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Issue de l'Association des radios francophones publiques (RFP) qui regroupe Radio-France, Radio-Canada, Radio-télévision belge de la Communauté française et Radio télévision suisse, cette communauté de radios a pour but de faire rayonner la langue française. Elle propose des programmes variés sur l'actualité internationale (la francophonie en particulier, l'environnement), la culture (musique, cinéma, programmes historiques), les nouvelles technologies, etc. Elle réalise de nombreuses coproductions. On retrouve des documents consacrés à la guerre d'Algérie, à l'exil et au rôle de la littérature pour les exilés comme Marcel Moreau, écrivain belge arrivé à Paris en 1968 ou encore Maximilien Laroche, un Haïtien qui a dû quitter son pays, qui est passé par la France pour ses études et qui a enseigné au Canada.

Entretien filmé avec Marcel Zaidner, dirigeant communiste, sur son parcours de vie, ses activités syndicales et politiques.

Le dépouillement du dossier 37 J 19 (employés dont le nom commence par les lettres comprises entre V et Z) indique que les étrangers représentent un pourcentage important des employés de l'entreprise. Il s'agit en premier lieu de Suisses, souvent envoyés en France dès l'Entre-deux-guerres par la société de Winterthur, d'Italiens et de Polonais, et ponctuellement d'autres nationalités (Anglais, Belges, Hollandais, Yougoslaves...). Les travailleurs algériens apparaissent quant à eux dans les années 1950.

Réclamation du ministre de Suisse Stapfer.

Organisation et fonctionnement des chambres : allemande (1908) ; anglaise (1907-1917) ; latino-américaine (1902) ; argentine (1913) ; austro-hongroise (1908-1910) ; belge (1914) ; brésilienne (1910) ; chilienne (1919) ; canadienne (1902-1905) ; franco-espagnoles (1916) ; franco-italienne (1901-1917) ; luxembourgeoise (1919) ; néerlandaise (1904-1911) ; ottomane (1907-1908) ; franco-polonaise (1920) ; portugaise (1910) ; russe (1902-1914) ; suédoise (1915) ; suisse (1915) ; tchèque (1908).

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« Après avoir travaillé de nombreuses années sur l'histoire de l'immigration, de la colonisation et de la période postcoloniale, nous nous interrogeons sur la signification d'un «  patrimoine de l'immigration ». Qu'est-ce qu'un «  patrimoine de l'immigration »  ? S'agit-il de lieux de mémoire, des objets, artéfacts, témoignages, archives, etc  ? Mais en quoi ces corpus appartiennent-ils à l'histoire de l'immigration  ? Et en quoi appartiennent-ils, aussi, à d'autres histoires  ? »

Extrait du texte de Nicolas Bancel et Pascal Blanchard