Toutes les ressources PERSO 6 525 résultats (5ms)
Boudjemaa H'rizek
Publications de Tamazgha : Ass-A.
Correspondance avec les partenaires du collectif réduction des risques 93 : Proses, FIRST, AIDES 93, Effervescence.
Farida
Laurence Campet, Metteur en Scène parle de la pièce de théâtre, ainsi que de son cheminement.
Gérard Filoche de l'Inspection du travail parle de son ouvrage « On achève bien… les inspecteurs du travail » suite à l'assassinat de deux inspecteurs le 2 septembre 2004.
Formations du CLAP. - BEATEP (Brevet d'État d'animateur technicien de l'éducation populaire) : rapport de stage.
Présentation d'Évelyne Bouzzine
Évelyne Bouzzine présente les enjeux de la table ronde « Quelles associations et quels modes d'organisation ? ».
Après-midi festif et musical organisé par l'ACBVO à l'occasion de Yennaer, le nouvel an berbère (11 janvier 2004) [tract].
Khlifi Ahmed
De son vrai nom Ahmed Abbas Ben Aïssa, Khelifi ou Khlifi Ahmed né en 1921 en Algérie. Neveu du chanteur Hadj Benkhelifa, il est le plus célèbre des chanteurs des genres « Bedoui» et « Aï-aï » algérien. Sous la tutelle de son oncle il enregistre son premier disque à Paris à l'âge de treize ans. Il interprète alors des poèmes « Melhuon » (poésie populaire) de grands auteurs comme Aïssa Ben Allal. De retour en Algérie, il effectue des tours de chants et psalmodie le Coran lors de fêtes privées. Il est alors remarqué par le directeur de Radio Alger qui lui confie en 1947 la direction de l'orchestre bédouin de la radio. Au début des années 1950, il devient le fer de lance de la tradition orale des hommes du désert en se spécialisant dans le genre « Aï-aï », renommé en Algérie comme dans les milieux immigrés français. Il chante la beauté du désert Et haouel ya kaf Kerdada (Déplace-toi Ô mont de Kerdada), mais aussi l'exil Kalamni oun kalmik fi telephon (Appelle-moi et je t'appellerai au téléphone). Il reçoit en 1967 le prix de la chanson populaire algérienne et met un terme à sa carrière en 1989.