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La fête des foyers de Montreuil / Collectif pour l'avenir des foyers (Copaf) Montreuil : , 2009

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La fête des foyers de Montreuil

samedi 7 novembre 2009

Entrée gratuite

14h : rencontres-films artisanat africain

17h débat "le foyer solidaire"

19h repas

21h spectacle

Le foyer solidaire à la parole errante-maison de l'arbre, 9, rue françois Debergue- Croix de Chavaux

La coordination des foyers de Montreuil

Copaf Collectif pour l'avenir des foyers www.copaf.ouvaton.org

Montreuil www.montreuil.fr

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5ème festival de cinéma des foyers / Attention Chantier, les comités de résidents et CSP 17. Paris : , juin 2013. Nantes; Lilabox. mai 2013Conception graphique : Corinne Veron-Durand

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5è Festival de cinéma des foyers "À nos amours ! "

Organisé par Attention Chantier, les comités de résidents et le CSP 17

Festival de cinéma des foyers Juin 2013 Chaque Samedi / 15h - Minuit et le Vendredi 7 Juin 20h30 - Minuit

Tout le programme sur www.attentionchantier.org

1er Juin ... 15 rue Saint-Juste -Paris 17È

7 Juin..... 13 rue de Lorraine -Paris 19È

8 Juin..... 15 rue Bisson - Paris 20È

15 Juin.... 19 rue du Bailly - Saint-Denis

22 Juin.... 63 rue du Chevaleret - Paris 13È

29 Juin.... 1 rue Jean Allemane - Rosny-Sous-Bois

Ciné-Débats

Projections en plein air

Expositions, Spectacles

Studio photo numérique ambulant

REC, la radio des foyers

Entrée libre et gratuite

Organisé avec le soutien du CNA

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Journée porte-ouverte : on demande à tous les travailleurs français/ immigrés de venir nombreux / Comité de coordination des foyers en lutte. Paris : , s.d.9 rue Auguste Métivier 75020 Paris. Imprimerie Édit 71

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Journée porte-ouverte : on demande à tous les travailleurs français/ immigrés de venir nombreux

Samedi 24 mars de 14h à 22h 9 route principale du port 92 Gennevilliers

Films/Débat Brochettes, Boissons Folklore tunisien

Bus 139 Terminus de Gennevilliers Bus 304 Terminus de Gennevilliers. Le chemin du foyer sera indiqué par des pancartes.

Vive le comité de coordination des foyers en lutte

Lemesle, Bruno (collection numérisée d'affiches)

FRGNQ_A_5671 - FRGNQ_A_5675 , 1980  

Le fonds est composé d'un ensemble de cinq affiches traitant d'événements culturels organisés par les ateliers Tac-Tic dans le quartier de la Goutte d'Or (Paris, 18ème arrondissement) dans les années 1980.

Le quartier de la Goutte-d'Or constitue l'un des principaux lieux de mémoire et d'histoire de l'immigration à Paris. Situé dans le 18e arrondissement, il s'étend entre le boulevard de la Chapelle au sud, Saint-Denis au nord, la rue des Poissonniers et le Boulevard Barbés à l'ouest et la rue de la Chapelle et la rue Marx-Dormoy à l'est. Mais c'est le secteur autour de la rue de la Goutte-d'Or, entre le Boulevard Barbès et les voies ferrées qui est appelé communément la Goutte d'Or ou le plus souvent Barbès. Ce quartier qui se constitue au XIXe siècle est destiné à accueillir des populations ouvrières. Dès cette époque, il rassemble des populations issues des migrations intérieures - Auvergnats, Bretons, Picards, puis au début du XXe siècle, en provenance de l'étranger: Belges, Polonais, Espagnols et Italiens. Dans l'après-guerre, ce quartier se spécialise dans l'hébergement des populations immigrées d'Afrique du Nord et le développement des hôtels meublés. Puis au début des années soixante s'y installent des Maliens, Sénégalais, Antillais, Yougoslaves et plus récemment des Ghanéens et Sri-Lankais. A partir de 1962, il abrite la part la plus importante d'étrangers parmi les quartiers parisiens (plus d'un tiers des chefs de ménages en 1982), louant souvent de petits appartements, vétustes et sans confort. Le secteur nord de la Goutte-d'Or, est connu pour abriter un grand nombre de petits commerces de produits dits exotiques maghrébins, pakistanais ou d'Afrique subsaharienne. Depuis les années quatre-vingt, des entrepreneurs sénégalais y ont ainsi développé un réseau dense de petits commerces : de 40 établissements en 1985, on en compte au milieu des années 2000 près d'une centaine. Au début des années quatre vingt, la Ville de Paris engage un projet de rénovation-réhabilitation. Après trente ans d'interventions publiques, les sociologues constatent une gentrification incomplète du quartier.

