
Processus de patrimonialisation des lieux de mémoire harkis. Entre histoire, mémoires et cotoyenneté partagée.
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Cote :
FRGNQ_V_001_003_005
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Date :
2012
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Description physique :
Genre/Carac. phys. : Document audiovisuel
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Particularité du document :
Durée : 00:16:21:00
- Nature du contenu : Document audiovisuel
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Biographie ou histoire :
Biographie ou histoire
Discutante : Héléne Hatzfeld, chargée de mission au ministère de la Culture et de la Communication. Directrice du Groupement d'intérêt scientifique « Institutions patrimoniales et pratiques interculturelles » www.ipapic.eu.
Abderahmen Moumen, historien, spécialisé sur la question des rapatriés, des « harkis » et de l'immigration algérienne. Chargé de mission à Génériques. Chargé de cours à l'Université Lyon 2. Chercheur associé au Centre de recherches méditerranéennes sur les sociétés méditerranéennes (CRHiSM Université de Perpignan).
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Présentation du contenu :
Présentation du contenu
« Les acteurs de la guerre d'Algérie s'insèrent aujourd'hui pleinement dans la mémoire collective et s'inscrivent dans une démarche patrimoniale. Ainsi appelés, pieds-noirs, anciens membres de l'OAS, descendants issus de l'immigration algérienne s'évertuent à formaliser leurs lieux de mémoire. Néanmoins, ces « accélérations des mémoires algériennes » aboutissent parfois à des situations passionnelles voire conflictuelles entre Etat, associations, forces politiques et universitaires. Très logiquement, le groupe social « harkis » - formé en France par la minorité d'anciens supplétifs et de membres de leurs familles qui s'y sont réfugiés - participe aussi à ce processus de patrimonialisation. »
Extrait du texte d'Abderahmen Moumen