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« FASILD »
Sous ce titre, vous trouverez des documents produits par les organisations s'étant successivement appelées FAS (Fonds d'action sociale), le FASTIF (Fonds d'action sociale pour les travailleurs immigrés et leurs familles) puis le FASILD (Fonds d'aide et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations), devenu ANCSEC puis ACSE (Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances).
Il finance de nombreux projets différents dans le cadre des luttes contre toutes les discriminations.
Il est possible que des documents produit en relation avec les financements du FASILD se trouvent dans la partie « Fédération », sans avoir été identifiés comme tel.
Migrations à Besançon (collection numérisée d'affiches)
Cette collection contient un ensemble d'affiches produites dans le but de promouvoir des conférences, débats et manifestations culturelles ayant eu lieu en France-Comté. Elles ont été collectées par Migrations à Besançon.
Collectif O Salto (collection numérisée de périodiques)
Association des étudiants portugais en France (AEPF) (collection numérisée de périodiques)
Collection Do Povo. 1973-1974
Tribuna do emigrante : Por um Portugal donde não precisemos de emigrar. 1975-1978
FATE informa : Boletim para as associações. Sans date
Amicale des Algériens en Europe (collection numérisée de périodiques)
L'Amicale des Algériens éditait depuis 1962 une revue appellée L'Algérien en Europe. Lors de la X assemblée générale de l'association est décidée une refonte du journal, qui devient ainsi La Semaine de l'émigration. Le constat est que la situation a bien évolué depuis l'indépendance de l'Algérie, que vingt ans ont passé ainsi que les questions posées par l'émigration algérienne. Celle-ci est devenue beaucoup plus familliale, alors qu'elle était auparavant individuelle. De plus "Un régime de gauche arrive au pouvoir"[1].
Les nouveaux objectifs de la Semaine de l'émigration ont été de "sensibiliser [la] communauté aux problèmes de la réinsertion", "de donner "aux travailleurs immigrés une meilleure connaissance des conditions de la réinsertion"[2], et de "continuer la défense des droits des émigrés"[3].
[1], [2] et [3] : L'amicale des Algériens en Europe, La Semaine de l'émigration, n°1, p.3, 1982.
Souffles : revue culturelle arabe du Maghreb. (Nouvelle série)Édition française.1973-1974
Libre Algérie. Paris1986-1988
Ce journal dont la rédaction est située à Paris, est fondé par Ali Mécili sur la base des Accords de Londres. Libre Algérie est l'inversion de L'Algérie libre, organe du MTLD. Jacques Simon, sous le pseudonyme de Youssef Djerda assure sa direction.
Ce journal se définit comme un "forum du libre débat". Il aborde des thèmes variés : vie politique, économie, société , et immigration algérienne, mais aussi culture ou sport. Tiré à 5 000 exemplaires, il fut diffusé en Algérie et en France. Le journal paraît de 1986 à 1988 : deux numéros paraissent en 1986, puis, à partir du printemps 1987, sa parution devient mensuelle.
n°4 (juillet-août 1978)
Le troisième regard
Depuis une dizaine d'années, on assiste à l'émergence de films dans lesquels les Maghrébins ne sont plus renvoyés à leurs origines mais incarnent des rôles français comme Jamel Debbouze dansLe fabuleux destin d'Amélie Poulain ou Samy Naceri dans Taxi. Les questions d'ethnicité sont de plus en plus secondaires et la figure du Maghrébin se banalise. Ce type de cinéma a trouvé son public avec la poussée démographique des jeunes issus de l'immigration.
Introduction de Gérard Vangeois
Gérard Vangeois présente l'association Maghreb des films créée en 2009. Il livre sa genèse et ses objectifs partant du constat de la sous-représentation des films maghrébins dans les salles de cinéma françaises, surtout au regard de l'implication d'acteurs vivant en France ou nés en France dans ce cinéma.
Naïma Yahi, 19 avril 1958 : "l'entrée" d'Ammar Rouaï et de Mustapha Zitouni dans la guerre d'Algérie
Naïma Yahi dans son exposé traite du départ de deux joueurs algériens évoluant dans le championnat français pour Tunis le 13 avril 1958 afin de constituer l'équipe du FLN : Ammar Rouaï et Mustapha Zitouni. A travers ces deux trajectoires, elle expose le contexte de ce départ, les motivations de cet engagement, puis l'impact de cet engagement sur l'opinion publique française et la carrière de ces joueurs.