Dans les années 1980, les ateliers Tac-Tic ont mis en place l'une des premières propositions culturelles organisée et collective dans le quartier de la Goutte d'Or en organisant le festival interculturel (théâtre, cinéma, musique) de la Goutte d'Or. Ce festival a pour objectif d'impliquer pleinement les habitants du quartier dans le processus d'expression et de transmission culturelle. L'édition de juin 1986 (affiche cotée 5672) a été dans un premier temps interdite puis reconduite en septembre 1986 (affiche cotée 5673). L'association des ateliers Tac-Tic sera dissoute en 1987, mais son travail initiera la mise en place d'une intense programmation culturelle participative dans le quartier de la Goutte d'Or.

Petauton, Geneviève (collection numérisée d'archives)

FRGNQ_AR_013 , 1976-1980  

Le fonds d'archives de Geneviève Petauton contient des tracts et des autocollants ayant pour thème principal les luttes antiracistes. On y trouve principalement des appels à la grève, à la manifestation, à des rassemblements pour la période des années 1976 à 1980. Le corpus le plus important concerne la lutte des foyers Sonacotra.

Mony, Patrick (collection numérisée d'archives)

FRGNQ_AR_014 , 1986  

La collection de Patrick Mony contient un rapport du Groupe d'infromation et de soutien aux travailleurs immigrés (GISTI) datant d'avril 1986. Association de défense et d'aide juridique des étrangers, le GISTI est né en 1972, sous le nom de Groupe d'information et de soutien des travailleurs immigrés, "de la rencontre entre les travailleurs sociaux, des militants associatifs en contact régulier avec des populations étrangères et des juristes". Elle tient des permanences juridiques gratuites, édite des publications et organise des formations sur la réglementation relative aux étrangers. L'association milite également pour la défense des droits de l'Homme au niveau national et européen . Son siège se situe à Paris.

Jover, José (collection numérisée de dessins et peintures)

FRGNQ_DP_002 , 1980-1990  

Dans le contexte de la marche pour l'égalité et contre les discriminations de 1983, événement qui a libéré la parole d'une génération de « beurs », comme les appelait la presse, d'autres formes d'expression artistique, considérées à l'époque comme très marginales, émergent. C'est le cas de la bande dessinée, déjà présente dans la presse parallèle des années 1970 et qui explose avec le collectif Anita Comix (Farid Boudjellal, José Jover et Roland Monpierre)à l'origine de ce que l'on pourraît appeler une contre-bande dessinée. Pour la première fois des groupes d'immigrés s'auto-représentent en se servant des canons que la culture dominante leur attribue. L'appropriation et le détournement des stéréotypes racistes devient ainsi un puissant instrument de critique, dérisoire, caustique et irrévérencieuse.

Le fonds d'archives de José Jover contient des crayonnés, encrages et planches de bandes-dessinées de différents projets menés par José Jover en solo, et au sein du collectif Anita Comix.

Lemesle, Bruno (collection numérisée de photographies "Salut Barbès !")

FRGNQ_PH_010 , 1981-2014  

La collection "Salut Barbès !" a été réunie par Bruno Lemesle à partir de ses archives photographiques. Il s'agit d'"une mise en image du quartier de la Goutte d'Or" que Bruno Lesmesle photographie depuis les années 1980, ce dernier définit cette collection comme des "instants de la vie d'un espace populaire et cosmopolite bouleversé par la destruction du bâti".

