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Le tribunal du vent de la justice / Fédération internationale des droits de l'Homme (FIDH).

2229  

Mercredi 25 octobre, de 9h30 à 13h, à l'Oratoire de Calvi, dans la Citadelle. La FIDH présente Le tribunal du vent de la justice. Table ronde sur le thème Justice en Méditerranée. Avecles témoignages de : Wadih El Asmar, Nassera Dutour, Rachid El Manouzi, Malika Matoub, Driss El Yazami [...].

Contexte :
Rassemblements et manifestations > 1990-1999 > Non datées [ca 1990-1999]
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Le troisième regard

2010  

Depuis une dizaine d'années, on assiste à l'émergence de films dans lesquels les Maghrébins ne sont plus renvoyés à leurs origines mais incarnent des rôles français comme Jamel Debbouze dansLe fabuleux destin d'Amélie Poulain ou Samy Naceri dans Taxi. Les questions d'ethnicité sont de plus en plus secondaires et la figure du Maghrébin se banalise. Ce type de cinéma a trouvé son public avec la poussée démographique des jeunes issus de l'immigration.

Contexte :
Interventions des historiens > 3ème session Enjeux et perspectives > Alec Hargreaves, « Les trois âges cinématographiques des Maghrébins en France ».
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Élections municipales 2001 / Coordination des collectivités portugaises en France (CCPF). [Paris]2001

1973 , 2001  

Élections municipales 2001. Mêlez-vous de ce qui vous regarde ! Inscrivez-vous cette année pour pouvoir voter l'année prochaine ! Pour la première fois les Portugais de France vont pouvoir voter lors des prochaines élections municipales en France en mars 2001. Il faut s'inscrire sur une liste électorale complémentaire en vous rendant à la Mairie de votre lieu de résidence avant le 31 décembre 2000. Pour cela, munissez-vous simplement d'un titre de séjour et de votre passeport (ou une carte d'identtié en cours de validité) ainsi que d'un justificatif de domicile. Une campagne de la Coordination des collectivités portugaises en France.

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Legalização. O que e ? / Alto comissario para emigração e minoria étnicas (ACIME), Ministerio de administraçao interna, Secretariado coordenador de associaçoes para a legalizaçao.

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Legalizaçao. O que e ? Direitos, Protecçao seniço de Saude, Educaçao contrato de trabalho, Citadadania. Para que todos saibam que você existe. Ter direitos, regalias e nao pagar nada por isso. Campanha de legalizaçao de Estrangeiros.

Contexte :
Campagnes militantes et citoyennes > 2000-2009 > Non datées [ca 2000-2009]

Lemesle, Bruno (collection numérisée d'affiches)

FRGNQ_A_5671 - FRGNQ_A_5675 , 1980  

Le fonds est composé d'un ensemble de cinq affiches traitant d'événements culturels organisés par les ateliers Tac-Tic dans le quartier de la Goutte d'Or (Paris, 18ème arrondissement) dans les années 1980.

Le quartier de la Goutte-d'Or constitue l'un des principaux lieux de mémoire et d'histoire de l'immigration à Paris. Situé dans le 18e arrondissement, il s'étend entre le boulevard de la Chapelle au sud, Saint-Denis au nord, la rue des Poissonniers et le Boulevard Barbés à l'ouest et la rue de la Chapelle et la rue Marx-Dormoy à l'est. Mais c'est le secteur autour de la rue de la Goutte-d'Or, entre le Boulevard Barbès et les voies ferrées qui est appelé communément la Goutte d'Or ou le plus souvent Barbès. Ce quartier qui se constitue au XIXe siècle est destiné à accueillir des populations ouvrières. Dès cette époque, il rassemble des populations issues des migrations intérieures - Auvergnats, Bretons, Picards, puis au début du XXe siècle, en provenance de l'étranger: Belges, Polonais, Espagnols et Italiens. Dans l'après-guerre, ce quartier se spécialise dans l'hébergement des populations immigrées d'Afrique du Nord et le développement des hôtels meublés. Puis au début des années soixante s'y installent des Maliens, Sénégalais, Antillais, Yougoslaves et plus récemment des Ghanéens et Sri-Lankais. A partir de 1962, il abrite la part la plus importante d'étrangers parmi les quartiers parisiens (plus d'un tiers des chefs de ménages en 1982), louant souvent de petits appartements, vétustes et sans confort. Le secteur nord de la Goutte-d'Or, est connu pour abriter un grand nombre de petits commerces de produits dits exotiques maghrébins, pakistanais ou d'Afrique subsaharienne. Depuis les années quatre-vingt, des entrepreneurs sénégalais y ont ainsi développé un réseau dense de petits commerces : de 40 établissements en 1985, on en compte au milieu des années 2000 près d'une centaine. Au début des années quatre vingt, la Ville de Paris engage un projet de rénovation-réhabilitation. Après trente ans d'interventions publiques, les sociologues constatent une gentrification incomplète du quartier.

