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Bulletin d'information sur les luttes de nos frères en Palestine, dans tout le monde arabe et en EuropeParis

1972  

Le bulletin fournit des informations sur la lutte palestinienne en Palestine et dans les groupes internationaux de soutien à la Palestine. On y trouve également l'actualité des luttes d'ouvriers immigrés en France, des luttes antiracistes, des informations sur les pays du monde arabe.

Il se donne pour objectif de donner la parole aux travailleurs arabes (n°5).

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S.n. (juin 1978)

juin 1978  

Ce numéro retrace l'historique des luttes des travailleurs mauriciens de 1975 à 1978. Le texte est complété par des articles extraits de la presse nationale ainsi que par un entretien entre un représentant du MTM et de Paul Bérenger, fondateur du Mouvement militant mauricien (MMM).

Contexte :
Bulletin d'information des travailleurs mauriciens / Mouvement des travailleurs mauriciens (MTM). 1978
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Slimane Azem

1960-1990  

Slimane Azem est né en 1918 dans une famille kabyle de condition modeste. A l'âge de douze ans, il est engagé dans une ferme. En 1937, il part en France et travaille aux aciéries de Longwy. Mobilisé à Issoudun, il est réformé en 1940 puis s'installe à Paris. De 1942 à 1945, il est envoyé en Allemagne dans le cadre du STO (Service du Travail Obligatoire).

De retour à Paris à la Libération, il tient un café dans le 15° arrondissement et se produit comme chanteur. Le célèbre Mohamed El Kamal, chanteur de l'immigration, remarque Azem , l'encourage à composer ses propres chansons et lui permet de faire ses premières scènes dans son groupe. En 1951, il enregistre sa première chanson " A Moh A Moh " puis est présenté à Ahmed Hachlaf, directeur artistique chez Pathé-Marconi. Inquiété par la censure pour sa chanson " Affagh aya jrad " (Sauterelles, quittez mon pays !) , il n'en est pas moins banni d'Algérie après 1962 pour avoir gardé contact avec sa famille, engagée auprès des Français pendant la guerre. Ce drame personnel marque sa production musicale dont les thèmes principaux sont l'exil, la morale, la tradition et la beauté de l'Algérie.

Slimane Azem est considéré, avec Cheikh El Hasnaoui, comme le père de la chanson kabyle de l'exil. Il reçoit, en compagnie de la chanteuse Noura, le premier disque d'or remis à des artistes algériens en France.

Dans les années 70, il s'installe à Moissac où il meurt en 1982, sans jamais avoir revu l'Algérie.