Le quartier de la Goutte-d'Or constitue l'un des principaux lieux de mémoire et d'histoire de l'immigration à Paris. Situé dans le 18e arrondissement, il s'étend entre le boulevard de la Chapelle au sud, Saint-Denis au nord, la rue des Poissonniers et le Boulevard Barbés à l'ouest et la rue de la Chapelle et la rue Marx-Dormoy à l'est. Mais c'est le secteur autour de la rue de la Goutte-d'Or, entre le Boulevard Barbès et les voies ferrées qui est appelé communément la Goutte d'Or ou le plus souvent Barbès. Ce quartier qui se constitue au XIXe siècle est destiné à accueillir des populations ouvrières. Dès cette époque, il rassemble des populations issues des migrations intérieures - Auvergnats, Bretons, Picards, puis au début du XXe siècle, en provenance de l'étranger: Belges, Polonais, Espagnols et Italiens. Dans l'après-guerre, ce quartier se spécialise dans l'hébergement des populations immigrées d'Afrique du Nord et le développement des hôtels meublés. Puis au début des années soixante s'y installent des Maliens, Sénégalais, Antillais, Yougoslaves et plus récemment des Ghanéens et Sri-Lankais. A partir de 1962, il abrite la part la plus importante d'étrangers parmi les quartiers parisiens (plus d'un tiers des chefs de ménages en 1982), louant souvent de petits appartements, vétustes et sans confort. Le secteur nord de la Goutte-d'Or, est connu pour abriter un grand nombre de petits commerces de produits dits exotiques maghrébins, pakistanais ou d'Afrique subsaharienne. Depuis les années quatre-vingt, des entrepreneurs sénégalais y ont ainsi développé un réseau dense de petits commerces : de 40 établissements en 1985, on en compte au milieu des années 2000 près d'une centaine. Au début des années quatre vingt, la Ville de Paris engage un projet de rénovation-réhabilitation. Après trente ans d'interventions publiques, les sociologues constatent une gentrification incomplète du quartier.

Bruno Lemesle a suivi et photographié la transformation de ce lieu, la destruction des logements insalubres et les différentes étapes de sa reconstruction. Il saisit dans ses photographies l'essence de ce carrefour migratoire cosmopolite, lieu de sociabilité et d'échanges culturels. Cette collection a été présentée pour l'inauguration de l'Institut des cultures d'Islam du 28 novembre 2013 au 30 mars 2014. Michket Krifa, commissaire de l'exposition «Ici, là et au-delà» définit ainsi son travail : "Bruno Lemesle couve de son regard tendre et humaniste la vie quotidienne des habitants de ce quartier du 18ème arrondissement de Paris. Il est le témoin précieux de toutes les évolutions et des transformations qu'a connu la Goutte d'Or au cours des 25 dernières années. Bruno Lemesle a composé patiemment la mémoire visuelle de son quartier. Il a photographié les lieux et leurs transformations: les destructions et les rénovations permanentes, les rues, les commerces, les écoles et les logements. Il montre les habitants, ceux y vivent tranquillement au quotidien et ceux, plus démunis, qui se battent pour leurs droits. Il dénonce les injustices mais donne aussi à voir la solidarité tissée entre les habitants. Il parle d'un lieu où coexistent paisiblement les différentes générations, religions et cultures dans les terrains de jeux pour enfants espiègles et les espaces de rencontres pour personnes âgées. Les photos de Bruno Lemesle montrent aussi un autre visage de Barbès, celui de la précarité, de la survie et des luttes. Des photographies émouvantes d'expulsions et d'exclusions, ou de graffitis clandestins sur les murs, qui témoignent de l'histoire bouillonnante d'un quartier. En écho aux slogans photographiés, Bruno Lemesle tient à nous dire qu'à Barbès la pirate, «On marche ensemble: on va doucement mais on va loin»&"