1840

• Cote :

  2 D 71

• Date :

  1840

• Autres données descriptives :

  [Réfugiés polonais : subsides élevés à 1 francs journalier pour Félix Kisielowski (21 juillet) ; Joseph Kwiatkowski, quittant Agen pour Toulouse (29 juillet) ; Jean Kuzma et Joseph Oprzoukiewicz, du dépôt de Cahors, venus à Agen (11 août-29 septembre) ; Victor Jezerniecki, réadmis aux subsides après la perte de son emploi à la banque (22 août) ; Nicolas Wisniewski, Joseph Paszkowski, Constantin Cieslakiewicz, Jacques Kowalski et Jean Voynarski, du dépôt de Puy-l'Evêque, et François Jasinski et Jean Andreskewski, de Tonneins, venus fixer leur résidence à Agen où ils ont trouvé du travail au canal latéral à la Garonne (28 août, 8 et 18 septembre, 9 octobre, 2 et 30 novembre) ; Thomas Choski, du dépôt de la Teste, venu à Agen où il s'est procuré du travail, puis parti pour Toulouse (30 septembre-9 novembre) ; Osman Bielak, du dépôt de Cahors, venu travailler à Agen puis reparti à Cahors, cessation de paiement des subsides (6 octobre-26 décembre) ; Calixte Suzin, autorisé à transférer sa résidence à Bordeaux (7 octobre) ; Paul Dudzinski, transféré à Toulouse (19 octobre) ; Antoine Kaminski, sous-officier du dépôt de Rodez, arrivé à Agen pour y fixer sa résidence (27 octobre) ; réclamation, par un boulanger de Tonneins, d'une somme d'argent, pour fourniture de pain à un officier (3 novembre) ; un officier redevable d'une somme d'argent envers l'un de ses compatriotes (4 novembre) ; Georges Szytkowski, Paul Lewandawski et Michel Stankiewcz, du dépôt de Périgueux, ayant transféré leur résidence à Agen (14, 18 et 19 novembre) ; Boniface Papirkiewicz, soldat, transféré à l'hôpital militaire de Toulouse (17 novembre) ; Joseph Kalezycki, du dépôt de Gourdon, Jacques Filipkowski, lieutenant du dépôt de Villeneuve-sur-Lot, Hilaire Patowski, sous-officier du dépôt de Cahors, et Simon Lewicki, sous-officier venant du Gers, arrivés à Agen pour travailler au pont canal (30 novembre, 11, 12 et 16 décembre) ; avis favorable à la réclamation de plusieurs officiers, destinée à faire augmenter les subsides de leurs compatriotes (30 novembre) ; suppression des subsides de Jérôme Jedlinski, sous-lieutenant employé dans les Ponts et Chaussées en qualité de piqueur aux appointements de 900 francs, et augmentation des subsides attribués à Louis Jasienski, aumônier polonais (22 décembre) ; Vincent Kucharski, prêtre, revenu résider à Agen (30 décembre). – Prêtres espagnols réfugiés : Dominique Martinez, parti à Alençon, ayant déposé à Agen un passeport délivré à Madrid (4 avril) ; Joseph Maneja, autorisé à transférer sa résidence à Feugarolles où il a trouvé l'avantage d'améliorer sa position (17 juillet). – Réfugiés espagnols civils et militaires : Martin Michel, carliste, musicien, demandant un passeport afin d'aller vendre du chocolat dans les départements voisins (22 avril) ; Francisco Perez, réfugié dans l'Ariège, ayant obtenu un passeport pour Agen où sa famille occupe une maison en loyer (3 août) ; Francisco Lopez et sa femme, portés sur les contrôles des réfugiés subventionnés (9 août) ; prime de trois francs accordée sur le fonds des réfugiés à chaque Espagnol qui aura pris du service dans la Légion étrangère d'Afrique ou qui voudra contracter un engagement volontaire (24 août) ; instructions (14 septembre) ; Jacques Couconnel, réfugié à Montauban, autorisé par le préfet de Tarn-et-Garonne à se rendre à Agen afin d'y travailler chez un teinturier (15 septembre) ; Antoine Pierschala retournant à Bordeaux (16 septembre) ; Juan Castell, brigadier carliste dirigé sur Caen par le préfet de la Haute-Garonne (26 septembre) ; un chirurgien, inscrit sur le contrôle des réfugiés carlistes du dépôt de Cahors, autorisé à se rendre à Agen pour occuper l'emploi de sous-directeur dans une pension (29 septembre) ; Ramel, du dépôt de Saint-Lys, autorisé à fixer sa résidence à Agen avec sa famille (3 octobre) ; Mariano Albentin, carliste, autorisé à transférer sa résidence à Saint-Antoine, canton de Villeneuve-sur-Lot, où il espère se procurer du travail (10 octobre) ; demandes de renseignements (8-29 octobre) ; passage dans la ville d'Agen de Jean Castell, carliste se rendant à Caen (9 novembre) ; limitation des engagements dans la Légion étrangère (14 novembre) ; instructions sur les subsides (25-28 novembre) ; interdiction de se rendre en Italie (2 décembre) ; dispositions à appliquer à ceux qui demandent à rentrer dans leur patrie (3 décembre) ; Lucien Alonzo, musicien du dépôt d'Agen, autorisé à transférer sa résidence à Nérac où il a trouvé le moyen d'utiliser sa profession (11 décembre) ; six réfugiés autorisés à regagner leur patrie (14 décembre) ; Antonia Turquet, employée aux quais de la ville, portée sur le contrôle des subventionnés (19 décembre) ; réduction des subsides de la famille Taragona (22 décembre) ; Léon Miguel, soldat carliste, autorisé à rentrer dans sa patrie (31 décembre). – Autres Espagnols : Antonio Ramonet et Antonio Carrere, ayant fait pendant un temps le commerce de l'huile d'olive à Agen, arrêtés dans l'Ariège (14 août) ; demande de renseignements sur une Espagnole arrêtée par la police (24 août) ; remise en liberté d'un Espagnol arrêté le 24 août (1er septembre). – Italiens : Louis Tacconi, officier réfugié, ayant quitté Port-Sainte-Marie pour venir résider à Agen (18 septembre) ; Joseph Picaglia, réfugié à Agen, autorisé à aller à Sarlat pour y exercer la profession d'officier de santé (16 novembre) ; envoi des passeports de Jean-Baptiste Marco et Salvador Luostapaglis, originaires du duché de Lucques (24 novembre).]