Toutes les ressources PERSO 6 525 résultats (8ms)
Gabriel Mouesca, président le l'OIP, il raconte son parcours, en tant qu'ancien d'Ipparetarak, mouvement indépendantiste Basque. Il a passé 17 années en prison.
François Bes, salarié de l'association explique la situation des détenus et l'Etat des prisons.
Agendas personnels (activités municipales d'élus et associatives) de Saïd Merabti (1990, 1990, 1991, 1992, 1993).
Gabriel Mouesca, président le l'OIP, il raconte son parcours, en tant qu'ancien d'Ipparetarak, mouvement indépendantiste Basque. Il a passé 17 années en prison.
La citoyenneté est une idée neuve / Union des travailleurs immigrés tunisiens (UTIT). janvier 1989
La citoyenneté est une idée neuve. La chechia et le bonnet Phrygien. Bicentenaire de la Révolution française. [...].
Jean-François Terral, directeur de l'OFPRA, en exercice de 1996 à 2000 : enregistrement sonore.
Né en 1948 à Bordeaux, il est chef de service des Français à l'étranger et des étrangers en France de 1992 à 1996. Après l'Ofpra, il poursuit sa carrière de diplomate en Macédoine et en Serbie.
Delphine Bordet, officier de protection à la division Asie de l'OFPRA puis chef de section Maghreb, en exercice depuis 1977 : enregistrement sonore.
Iracema Barbosa, artiste d'origine brésilienne vivant à Fontenay-sous-Bois : enregistrement sonore (2008).
Elle raconte ses origines brésiliennes, sa formation, son arrivée en France et la préparation de son exposition intitulée "Ici et ailleurs" faite à partir d'une cinquantaine de cartes postales envoyées par des personnes résidant en France et répondant au verso à trois questions : Que vous manque t'il de votre pays ? Qu'aimez-vous en France ? Qu'aimeriez-vous changer ?
Dominique Bordin, période 2005 - 2008.
Dominique Bordin analyse les aspects positifs de la mixité filles-garçons dans le centre.
Il note cependant les effets des différences culturelles sur les rapports entre jeunes et avec les éducatrices.
Il mentionne les disparitions suspectes et les risques par rapport aux réseaux de prostitution auxquels il a fallu faire face en 2001 ainsi que la tentative d'attaque du CAOMIDA la même année par des jeunes du quartier.
Il justifie la nécessité d'avoir mis en place en 2002 la supervision psychologique de l'équipe.
Il explique l'afflux de mineurs afghans depuis fin 2005 du fait de la fermeture de Sangatte.
Il raconte comment les CADA en 2005 ont été retirés des CHRS (centres d'hébergement et de réinsertion sociale) et exprime son inquiétude par rapport à l'ouverture, à la concurrence privée, du secteur de l'accueil des demandeurs d'asile.
Il juge nécessaire d'être vigilant dans les relations avec le récent ministère de l'Immigration et de l'identité nationale .
Il raconte le Baptême républicain pour le centre qui devient centre Stéphane Hessel en avril 2008, et évoque la prochaine célébration des 10 ans du CAOMIDA et des 20 ans de la convention internationale des droits de l'enfant.
Lucienne Scaglia, septième partie.
Elle raconte l'histoire de la cafetière offerte par sa mère à sa grand-mère vers 1923 et celle de la valise qui a servi à transporter de l'argent pendant la guerre pour la famille italienne.
Lucienne Scaglia, cinquième partie.
Elle raconte les fêtes de l'école, la période de la guerre, les souvenirs de l'exode, sa tante repartie en Italie, les tensions avec les Français. Elle raconte les réunions et les fêtes familiales. Elle commente une photographie du mariage de ses parents au restaurant Gondolfi, la présence des patrons. La photos de mariage de son oncle Jean. Elle parle des restaurants italiens, Gondolfi, Cavanna et la mission italienne.
Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).
Née en 1931 de parents italiens de la région de Plaisance, installés à Fontenay-sous-Bois en 1923. Son père travaille dans une entreprise de couverture puis se met à son compte. Sa mère est femme de ménage dans les familles bourgeoises de Fontenay.