Dans les années 1980, les ateliers Tac-Tic ont mis en place l'une des premières propositions culturelles organisée et collective dans le quartier de la Goutte d'Or en organisant le festival interculturel (théâtre, cinéma, musique) de la Goutte d'Or. Ce festival a pour objectif d'impliquer pleinement les habitants du quartier dans le processus d'expression et de transmission culturelle. L'édition de juin 1986 (affiche cotée 5672) a été dans un premier temps interdite puis reconduite en septembre 1986 (affiche cotée 5673). L'association des ateliers Tac-Tic sera dissoute en 1987, mais son travail initiera la mise en place d'une intense programmation culturelle participative dans le quartier de la Goutte d'Or.

Lemesle, Bruno (collection numérisée de photographies "Salut Barbès !")

FRGNQ_PH_010 , 1981-2014  

La collection "Salut Barbès !" a été réunie par Bruno Lemesle à partir de ses archives photographiques. Il s'agit d'"une mise en image du quartier de la Goutte d'Or" que Bruno Lesmesle photographie depuis les années 1980, ce dernier définit cette collection comme des "instants de la vie d'un espace populaire et cosmopolite bouleversé par la destruction du bâti".

Le quartier de la Goutte-d'Or constitue l'un des principaux lieux de mémoire et d'histoire de l'immigration à Paris. Situé dans le 18e arrondissement, il s'étend entre le boulevard de la Chapelle au sud, Saint-Denis au nord, la rue des Poissonniers et le Boulevard Barbés à l'ouest et la rue de la Chapelle et la rue Marx-Dormoy à l'est. Mais c'est le secteur autour de la rue de la Goutte-d'Or, entre le Boulevard Barbès et les voies ferrées qui est appelé communément la Goutte d'Or ou le plus souvent Barbès. Ce quartier qui se constitue au XIXe siècle est destiné à accueillir des populations ouvrières. Dès cette époque, il rassemble des populations issues des migrations intérieures - Auvergnats, Bretons, Picards, puis au début du XXe siècle, en provenance de l'étranger: Belges, Polonais, Espagnols et Italiens. Dans l'après-guerre, ce quartier se spécialise dans l'hébergement des populations immigrées d'Afrique du Nord et le développement des hôtels meublés. Puis au début des années soixante s'y installent des Maliens, Sénégalais, Antillais, Yougoslaves et plus récemment des Ghanéens et Sri-Lankais. A partir de 1962, il abrite la part la plus importante d'étrangers parmi les quartiers parisiens (plus d'un tiers des chefs de ménages en 1982), louant souvent de petits appartements, vétustes et sans confort. Le secteur nord de la Goutte-d'Or, est connu pour abriter un grand nombre de petits commerces de produits dits exotiques maghrébins, pakistanais ou d'Afrique subsaharienne. Depuis les années quatre-vingt, des entrepreneurs sénégalais y ont ainsi développé un réseau dense de petits commerces : de 40 établissements en 1985, on en compte au milieu des années 2000 près d'une centaine. Au début des années quatre vingt, la Ville de Paris engage un projet de rénovation-réhabilitation. Après trente ans d'interventions publiques, les sociologues constatent une gentrification incomplète du quartier.

