Toutes les ressources Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne, France) 24 résultats (4ms)

Fiches des employés

37 J 1-19 , 1920-1960  

Le dépouillement du dossier 37 J 19 (employés dont le nom commence par les lettres comprises entre V et Z) indique que les étrangers représentent un pourcentage important des employés de l'entreprise. Il s'agit en premier lieu de Suisses, souvent envoyés en France dès l'Entre-deux-guerres par la société de Winterthur, d'Italiens et de Polonais, et ponctuellement d'autres nationalités (Anglais, Belges, Hollandais, Yougoslaves...). Les travailleurs algériens apparaissent quant à eux dans les années 1950.

Portugaises d'origine : montage (1984).

4AV 1074 , 1984 - 1984  

Des jeunes filles d'origine portugaise vivant en France témoignent de leur vie en France, le mythe du retour au pays entretenu par les parents, l'intégration en France, l'autorité parentale, le rôle des associations (cours de danse, de portugais aux enfants tous les samedis), la place des femmes dans la société portugaise. Le documentaire est entrecoupé de scènes de théâtre jouées par des adolescents concernant les relations enfants-parents, l'intégration. Lors d'une émission de Radio clube portuguèse (de Villejuif ?), des jeunes femmes d'origine portugaise témoignent des difficultés à obtenir des titres de travail et de séjour.

Contexte :
Documentaires collectés auprès de tiers > Documentaires réalisés par des réalisateurs > José Vieira : montages, épreuves de tournage.
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Festa portuguesa / Confédération générale du travail (CGT) ; Confederação nacional dos trabalhadores portugueses-Intersindical nacional (CGTP-IN). [Montreuil]1985

4138 , 1985  

Festa portuguesa. Fête internationale de solidarité franco-portugaise, organisée par la CGT [Confédération générale du travail) et le CGTP-IN [Confederação nacional dos trabalhadores portugueses-Intersindical nacional], avec le concours du mouvement associatif portugais. Le 28 septembre 1985, complexe sportif de l'Ile-des-Vannes, Saint-Ouen. A partir de 14 heures, Festival folklorique avec les groupes de : Bezons, Champigny, Paris, Pontault-Combault, Franconville, Clichy, Colombes, Puteaux, Villejuif, Fontenay-sous-Bois, Montmorency, la chorale ""La Joie de vivre"", la chanteuse Aida Ferreira, Le groupe Alerta, les groupes de musique rock Os Claves et Hyper X. A partir de 20h30, en soirée : la Chorale populaire de Paris, Fernando Marques, Danielle Villière, José Jorge Letria, Yvan Dautin, Carlos do Carmo.

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Fête de la liberté. Fontenay-sous-Bois / Association des Portugais de Fontenay-sous-Bois. Fontenay-sous-Bois1987

4151 , 1987  

Fête de la liberté. Fontenay-sous-Bois. A Associação portuguesa et le service culturel municipal comemoramo 13e aniversario do 25 Abril 1974. Domingo 19 Abril 1987, das 14h30 as 22h, salle des spectacles ""Jacques Brel"" com : a popular vedeta portuguesa, auteur-compositeur de musique populaire portugaise, Manuel Gaspard et ses musiciens. Le groupe de danses franco-portugais ""Les Étoiles de Fontenay"". Rancho folclorico. Infantil et adulto de Fontenay-sous-Bois ""Aldeias de Portugal"". Baile da Liberdade, animé par l'orchestre ""Éclipse"".

Traduction : Fête de la liberté. Fontenay-sous-Bois. L'association portugaise et le service culturel municipal commémorent le 13e anniversaire du 25 avril 1974. Dimanche 19 avril 1987, de 14h30 à 22h, salle des spectacles ""Jacques Brel"" avec : la vedette populaire portugaise, auteur-compositeur de musique populaire portugaise, Manuel Gaspard et ses musiciens. Le groupe de danses franco-portugais ""Les Étoiles de Fontenay"". Rancho folclorico. Enfants et adultes de Fontenay-sous-Bois ""Villages du Portugal"". Bal de la liberté, animé par l'orchestre ""Éclipse"".

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La tradition turque du théâtre des ombres / Elele. [Paris]1995

1270 , 1995  

Au recto : La tradition turque du théâtre des ombres. Karagöz au pays des Français. 7-16 novembre 1995. Mercredi 8 novembre à 20h30 : centre Mandapa, 6 rue Wurtz, 75013 Paris. Dimanche 12 novembre à 15h et 17h30 : 5e biennale ""Voyages en marionnettes du Val-de-Marne"", salle Roublot, 94120 Fontenay-sous-Bois. Mercredi 15 novembre : deux matinées scolaires, Relais Ménilmontant, 85 rue de Ménilmontant, 75020 Paris. Sont également programmées cinq représentations en milieu scolaire les 9, 13 et 16 novembre. Le maître Tacettin Diker, assisté de Selahattin Erener, présente trois pièces pour les publics jeunes : Salincak (La Balançoire), Kayik (La Barque), Cazular (Les Sorcières). Une pièce pour tous publics : Ters Evlenme (Le Faux mariage). Avec le concours du FAS (Fonds d'action sociale), Banque du Bosphore, Marmara-Mondial Tours. En partenariat avec : Compagnie Jean-Pierre Lescot, Centre de promotion des Arts traditionnels du spectacle ""Mandapa"", Relais Ménilmontant, Centre ""Solidarité-Roquette"". Organisé et animé par Elele.

