Toutes les ressources Elele - Migrations et cultures de Turquie (Paris, France) 41 résultats (2ms)

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Concert exceptionnel. Bosphorus. Musique savante ottomane et musique mevlevi / Elele. [Paris]1994

1260 , 1994  

Concert exceptionnel. Bosphorus. Musique savante ottomane et musique mevlevi. Abdi Coskun (tanbur), Mutlu Torun (ud), Bekir R. Sagbas (kanun), Hasan Esen (kemençe), Umit Gurelman (ney), Mehmet A. Erdebil (ney), Mustafa H. Ungay (kudum), Ugur Isik (çello), Fahrettin Yarkin (bendir). Vendredi 25 mars 1994 à 20h30, église des Billettes, Paris 4e. Avec le concours de : Ministère Turc de la Culture, Ambassade de Turquie à Paris, Banque du Bosphore, Ambassade de France à Ankara. Remerciements à : Fonds d'Action Sociale, Agence de voyages Marmara, Amicale de Galatasaray, Comité France-Turquie.

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Dans le cadre des soirées Musiques-Mosaïques, les associations Elele et Aksak présentent / Elele. [Paris][1994]

1182 , [1994]  

Dans le cadre des soirées Musiques-Mosaïques, les associations Elele et Aksak présentent : Talip Özkan, musique populaire et traditionnelle turque, samedi 19 mars à 20h ; le Trio Aksak, musique d'Asie mineure, samedi 7 mai à 20h. Réservations et concerts à Elele [...]

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Mandragore, musique traditionnelle de la Grèce orientale / Elele. Paris[1995]

4185 , [1995]  

Dans le cadre des soirées Musiques-Mosaïques : Mandragore, musique traditionnelle de la Grèce orientale, le samedi 10 juin à 20h30. L'ensemble musical Mandragore réunit six jeunes musiciens dans le but de faire connaître la musique traditionnelle grecque. La première partie de son programme comporte des chansons grecques traditionnelles de l'Asie Mineure ainsi que des îles de la Mer Egée. La principale caractéristique de cette musique est sa couleur orientale contrairement à la couleur plutôt balkanique de la musique de la Grèce continentale. La deuxième partie du programme comporte des chansons de la première période du rébétiko (langage musical développé dans les bas quartiers d'Athènes et du Pirée au cours de la première moitié du 20e siècle) qui s'étend jusqu'au milieu des années trente. Ces chansons sont principalement composées par des musiciens grecs originaires de l'Asie mineure réfugiés en Grèce en 1922 après la guerre entre la Grèce et la Turquie. Concert et réservations à Elele.

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Causeries turques : programme 1995 / Elele. Paris1995

4194 , 1995  

Causeries turques : programme 1995. Les deux premières rencontres de l'année auront lieu à Elele: 20 rue de la Pierre-Levée 75011 Paris, Metro République. Vendredi 27 janvier à 20h00 : Projection du film ""Un Village anatolien"" et débat. Intervenants : Bige Berker, réalisatrice, Najat Firuz, assistant à la réalisation. Pour réaliser ce film, Bige Berker et Nejat Firuz se sont rendus, en compagnie de Mahmut Makal, dans le village anatolien où celui-ci avait exercé son métier d'instituteur, à la recherche des personnes et des lieux qui ont inspiré son récit ""Un Village anatolien"".. Vendredi 17 février à 19h00 : ""Le Développement récent des Républiques d'Asie centrale et la politique extérieure de la Turquie"". Intervenant : M. Semih Vaner, directeur de recherches au CERI. La suite du programme des conférences prévues pour l'année 1995, à titre indicataif : la laïcité turque en question, les communautés chrétiennes de Turquie en France, les peintres et la peinture turque en France, Istanbul dans ma mémoire...

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Ensemble Mevlana, Musique classique turque des Mevlevis / Elele. 1995

4187 , 1995  

Dans le cadre des soirées Musiques-Mosaïques Elele et Aksak présentent : Ensemble Mevlana, Musique classique turque des Mevlevis, mieux connus en Occident sous le nom de Derviches tourneurs. Samedi 2 décembre 1995 à 20h30. Cet ensemble peut varier de deux à huit musiciens suivant les nécessités. Pour ce concert, il sera composé de : Stéphane Gallet : ney (flûte oblique en roseau); Hervé Teboul : ud (luth), Kemençe (vielle à archet), Yali tanbur; Gilles Andrieux : tanbur (luth à très lon manche); Mehmet Ayas : bendir (grand tambourin). L'ensemble Mevlana a été créé il y dix ans et regroupe principalement des musiciens ayant étudié la musique classique turque avec Kudsi Erguner dans le cadre de l'association Mevlana (association pour la connaissance et la diffusion des traditions souffies). L'ensemble Mevlana interprètera différentes compositions musicales [...]. Concert et réservations à Elele.

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Hassan Tabar, musique traditionnelle iranienne / Elele. Paris[ca 1995]-[ca 1996]

4193 , [ca 1995]-[ca 1996]  

Dans le cadre de leurs soirées Musiques-Mosaïques, les associations Elele et Aksak présentent : Hassan Tabar, concert de musique traditionnelle iranienne, le 18 mars à 20h30. Concerts et réservations, Elele.