Bruno Lemesle a suivi et photographié la transformation de ce lieu, la destruction des logements insalubres et les différentes étapes de sa reconstruction. Il saisit dans ses photographies l'essence de ce carrefour migratoire cosmopolite, lieu de sociabilité et d'échanges culturels. Cette collection a été présentée pour l'inauguration de l'Institut des cultures d'Islam du 28 novembre 2013 au 30 mars 2014. Michket Krifa, commissaire de l'exposition «Ici, là et au-delà» définit ainsi son travail : "Bruno Lemesle couve de son regard tendre et humaniste la vie quotidienne des habitants de ce quartier du 18ème arrondissement de Paris. Il est le témoin précieux de toutes les évolutions et des transformations qu'a connu la Goutte d'Or au cours des 25 dernières années. Bruno Lemesle a composé patiemment la mémoire visuelle de son quartier. Il a photographié les lieux et leurs transformations: les destructions et les rénovations permanentes, les rues, les commerces, les écoles et les logements. Il montre les habitants, ceux y vivent tranquillement au quotidien et ceux, plus démunis, qui se battent pour leurs droits. Il dénonce les injustices mais donne aussi à voir la solidarité tissée entre les habitants. Il parle d'un lieu où coexistent paisiblement les différentes générations, religions et cultures dans les terrains de jeux pour enfants espiègles et les espaces de rencontres pour personnes âgées. Les photos de Bruno Lemesle montrent aussi un autre visage de Barbès, celui de la précarité, de la survie et des luttes. Des photographies émouvantes d'expulsions et d'exclusions, ou de graffitis clandestins sur les murs, qui témoignent de l'histoire bouillonnante d'un quartier. En écho aux slogans photographiés, Bruno Lemesle tient à nous dire qu'à Barbès la pirate, «On marche ensemble: on va doucement mais on va loin»&"

Lenka Middelbos, responsable adjointe chargée du Transit et du Centre d'Accueil des Demandeurs d'Asile à partir de 2000.

1AV 313-314 , 2008 - 2008  

Lenka Midelbos précise son origine tchécoslovaque et son parcours de formation.

Elle évoque son arrivée en 1977 à Paris où elle obtient le statut de réfugiée.

Elle raconte son embauche de 1978 à 1999 à l'Association FTDA et détaille les différents postes qu'elle y a occupés : secrétaire (1978), chargée de l'acheminement des réfugiés et participation à la mission de prospection (années 1980), conseillère technique pour le service de la coordination du DNA (dispositif national d'accueil) en 1991 dont elle prend la direction en 1997.

Elle donne son sentiment sur l'accueil des réfugiés du sud est asiatique dans les années 1980, sur la baisse en 5 ans (1985-1990) des demandes de statuts satisfaites (passent de 80% à 20 %), sur le projet de centre de premier accueil (1986), sur la place à part du CADA de Créteil (années 1990), et sur les conséquences de l'apparition en 1991 du statut de demandeur d'asile.

Contexte :
Entretiens réalisés par les Archives départementales > Le personnel de France terre d'asile (CADA de Créteil) > Centre de FTDA Créteil, personnels de 1977 à 2008 : enregistrements filmés, novembre-décembre 2008. > Personnels de direction, pour la période 1977 à 2008.
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Les 3èmes rencontres berbères / Association de culture berbère (ACB) Association pour le développement des échanges interculturels au musée des arts (ADEIAO) Fonds d'action sociale pour les travailleurs immigrés et leurs familles (FAS). novembre 1991

2481 , novembre 1991  

Les 3èmes rencontres berbères. Les 29, 30 novembre et 1er décembre 1991. Musée national des Arts d'Afrique et d'Océanie, 293, avenue Daumesnil. 75012 Paris. Association de culture berbère.