat > Pionnier du Val-de-Marne : Paul Camous, préfet-délégué (1964-1967) : épreuves de tournage.

Du jour au lendemain

1986-2013  

Emission littéraire quotidienne de fin de soirée, aux alentours de minuit. Le présentateur reçoit différents auteurs, venus présenter leurs ouvrages pour des entretiens d'une durée pouvant aller d'une demi-heure à cinquante minutes. Chaque émission est ponctuée de lectures d'extraits des ouvrages présentés. Pour la problématique de l'immigration, l'émission reçoit plusieurs invités tels l'écrivain guinéen Tierno Monénembo, qui a fui le régime guinéen d'Ahmed Sékou Touré et effectué ses études en France (1986) ; Catherine Quiminal, anthropologue, sociologue, auteur de Gens d'ici, gens d'ailleurs sur l'histoire de l'immigration africaine en France (1991) ; Simon Nizard, éducateur, présent pour Les mains de Fatma (2003), Santiago Amigorena, cinéaste et écrivain argentin, auteur de 1978 (2009) ou encore Shumona Sinha, née en Inde et auteur de Assommons les pauvres (2011). Les écrivains étrangers invités ont tous pris la décision de rédiger en langue française.

Alice Rodrigues, dernière partie.

1AV 274 , 2008 - 2008  

Elle raconte son apprentissage de la langue portugaise au le consulat et au centre culturel portugais. Elle parle de son frère et sa soeur qui sont restés Portugais. Elle a fait la demande de nationalité française pour pouvoir être surveillante et financer ses études. Elle parle de l'accueil méprisant à la sous-préfecture de Nogent lorsque sa soeur est venue chercher sa carte de séjour à 16 ans. Sa soeur et son frère se sont mariés avec des personnes d'origine portugaise. Elle compare les photographies courantes sur le bidonville avec sa propre expérience, en marge du bidonville dans une maison en dur avec la télé, le garage et le potager. Elle pense qu'il ne faut pas limiter le bidonville à un aspect misérabiliste et resitue le bidonville dans le contexte de l'époque, inscrit dans les problèmes de logement après-guerre en France.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le bidonville de Champigny-sur-Marne > Habitants du bidonville > Alice Rodrigues, témoignage sur le bidonville de Champigny-sur-Marne. Née en 1960 en France, elle a vécu avec sa famille, sentier des Pendants jusqu'en 1967 : épreuves de tournage (2008).

Delphine Bordet, officier de protection à la division Asie de l'OFPRA puis chef de section Maghreb, en exercice depuis 1977 : enregistrement sonore.

11AV 367 , 2009 - 2009  
Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) > Entretiens réalisés auprès du personnel de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) à Fontenay-sous-Bois : enregistrements filmés et sonores. > Officiers de protection et chefs de section