Hassan Tabar : santour. Hassan Tabar est né à Ghavzin [Iran] dans une famille où l'on apprécie la musique traditionnelle iranienne et où l'on y attache une très grande importance. Il s'intéresse à la musique dès son plus jeune âge et acquiert à l'adolescence une bonne connaissance du ""radif vocal"" sous la direction de Mirzâ Ali Akbar Khorram Ghazvini. A l'âge de 16 ans, il s'initie au santour auprès de Hosseïn Shafi'i qui lui enseigne les bases de la musique savante traditionnelle iranienne. Il poursuit ses études musicales au Centre de conservation et de diffusion de la musique avec Mas'oud Shénâssâ auquel il garde une immense reconnaissance. C'est là qu'en peu de temps, il parvient à apprendre tout le cycle du ""radif"" de Abol Hassan Sabâ et de Mirza Abdollâh. A partir de 1982, il enseigne le santour tout en poursuivant ses études et conserve des liens avec Maître Farâmarz Pâïvar dont les admirables connaissances musicales l'imprègneront à jamais et pour lesquel il a une très grande estime. Enfin, c'est en 1985 qu'il s'installe en France où il enseigne le santour. Il donne de nombreux concerts en Europe. En 1987, il est lauréat de la Fondation Cziffra et les Jeunesses musicales de France l'ont choisi pour leurs tournées pédagogiques 1993/1994 et 1994/1995.

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La tradition turque du théâtre des ombres / Elele. [Paris]1995

1270 , 1995  

Au recto : La tradition turque du théâtre des ombres. Karagöz au pays des Français. 7-16 novembre 1995. Mercredi 8 novembre à 20h30 : centre Mandapa, 6 rue Wurtz, 75013 Paris. Dimanche 12 novembre à 15h et 17h30 : 5e biennale ""Voyages en marionnettes du Val-de-Marne"", salle Roublot, 94120 Fontenay-sous-Bois. Mercredi 15 novembre : deux matinées scolaires, Relais Ménilmontant, 85 rue de Ménilmontant, 75020 Paris. Sont également programmées cinq représentations en milieu scolaire les 9, 13 et 16 novembre. Le maître Tacettin Diker, assisté de Selahattin Erener, présente trois pièces pour les publics jeunes : Salincak (La Balançoire), Kayik (La Barque), Cazular (Les Sorcières). Une pièce pour tous publics : Ters Evlenme (Le Faux mariage). Avec le concours du FAS (Fonds d'action sociale), Banque du Bosphore, Marmara-Mondial Tours. En partenariat avec : Compagnie Jean-Pierre Lescot, Centre de promotion des Arts traditionnels du spectacle ""Mandapa"", Relais Ménilmontant, Centre ""Solidarité-Roquette"". Organisé et animé par Elele.

Au verso : ""Karagöz, un patrimoine en voie de disparition"" : le Karagôz représente dans le patrimoine culturel turc une des formes d'arts traditionnels parmi les plus populaires. Le théâtre tire son nom de l'un des deux principaux personnages : Karagöz, le paysan inculte qui s'oppose à Hacivat, le lettré ottoman. Progressivement supplanté par le cinéma et le théâtre vivant, le théâtre d'ombres a malheureusement presque disparu en Turquie dans sa forme populaire. Privilégiant depuis toujours l'authenticité et la qualité, Elele cherche à transmettre au public français comme au public turc les meilleurs aspects de la culture turque. Elele pense également indispensable que les enfants des immigrés puissent se réapproprier leur culture d'origine. La société ottomane disposait avec Karagöz d'un regard sur elle-même, caustique et ironique, à travers une fabuleuse galerie de portraits. Aujourd'hui on ne trouve plus en Turquie que trois montreurs traditionnels (en effet, les artistes qui se produisent lors des fêtes de circoncision un peu partout en Turquie sont de simples amateurs). Tacettin Diker, âgé de 72 ans, est l'un d'entre-eux. Il est probable que sa venue en France soit l'une des dernières occasions de connaître ou de revoir vivre Karagöz dans sa vérité originelle. [...]. ""La tradition du théâtre d'ombres turc"", par Gaye Petek-Salom [...]. Résumé des pièces (tirées du répertoire classique) [...].

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Jefira, musique d'une Méditerranée inventée / Elele. Paris1996

4189 , 1996  

Dans le cadre des soirées Musiques-Mosaïques, Elele et Aksak présentent : Jefira, Musiques d'une Méditerranée inventée. Jefira signifie ""pont"" en grec. Riche des différentes provenances (Allemagne, Chypre, France, Italie, Turquie) et formations musicales de ses membres, Jefira lance un pont entre les pays et les cultures en proposant une musique originale. Entre le classique et le folklore, cette musique nous fait découvrir l'autre à travers ses chants d'amour, de haine, de révolte ou d'espoir. Jefira. Chants : Dimis Michaelides. Violon, compositions : Georg Elsholtz. Contrebasse : Franck Ratajczyk. Flûtes : Marjolaine Ott. Guitare : Luca Marsi. Percussions : Tufan Akis. Concert et réservations : Elele.