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Sous-fonds du siège social (Espace des Brotteaux)

 

La présentation qui suit correspond plus à un classement intellectuel qu'à un récolement. La localisation des documents reste cependant possible au moyen des plans des bâtiments et des salles. En effet, une codification ou une dénomination arbitraire des différents espaces de rangement y sont données : cette codification est indiquée dans le texte, entre parenthèses (par exemple le dossier « Amitiés africaines » du foyer Joannès-Vallet est situé dans la salle PATRIMOINE, sur le rayon orienté vers le nord de la travée centrale, soit en abrégé TCRN). Une estimation du métrage linéaire est proposée pour chaque ensemble de documents. L'inventaire décrit également le conditionnement des documents afin de pouvoir de pouvoir les identifier physiquement (chemises, cartons, classeurs, « vrac », fichier…).

Pour certains dossiers, l'intitulé donné ici correspond aux informations inscrites par le service producteur sur la tranche du carton ou de la chemise (une vérification rapide de la concordance entre cet intitulé et les documents contenu dans le carton a été faite). Lorsque l'intitulé ne restituait que partiellement le contenu, une nouvelle notice a été rédigée. Dans la mesure du possible, les dates extrêmes sont signalées pour chaque unité. Enfin, plusieurs dossiers anciens de la Salle Patrimoine ont fait l'objet de notices plus détaillées en raison de leur intérêt historique.

Equipements ; mobilier…

Sans date  

[Nicolas-Garnier à Villeurbanne ; Meyzieu à Saint-Priest ; Andrézieux-Bouthéon ; Général-Frère (Lyon 8e) ; Portes-du-Sud à Vénissieux (Corbas) ; J. -Masset, rue Saint-Pierre-de-Vaise (Lyon 9e).]

Contexte :
Sous-fonds du siège social (Espace des Brotteaux) > Service patrimoine (35 ml) > Établissements : dossiers collectifs > Aménagements et travaux : dossiers techniques et fournisseurs

DPH.

[1990]-[1999]  

[Arc-en-Ciel à Vaulx-en-Velin (réhabilitation, collectif des locataires) ; Portes-du-Sud (« Cap service », coopérative d'emploi) ; contentieux de co-propriété (la Ricamarie Saint-Etienne, Lyon Montesquieu…) ; procédures et instances liées à l'habitat ; investissements ; appartements résidences sociales (aménagements, délibérations du conseil général) ; bilan du groupe de travail « entretien des sites » ; chantiers, travaux, amiante, réfections ; mutations et plan de charges des foyers ; projet d'intervention sociale ; statuts du personnel permanent (rapport, 1991, 54 p.) …. ].

Contexte :
Sous-fonds du siège social (Espace des Brotteaux) > Service patrimoine (35 ml) > Établissements : dossiers collectifs > Administration générale (Direction du Patrimoine et de l'Habitat)

Francs-tireurs et partisans de la Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI) (1942-1943)

Entre le 1er janvier 1942 et le 31 décembre 1943  

Le groupe des Francs-tireurs et partisans de la Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI) est créé en 1942 en région parisienne. Il regroupe une partie des résistants étrangers menant la lutte armée durant la Seconde Guerre mondiale. A sa création, le groupe est dirigé par Boris Holban, Karel Stefka et Olaso Piera, puis en 1943 par Missak Manouchian dit Georges. Il se développe ensuite et se répartit en différents groupes dont le bataillon Liberté (Grenoble), la 35e brigade (Toulouse), le bataillon Carmagnole (Lyon-Villeurbanne) et le groupe Manouchian (Paris).

Chaque groupe suit une répartition par détachements. Sont représentés les Hungaro-Roumains (1er détachement), les Juifs (2e détachement), les Italiens (3e détachement), les dérailleurs (4e détachement) complétés par deux équipes de Bulgares et d'Espagnols. Les FTP-MOI disposent également d'un service de renseignement préparant les actions armées en amont par la recherche d'objectifs et le repérage des lieux. Le groupe déploie sur le territoire des offensives armées suivant la stratégie dite « boule de Mercure ». Cette technique vise à organiser une offensive selon l'action simultanée de différents petits groupes extrêmement mobiles afin de faire croire à une organisation de grande importance. L'une de leur action la plus connue est l'assassinat, le 28 novembre 1943, du général SS Julius Ritter qui supervisait les réquisitions d'ouvriers français pour l'industrie allemande par le biais du Service du travail obligatoire (STO).