Toutes les ressources Elele - Migrations et cultures de Turquie (Paris, France) 41 résultats (2ms)

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Exposition : Izmir, Petit Paris a rendez-vous avec Paris / Elele. Paris1996

4204 , 1996  

3e festival ""Belleville, milieu du monde"". Exposition, documents historiques : Izmir, Petit Paris a rendez-vous avec Paris. 10-20 octobre 1996. Exposition : ""La vie à Petit Paris"", gravures et documents photographiques anciens, 10-20 octobre 1966, en semaine de 9h30 à 17h30, le samedi 12 octobre de 15h à 19h. Conférences, par Monsieur Yasar Aksoy, directeur du Centre International de Recherches sur Izmir, journaliste à Yeni Asur : ""La Communauté juive d'Izmir et Dario Moreno, un symbole reconnu"", le jeudi 10 octobre 1996 à 18h30, ""De Victor-Hugo à Lamartine : la vie à Petit Paris et la communauté française"", le samedi 12 octobre 1996 à 17h30.

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Expressions femmes / Elele. Paris1988

4206 , 1988  

Elele, La Maison des travailleurs de Turquie, propose Expressions femmes, samedi 26 et dimanche 27 novembre 1988 de 11h à 20h, à la MJC des Hauts-de-Belleville, 43 rue Borégo, 75020 Paris. Des femmes artistes (peintres, graphistes, céramistes) : Hilda, Nevbahar, Neveser, Nilgul, Esin Okçu, Odet Saban, Alev Siesbye, Tiraje, Nil Yalter. Des femmes immigrées et les arts traditionnels (foulards, bijoux, broderies, tricots, objets, cuisine...). Des conférences sur la femme turque. Un film avec un débat (samedi 18h00). Une exposition historique. Expositions ventes. Buffet (spécialités turques).

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Gadjé, musiques tziganes de Roumanie, Hongrie, Grèce, France et airs populaires turcs / Elele. Paris1996

4188 , 1996  

Dans le cadre des soirées Musiques-Mosaïques, Elele et Aksak présentent Gadjé, musiques tziganes de Roumanie, Hongrie, Grèce, France et airs populaires turcs. Samedi 2 mars 1996, à 20h30. Gadjé est un mot tzigane qui désigne ceux qui ne sont pas des tziganes. Nous aimons leur musique, nous qui sommes des ""gadjés"". Thérèse Michelet : violon. Christine Guillebaud : Alto. Benjamin Perrot : guitare. Bernard Périllat : acordéon, guitare. Claire Duteurtre : contrebasse, flûte. Concert et réservations : Elele.

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Groupe Moya en concert / Elele. Paris[1996]

4195 , [1996]  

Dans le cadre des soirées Musiques-Mosaïques, Elele et Aksak présentent, samedi 3 février, 20h30 : Groupe Moya en concert à Elele. Musiques classiques roumaine, turque, maghrébine, revisitées par le groupe... Improvisations riches d'influences de l'Afrique du Nord à l'Inde, de l'Iran à l'Espagne... Musiciens : Arach [Arash] Khalatbari, chant et zarb, Mathias Duplessy, guitare, David Aubaile, flûte, Thomas Ostrowieski [Ostrowiecki], percussions diverses, Medhi Haddad, ut. Réservations et concerts, Elele.

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Hassan Tabar, musique traditionnelle iranienne / Elele. Paris[ca 1995]-[ca 1996]

4193 , [ca 1995]-[ca 1996]  

Dans le cadre de leurs soirées Musiques-Mosaïques, les associations Elele et Aksak présentent : Hassan Tabar, concert de musique traditionnelle iranienne, le 18 mars à 20h30. Concerts et réservations, Elele.

