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FAS : bilan cours.
Travaux.
[Concerne également le foyer Pressensé de Villeurbanne].
François Bes, salarié de l'association explique la situation des détenus et l'Etat des prisons.
ADFI, réunions du CA et du bureau : notes manuscrites (2 cahiers à spirales, 1979-1982).
Présentation de Françoise Dumont
Ces trente dernières années, les pouvoirs publics ont-ils considérés les associations comme de véritables acteurs ? Françoise Dumont interroge la mise en concurrence des associations par le biais des appels d'offre. Elle évoque également les conséquences qu'ont les coupes budgétaires sur le fonctionnement des associations.
Sous-fonds de Saïd BOUZIRI
Algérie, silence on tue / Association pour l'art et l'expression libres (AAEL). Toulouse1997
Algérie, silence on tue
Octobre 1997
Publications de la FASTI sur la circulaire Chevènement : « Dossier n°1, circulaire du 24 juin 1997 (sans-papiers) ».
AMF et migration marocaine. - Structuration en France et en Europe, documentation : Journal Officiel, bulletins, coupures de presse ; action de l'AMF : communiqué, tract, rapport, ébauche de tract, rapport d'activité, programme, convocation, statut d'association ; participation à des coordinations française ou européenne : rapport, invitation, compte rendu de réunion, note.
Échanges avec la salle
Le public réagit aux interventions de la table-ronde en interrogeant les intervenants sur les thématiques suivantes :
Conduite de la politique d'intégration par les pouvoirs publics ;Débat sur la notion de « méfiance » des pouvoirs publics envers le monde associatif ;Tendance du secteur associatif à se positionner en prestataire de services ;Discussion autour de la notion d'intégration.Slimane Azem / Pathé Marconi. [196 ?]
Slimane Azem. Pathé Marconi.
Région parisienne : liste des ASTI.
Warda
Née en 1940 d'un père algérien et d'une mère libanaise, Warda connaît dans son enfance parisienne les milieux nationalistes et artistiques de l'immigration algérienne en France. Elle commence sa carrière dans le cabaret de son père, le Tam Tam au Quartier latin. Sa mère lui transmet le goût de la chanson moyen-orientale dont elle apprend le répertoire. Forte de deux cultures, elle chante les succès de la chanson de l'exil aussi bien que ceux de Mohamed Abdelwahab, idole du monde arabe. Repérée par Ahmed Hachelaf, elle connaît vite le succès et entre chez Pathé Marconi.
Les plus grands compositeurs du moment lui offrent des titres : Mohamed Jamoussi Bladi ya bladi (Pays, ô mon pays), José de Souza Ya Oumi (Ô maman) , son énorme tube.
A quatorze ans, en pleine guerre d'Algérie, elle chante Ya habibi ya moudjahid (Ô ami, ô combattant) avant d'être expulsée avec sa famille à Beyrouth, dans le pays de sa mère, en raison des activités militantes de son père.
Warda, qui n'a encore jamais vu l'Algérie, prend le surnom de El Djazaïria (L'Algérienne) et interprète Djamila , en l'honneur de la combattante algérienne au maquis ou Ana mil djazaïr ana arabia ( Je suis d'Algérie, je suis arabe). Elle représente également l'Algérie combattante dans les productions panarabiques de 1961.
C'est après l'indépendance qu'elle découvre l'Algérie. Elle se marie en 1963 avec Djamel Kesri qui lui demande de quitter la scène. Pour le 10° anniversaire de l'indépendance, le président Boumediène la prie de chanter ; son accord précipite son divorce.
De retour sur scène, en Egypte, elle travaille avec les plus célèbres musiciens de son temps : Sayed Mekawi ou Mohamed Abdelwahab. Elle épouse le compositeur Baligh Hamdi.
Elle tourne dans de nombreux films de genre maghrébin et moyen-oriental et joue dans des comédies musicales. Elle entre ainsi dans le panthéon de la musique arabe. A la mort de la cantatrice Oum Kalthoum, en 1976, elle est d'ailleurs considérée comme son héritière.