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Analyse des productions mettant en scène des femmes maghrébines de la première génération

2010  

Les recherches de Leslie Kealfoher commence avec des documentaires des années 1970. Dans les années 1980, il y a peu de productions. Celles-ci se tournent vers le passé et l'histoire des parents à partir des années 1990. Les thématiques dépendent de la place des femmes dans le film. On en distingue deux principales : l'histoire des familles et le rapport à la population majoritaire.

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Conclusion

2010  

En conclusion, Yvan Gastaut soutient que les films français des années 1975-1985 montrent deux réalités : un scénario anti-raciste culpabilisant pour la société française mais avec des acteurs arabes sans voix d'un côté. De l'autre, des oeuvres stéréotypées où l'arabe est un délinquant. Ces deux réalités montrent selon lui la marginalisation des maghrébins dans la société française de cette époque.

Contexte :
Interventions des historiens > 3ème session Enjeux et perspectives > Yvan Gastaut, « Flic ou voyou : la figure du Maghrébin et le fait-divers dans le cinéma Français ».
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L'évolution du cinéma traitant de la Guerre d'Algérie : les premiers temps

2010  

Naïma Yahi interroge Sally Shafto sur l'évolution du cinéma traitant de la Guerre d'Algérie. Sally Shafto explique que le cinéma d'auteur s'est rapidement emparé du sujet de la Guerre d'Algérie, mais que ce sujet ne touche pas le grand public.

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Dans les années 1990 : le Rap et le Raï

2010  

Naïma Yahi analyse de la bande originale du film Raï de Thomas Gilou et Il était une fois dans l'Oued de Djamel BenSalah. Elle décrit une image stéréotypée et pessimiste des quartiers qui ne peuvent échapper à la délinquance. Dans ces films, le hip hop donne son identité au quartier.

Contexte :
Interventions des historiens > 1ère session Images et Représentations > Naïma Yahi, « La musique du Ghetto : les bandes originales des films de réalisateurs d'origine maghrébine 1980- 2010 »
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Le premier regard

2010  

Alec Hargreaves revient sur les 3 regards qui ne se distinguent pas par les personnages représentés à l'écran mais par la vision des cinéastes. Thé à la Menthe ou Entre les murs, bien que tardif, sont représentatifs du premier regard qui voit les Maghrébins comme des étrangers. Ce dernier film renvoie les jeunes aux pays et aux cultures des parents, les font se confronter à un mur alors qu'ils se pensent comme une composante de la société française.

Contexte :
Interventions des historiens > 3ème session Enjeux et perspectives > Alec Hargreaves, « Les trois âges cinématographiques des Maghrébins en France ».
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Introduction

2010  

Carrie Tarr présente sa problématique et dresse la liste exhaustive des réalisatrices d'origine maghrébine ayant tourné des moyen ou long métrages pour le cinéma ou la télévision des années 1990 à nos jours. Au final ce nombre se révèle peu élevé moins d'une dizaine au titre des quelles figurent Rachida Krim, Yamina Benguigui, Zakia Tahiri.

Contexte :
Interventions des historiens > 2ème session Parcours singuliers et genre > Carrie Tarr, « Le rôle des femmes dans le cinéma des réalisatrices d'origine maghrébine en France 1980-2010 ».
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Les années 1970

2010  

Mouloud Mimoun retrace l'histoire du cinéma immigré en France de ses débuts à la fin des années 1960. Il cite les différents réalisateurs et les principaux films maghrébins qui ont fait cette décennie durant laquelle de grandes figures de ce cinéma émergent. Les thématiques des films sont le chantier, l'usine et le racisme et les représentation de l'immigration sont souvent misérabilistes. Dans la seconde moitié des années 1970, émergent les thèmes de la "seconde génération" et de l'immigration clandestine.

Contexte :
Interventions des historiens > Introduction > Mouloud Mimoun : l'image des Maghrébins au cinéma, un rappel historique
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Introduction : les 3 âges cinématographiques

2010  

Alec Hargreaves introduit les 3 âges cinématographiques en prenant ses distances avec l'analyse d'Abdelmalek Sayad. Il s'agit en fait de trois regards qui montrent comment la population maghrébine et sa présence en France évoluent depuis les années 1970. Le premier regard est situé à l'extérieur (années 1970), le second est un regard de transition qui se rapproche de la société d'accueil (années 1980), le troisième regard est inclusif et banalisant (actuel). Les trois regards coexistent aujourd'hui et permettent de dégager des tendances à long terme.

Contexte :
Interventions des historiens > 3ème session Enjeux et perspectives > Alec Hargreaves, « Les trois âges cinématographiques des Maghrébins en France ».
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Conclusion : la vitalité du cinéma d'auteur

2010  

A l'opposé des pratiques marchandes, un cinéma d'auteur émerge où des cinéastes d'origine maghrébine sont élevés au rang d'artiste comme Bouchareb ou Kechiche. J. Gaertner conclut sur une intégration réussie des artistes français d'origine maghrébine, force motrice du cinéma français.