Hassan Tabar : santour. Hassan Tabar est né à Ghavzin [Iran] dans une famille où l'on apprécie la musique traditionnelle iranienne et où l'on y attache une très grande importance. Il s'intéresse à la musique dès son plus jeune âge et acquiert à l'adolescence une bonne connaissance du ""radif vocal"" sous la direction de Mirzâ Ali Akbar Khorram Ghazvini. A l'âge de 16 ans, il s'initie au santour auprès de Hosseïn Shafi'i qui lui enseigne les bases de la musique savante traditionnelle iranienne. Il poursuit ses études musicales au Centre de conservation et de diffusion de la musique avec Mas'oud Shénâssâ auquel il garde une immense reconnaissance. C'est là qu'en peu de temps, il parvient à apprendre tout le cycle du ""radif"" de Abol Hassan Sabâ et de Mirza Abdollâh. A partir de 1982, il enseigne le santour tout en poursuivant ses études et conserve des liens avec Maître Farâmarz Pâïvar dont les admirables connaissances musicales l'imprègneront à jamais et pour lesquel il a une très grande estime. Enfin, c'est en 1985 qu'il s'installe en France où il enseigne le santour. Il donne de nombreux concerts en Europe. En 1987, il est lauréat de la Fondation Cziffra et les Jeunesses musicales de France l'ont choisi pour leurs tournées pédagogiques 1993/1994 et 1994/1995.

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Istanbul-Paris, les mélanges de Çako Aykaç. Exposition. / Elele. Paris1989

4180 , 1989  

Elele, La Maison des travailleurs de Turquie, 10 rue de la Fontaine-au-Roi, 75011 Paris, présente : Istanbul-Paris, les mélanges de Çako Aykaç. Exposition du 6 au 20 décembre 1989 au restaurant La Voie Lactée, 34 rue du Cardinal-Lemoine, et 3 rue des Écoles, 75005 Paris, de 12h00 à 14h30 et de 19h30 à 23h30.

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Jefira, musique d'une Méditerranée inventée / Elele. Paris1996

4189 , 1996  

Dans le cadre des soirées Musiques-Mosaïques, Elele et Aksak présentent : Jefira, Musiques d'une Méditerranée inventée. Jefira signifie ""pont"" en grec. Riche des différentes provenances (Allemagne, Chypre, France, Italie, Turquie) et formations musicales de ses membres, Jefira lance un pont entre les pays et les cultures en proposant une musique originale. Entre le classique et le folklore, cette musique nous fait découvrir l'autre à travers ses chants d'amour, de haine, de révolte ou d'espoir. Jefira. Chants : Dimis Michaelides. Violon, compositions : Georg Elsholtz. Contrebasse : Franck Ratajczyk. Flûtes : Marjolaine Ott. Guitare : Luca Marsi. Percussions : Tufan Akis. Concert et réservations : Elele.

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L'humour des femmes expose l'humeur des femmes / Elele. Paris1998

4191 , 1998  

L'humour des femmes expose l'humeur des femmes. A l'occasion de la Journée internationale des femmes, Elele présente une exposition qui regroupe les dessins humoristiques de Eda Oral, Feyhan Güver, Gülay Batur, Meral Onat, Piyale Madra et Ramize Erer, dessinatrices régulièrement publiées par la presse turque. Ces oeuvres sont pour ""l'école de caricature turque"" une fenêtre féminine ouverte sur le monde. Trois artistes, Meral Onat, Piyale Madra et Ramize Erer viendront de Turquie pour participer à notre soirée de vernissage et pour nous proposer un échange suivi d'un débat autour de la ""place des dessinatrices dans l'école de caricature turque et le mouvement des femmes"". Vernissage le vendredi 6 mars 1998 de 18h00 à 21h00. Exposition, du 6 au 18 mars 1998 du lundi au vendredi 13h00-17h30. Elele, 20 rue de la Pierre-Levée, 75011 Paris. [Même texte en langue turque].