Au verso : ""Karagöz, un patrimoine en voie de disparition"" : le Karagôz représente dans le patrimoine culturel turc une des formes d'arts traditionnels parmi les plus populaires. Le théâtre tire son nom de l'un des deux principaux personnages : Karagöz, le paysan inculte qui s'oppose à Hacivat, le lettré ottoman. Progressivement supplanté par le cinéma et le théâtre vivant, le théâtre d'ombres a malheureusement presque disparu en Turquie dans sa forme populaire. Privilégiant depuis toujours l'authenticité et la qualité, Elele cherche à transmettre au public français comme au public turc les meilleurs aspects de la culture turque. Elele pense également indispensable que les enfants des immigrés puissent se réapproprier leur culture d'origine. La société ottomane disposait avec Karagöz d'un regard sur elle-même, caustique et ironique, à travers une fabuleuse galerie de portraits. Aujourd'hui on ne trouve plus en Turquie que trois montreurs traditionnels (en effet, les artistes qui se produisent lors des fêtes de circoncision un peu partout en Turquie sont de simples amateurs). Tacettin Diker, âgé de 72 ans, est l'un d'entre-eux. Il est probable que sa venue en France soit l'une des dernières occasions de connaître ou de revoir vivre Karagöz dans sa vérité originelle. [...]. ""La tradition du théâtre d'ombres turc"", par Gaye Petek-Salom [...]. Résumé des pièces (tirées du répertoire classique) [...].

Lucienne Scaglia, troisième partie.

11AV 288 , 2006 - 2006  

Elle raconte l'arrivée de son père en 1924, accueilli chez sa soeur ou dans un des hôtels Bonnelli ou Cavanna. Il est embauché dans l'entreprise de couverture plomberie Dorange. Elle commente les photos de son père avec la voiture à bras et les photos sur les toits. Elle raconte le travail de son père, les grèves de 1936, l'apprentissage de la langue française. Elle parle des différences entre Italiens de Nogent et de Fontenay. Elle raconte le peu de loisirs, l'argent envoyé en Italie et la solidarité entre Italiens. Elle raconte les voyages en Italie dont celui de 1942, l'histoire de la valise. Elle raconte comment la maison a été construite.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Lucienne Scaglia, première partie.

11AV 286 , 2006 - 2006  

Elle raconte l'histoire de ses parents originaires de la région de Ferrière, dans la province de Plaisance. Sa mère née en 1903 à Curlette et son père en 1903 à Tornaresse de familles de cultivateurs. Elle raconte l'enfance de ses parents, son père journalier, bûcheron. Elle évoque l'arrivée d'une soeur de son père en France en 1922, l'arrivée des Italiens sur Nogent et Fontenay, installés dans les maisons de rapports Bonnelli. Elle raconte l'histoire des oncles et tantes, et décrit le village de Ferrière et les hameaux.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Marguerite Stombellini, quatrième partie.

11AV 298 , 2007 - 2007  

Elle raconte sa formation et son parcours professionnel, employée comme comptable dans trois société dont les fonderies Waelès à Montreuil. Elle parle de sa famille, ses frères et soeurs, de l'intérêt de ses neveux pour leurs origines italiennes. Elle évoque la différence entre les Italiens de Nogent-sur-Marne et ceux de Fontenay-sous-Bois. Elle raconte les bals et les sorties à Fontenay et Nogent. Elle parle des autres populations immigrées et de l'intégration, la solidarité des familles d'origine italienne en France.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Marguerite Stombellini, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

11AV 286-292 , 2007 - 2007  

Née en 1931 de parents italiens de la région de Plaisance, installés à Fontenay-sous-Bois en 1923. Son père travaille dans une entreprise de couverture puis se met à son compte. Sa mère est femme de ménage dans les familles bourgeoises de Fontenay.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne

Lucienne Scaglia, quatrième partie.

11AV 289 , 2007 - 2007  

Elle raconte son enfance en 1931 à Nogent-sur-Marne dans le quartier du Fort. Elle décrit sa famille, son frère, ses cousins. Elle raconte le choix des prénoms français et les conditions de vie de ses parents. Elle parle de la rivalité avec les Italiens pendant la guerre, les Fontenaysiens traités de "rouges". Elle décrit le quartier dans la zone du Fort, zone non viabilisée, l'installation des familles modestes. Elle raconte l'école Victor Duruy, les souvenirs de classe et la langue française parlée à la maison, de la nationalité prise par ses parents en 1939. Elle raconte les types de métiers pour les femmes à l'époque. Elle évoque sa formation, le cours complémentaire et le diplôme en commerce obtenu. Elle commence à travailler à 18 ans comme comptable. Elle raconte ses loisirs, les loisirs, les bords de Marne, les cours d'enseignement ménager.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Lucienne Scaglia-Chiaffi, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).

Marguerite Stombellini, troisième partie.

11AV 297 , 2007 - 2007  

Elle raconte la période de la guerre, l'exode dans le Loiret et les remarques faites sur les Italiens. Elle parle des fêtes et habitudes alimentaires italiennes à la maison et des loisirs le dimanche, l'arrivée de la télévision et de la machine à laver vers 1954. Elle raconte son unique voyage en Italie dans les années 1980, la visite à la famille.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Parcours de migrants > Migrants et descendants d'origine italienne > Marguerite Stombellini, témoignage sur l'immigration italienne : enregistrement sonore (2007).