Contexte :
Interventions des historiens > 3ème session Enjeux et perspectives > Julien Gaertner, « Quand la marge immerge le centre : la vitalité artistique et le poids économique des Maghrébins dans le paysage cinématographique français ».
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Analyse de L'Esquive

2010  

A partir d'une séquence de L'Esquive dans laquelle des adolescents de banlieue joue une scène de Marivaux, Edouard Mills-Affif montre comment Abdellatif Kechiche lutte contre les clichés et porte son regard au-delà de la vision figée des médias. Le réalisateur joue avec les stéréotypes, il dépasse la violence, sans être dans le discours et la dénonciation.

Contexte :
Interventions des historiens > 3ème session Enjeux et perspectives > Edouard Mills-Affif : "Les visions du champ social dans le cinéma d'Abdellatif Kechiche"

Images et représentations du Maghrébin dans le cinéma en France (colloque) (collection audiovisuelle)

2010  

Dans le cadre du 3e festival du Maghreb des Films, des journées d'étude internationales étaient organisées par Génériques et l'association le Maghreb des films. Elles se sont tenues à la Mairie du 2e arrondissement de Paris les 15 et 16 novembre 2010 et étaient consacrées à l'image du Maghrébin dans les fictions projetées en France sur grand écran et à la télévision des années 1930 à nos jours.

Ce colloque était coordonné par Naïma Yahi, docteur en histoire et chargée de recherche à Génériques, entourée du comité scientifique suivant : Driss El Yazami, délégué général de Génériques, Yvan Gastaut, maître de conférences à Nice Sophia Antipolis, Bernard Gentil, chargé de programmation du Maghreb des films, Julien Gaertner, post doctorant à l'Université de Montréal, Mouloud Mimoun, journaliste et réalisateur, président du Maghreb des films, Gérard Vaugeois, producteur et exploitant du cinéma Les trois Luxembourg. Il s'organisait autour de trois sessions ayant chacune une thématique spécifique et s'achevait sur une table ronde en présence d'acteurs et de réalisateurs pionniers du cinéma maghrébin portant sur leur expérience et leur filmographie. Dans le cadre de ce colloque, ont également été réalisés des entretiens individuels d'historiens ou d'acteurs maghrébins du cinéma menés par Naïma Yahi. Sont ici mises en ligne les vidéos des interventions du colloque, des tables rondes et des entretiens.

Pour résumer les intentions de ce colloque, il est possible de citer la profession de foi rédigée par Naïma Yahi : Génériques et le Maghreb des films consacrent un temps d'analyse et de réflexion à cette question en mettant en présence pour la première fois des chercheurs, mais aussi des professionnels du cinéma.

Plusieurs études d'envergure ont voulu mesurer l'impact de l'image des minorités au cinéma, miroir moderne de nos représentations. En la matière, les travaux d'Alec G. Hargreaves, de Carrie Tarr, de Julien Gaertner ou d'Yvan Gastaut ont posé les bases d'une analyse en profondeur de la place réservée à la figure du Maghrébin dans le cinéma français. Tantôt délinquant, tantôt héros des cités, et, plus proche de nous, représentant des forces de l'ordre, le personnage du Maghrébin est encore l'enjeu aujourd'hui de nombreuses interprétations.

Si la recherche a mis en exergue l'apparition du personnage maghrébin dans la fiction au XXe siècle, elle doit aussi mesurer l'influence des réalisateurs et des professionnels du cinéma d'origine maghrébine dans le cinéma militant et la création cinématographique française d'aujourd'hui. De nouveaux axes d'analyses ouvrent un champ des possibles pour appréhender la force des représentations véhiculées à la fois « sur » et « par » les Maghrébins, à l'heure où leur présence à l'écran se normalise pour laisser place à la question du message des fictions.

Lors de ces deux journées d'études, nous pourrons appréhender la genèse de l'apparition de la figure du Maghrébin sur le grand écran dans un contexte colonial (années 30), puis de sédentarisation de l'immigration maghrébine en France jusqu'aux années 70. Les intervenants reviendront sur les circonstances qui président à l'arrivée d'une génération de réalisateurs et d'acteurs d'origine maghrébine au tournant des années 1980 communément dénommé cinéma Beur pour laisser place dès les années 1990 à une territorialisation du genre à travers ce qu'on nomme le cinéma des banlieues.

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Introduction

2010  

Mouloud Mimoun présente la problématique de son intervention "la quête et la conquête du statut de personnage de fiction des maghrébins dans le cinéma frannçais". Comment la représentation à l'écran des communautés immigrées s'est-elle modifiée ? Il commence par un rappel historique sur le thème de l'immigration dans le cinéma américain.

Contexte :
Interventions des historiens > Introduction > Mouloud Mimoun : l'image des Maghrébins au cinéma, un rappel historique
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Tahar Hanache producteur indépendant

2010  

En 1946, Tahar Hanache devient producteur indépendant. Ouahmi Ould-Braham dresse la chronologie des films qu'il produit et réalise jusque dans les années 1950.

Contexte :
Interventions des historiens > 2ème session Parcours singuliers et genre > Ouahmi Ould-Braham, « Un itinéraire singulier d'un cinéaste algérien en France à l'époque coloniale ».