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La Femme turque au fil de l'histoire / Elele. Paris[1996]

4190 , [1996]  

Tari Boyunca Türk Kadini, La Femme turque au fil de l'histoire. L'exposition composée de panneaux retraçant un panorama historique de la femme turque à l'aide de textes, photographies et dessins, pourra être visitée à Elele du lundi 26 février au samedi 9 mars. Parallèlement à la Journée Mondiale de la Femme (8 mars), Elele organise un certain nombre de manifestations. Vendredi 8 mars, 14h30 : dans le cadre de la réunion mensuelle avec les femmes turques et autour du thème de l'exposition, Gaye Petek-Salom parlera des femmes immigrées en France. Vendredi 8 mars, 18h30, échange en présence de Güzin Dino et de Mûnevver Andaç. Güzin Dino et Münevver Andaç qui sont des témoins privilégiés du mouvement d'émancipation des femmes turques, nous ferons le plaisir de nous parler de leurs souvenirs. D'autres invités seront également présents, pour un vaste échange autour de ce thème. Samedi 9 mars, de 14h30 à 18h30, l'exposition reste ouverte. Une visite est proposée aux élèves et aux enseignants. [Même texte en langue turque].

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La tradition turque du théâtre des ombres / Elele. [Paris]1995

1270 , 1995  

Au recto : La tradition turque du théâtre des ombres. Karagöz au pays des Français. 7-16 novembre 1995. Mercredi 8 novembre à 20h30 : centre Mandapa, 6 rue Wurtz, 75013 Paris. Dimanche 12 novembre à 15h et 17h30 : 5e biennale ""Voyages en marionnettes du Val-de-Marne"", salle Roublot, 94120 Fontenay-sous-Bois. Mercredi 15 novembre : deux matinées scolaires, Relais Ménilmontant, 85 rue de Ménilmontant, 75020 Paris. Sont également programmées cinq représentations en milieu scolaire les 9, 13 et 16 novembre. Le maître Tacettin Diker, assisté de Selahattin Erener, présente trois pièces pour les publics jeunes : Salincak (La Balançoire), Kayik (La Barque), Cazular (Les Sorcières). Une pièce pour tous publics : Ters Evlenme (Le Faux mariage). Avec le concours du FAS (Fonds d'action sociale), Banque du Bosphore, Marmara-Mondial Tours. En partenariat avec : Compagnie Jean-Pierre Lescot, Centre de promotion des Arts traditionnels du spectacle ""Mandapa"", Relais Ménilmontant, Centre ""Solidarité-Roquette"". Organisé et animé par Elele.

Au verso : ""Karagöz, un patrimoine en voie de disparition"" : le Karagôz représente dans le patrimoine culturel turc une des formes d'arts traditionnels parmi les plus populaires. Le théâtre tire son nom de l'un des deux principaux personnages : Karagöz, le paysan inculte qui s'oppose à Hacivat, le lettré ottoman. Progressivement supplanté par le cinéma et le théâtre vivant, le théâtre d'ombres a malheureusement presque disparu en Turquie dans sa forme populaire. Privilégiant depuis toujours l'authenticité et la qualité, Elele cherche à transmettre au public français comme au public turc les meilleurs aspects de la culture turque. Elele pense également indispensable que les enfants des immigrés puissent se réapproprier leur culture d'origine. La société ottomane disposait avec Karagöz d'un regard sur elle-même, caustique et ironique, à travers une fabuleuse galerie de portraits. Aujourd'hui on ne trouve plus en Turquie que trois montreurs traditionnels (en effet, les artistes qui se produisent lors des fêtes de circoncision un peu partout en Turquie sont de simples amateurs). Tacettin Diker, âgé de 72 ans, est l'un d'entre-eux. Il est probable que sa venue en France soit l'une des dernières occasions de connaître ou de revoir vivre Karagöz dans sa vérité originelle. [...]. ""La tradition du théâtre d'ombres turc"", par Gaye Petek-Salom [...]. Résumé des pièces (tirées du répertoire classique) [...].